Bvlgari Bvlgari est une montre iconique. L’un de ces modèles intemporels qui traversent les décennies sans prendre une ride dont on doit le design, une fois encore, au fameux Gérald Genta.
Pour la petite histoire, il faut savoir qu’à l’origine en 1975, ce modèle en or d’inspiration très « romaine », était destiné à être offert aux cent meilleurs clients du joaillier italien. Il existait une version deux aiguilles et une version à quartz digitale.
Une belle idée des trois frères Nicola, Gianni et Paolo Bvlgari. Mais rapidement, ce garde-temps a été « victime » de son succès et la boutique romaine s’est vue submergée de demandes dans les mois qui suivirent la « sortie » de cette montre atypique pour l’époque, puisqu’elle n’arborait aucun logo, mis à part bien sûr, le fameux Bvlgari Roma gravé en lettres romaines sur la lunette en or.
Pour la petite histoire, il faut savoir qu’à l’origine en 1975, ce modèle en or d’inspiration très « romaine », était destiné à être offert aux cent meilleurs clients du joaillier italien. Il existait une version deux aiguilles et une version à quartz digitale.
Une belle idée des trois frères Nicola, Gianni et Paolo Bvlgari. Mais rapidement, ce garde-temps a été « victime » de son succès et la boutique romaine s’est vue submergée de demandes dans les mois qui suivirent la « sortie » de cette montre atypique pour l’époque, puisqu’elle n’arborait aucun logo, mis à part bien sûr, le fameux Bvlgari Roma gravé en lettres romaines sur la lunette en or.
Fort de ce succès totalement imprévu mais toujours bienvenu, le joaillier romain a donc lancé la Bvlgari Bvlgari sur le marché en 1977 ; elle sera surnommée « BB » par les amateurs.
Depuis, cette montre a connu d’innombrables versions. La plus sexy étant encore la plus simple. Le modèle en acier ou or sur bracelet cuir. Une montre relativement mal aimée (ou peu connue) en France mais qui reste pourtant un grand classique de l’horlogerie. Et l’une des plus belles montres de ville.
Cette année, ce modèle intemporel arrive dans une livrée pratiquement « full black » avec son boitier et son bracelet en acier DLC noir.
Depuis, cette montre a connu d’innombrables versions. La plus sexy étant encore la plus simple. Le modèle en acier ou or sur bracelet cuir. Une montre relativement mal aimée (ou peu connue) en France mais qui reste pourtant un grand classique de l’horlogerie. Et l’une des plus belles montres de ville.
Cette année, ce modèle intemporel arrive dans une livrée pratiquement « full black » avec son boitier et son bracelet en acier DLC noir.
Cette montre est disponible en deux versions : l’une de 41 mm avec le calibre mécanique automatique BVL 191 (HMS et date) et l’autre en 33 mm avec un calibre quartz.
Ces deux nouvelles références utilisent le noir comme un révélateur qui absorbe la lumière, valorise les volumes, sublime les lignes, révèle la matière.
On remarque ces nouveaux cadrans laqués très épurés (avec index appliqués, chiffres et aiguilles blanches), une lunette en acier gravée du double logo (caractéristique de ce modèle), un bracelet noir alternant les surfaces mates et polies. La couronne est en acier sertie d’un décor en céramique noire.
Ces deux nouvelles références utilisent le noir comme un révélateur qui absorbe la lumière, valorise les volumes, sublime les lignes, révèle la matière.
On remarque ces nouveaux cadrans laqués très épurés (avec index appliqués, chiffres et aiguilles blanches), une lunette en acier gravée du double logo (caractéristique de ce modèle), un bracelet noir alternant les surfaces mates et polies. La couronne est en acier sertie d’un décor en céramique noire.
