Puissante esthétique, boîtier monumental et solidité poussée à l’extrême… La C1 Chronographe de Concord s’annonce comme la montre de tous les superlatifs.
Avec ses 44 mm de diamètre et 16,70 mm d’épaisseur, ce modèle est doté d’une esthétique qui joue avec les lumières et les matériaux. Radicalement novatrice, sa construction, exempte du poids des traditions horlogères, est le fruit d’une conception sophistiquée, qui offre au chronographe une exceptionnelle robustesse.
Étanche jusqu’à 200 mètres, composée de 42 pièces, la boîte bénéficie d’un mode d’assemblage qui a la propriété d’absorber les chocs et optimise donc la solidité de la montre. Un anneau de protection en métal gainé de caoutchouc et fixé latéralement par des vis autobloquantes est rehaussé de huit éléments qui chevauchent la lunette. Ces bastions protègent une glace saphir de 3,30 mm d’épaisseur qui émerge littéralement de la boîte.
La structure de la couronne ajoute sa complexité à l’ensemble. Pas moins de trois matériaux sont nécessaires à sa réalisation : caoutchouc, composite et acier s’ajustent les uns dans les autres pour former une pièce dense et résistante. Construits dans la même philosophie, les poussoirs participent eux aussi à la forte personnalité du garde- temps.
Avec ses 44 mm de diamètre et 16,70 mm d’épaisseur, ce modèle est doté d’une esthétique qui joue avec les lumières et les matériaux. Radicalement novatrice, sa construction, exempte du poids des traditions horlogères, est le fruit d’une conception sophistiquée, qui offre au chronographe une exceptionnelle robustesse.
Étanche jusqu’à 200 mètres, composée de 42 pièces, la boîte bénéficie d’un mode d’assemblage qui a la propriété d’absorber les chocs et optimise donc la solidité de la montre. Un anneau de protection en métal gainé de caoutchouc et fixé latéralement par des vis autobloquantes est rehaussé de huit éléments qui chevauchent la lunette. Ces bastions protègent une glace saphir de 3,30 mm d’épaisseur qui émerge littéralement de la boîte.
La structure de la couronne ajoute sa complexité à l’ensemble. Pas moins de trois matériaux sont nécessaires à sa réalisation : caoutchouc, composite et acier s’ajustent les uns dans les autres pour former une pièce dense et résistante. Construits dans la même philosophie, les poussoirs participent eux aussi à la forte personnalité du garde- temps.
Imposant, racé, éminemment masculin et certifié par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC), il est un concentré de performance et d’innovation. Avant d’obtenir le titre, toujours convoité, de chronomètre officiel suisse, son mouvement à remontage automatique a subi, sans interruption pendant quinze jours, une série d’épreuves et de contrôles minutieux dans un des laboratoires du COSC.
D’une lisibilité parfaite, son cadran se caractérise par une construction en strates dont la profondeur et la perspective sont accentuées par des effets d’ombres et de lumières. Réalisé en fibre de carbone et en métal usiné, il est ceint d’index appliques creuses, remplies de matière luminescente, et survolé par des aiguilles, également luminescentes. Partiellement évidées, elles opposent leurs pleins et vides selon une asymétrie qui provoque un véritable rapport de force sur la tige centrale et nécessite un assemblage particulièrement exigeant.
Les compteurs 30 minutes et 12 heures se font face à 12 et 6 heures. Surprenante, la petite seconde en regard de 9 heures part à l’assaut du temps : son indication effectuée par un disque en rotation permanente. À la trotteuse centrale habillée du bleu Concord répond une minuterie dont le premier quart revêt la même couleur. Enfin, l’indication de la date, progressivement dévoilée en semi transparence, précise la mesure du temps.
Le bracelet en caoutchouc vulcarboné noir, à l’aspect mat velouté, éveille un saisissant contraste de matières. Le chronographe est également disponible avec un bracelet en maillons d’acier, complètement intégré au boîtier par un système d’articulation inédit qui fait d’ailleurs l’objet d’une demande de dépôt de brevet. La conception des attaches permet un parfait ajustement au poignet.
D’une lisibilité parfaite, son cadran se caractérise par une construction en strates dont la profondeur et la perspective sont accentuées par des effets d’ombres et de lumières. Réalisé en fibre de carbone et en métal usiné, il est ceint d’index appliques creuses, remplies de matière luminescente, et survolé par des aiguilles, également luminescentes. Partiellement évidées, elles opposent leurs pleins et vides selon une asymétrie qui provoque un véritable rapport de force sur la tige centrale et nécessite un assemblage particulièrement exigeant.
Les compteurs 30 minutes et 12 heures se font face à 12 et 6 heures. Surprenante, la petite seconde en regard de 9 heures part à l’assaut du temps : son indication effectuée par un disque en rotation permanente. À la trotteuse centrale habillée du bleu Concord répond une minuterie dont le premier quart revêt la même couleur. Enfin, l’indication de la date, progressivement dévoilée en semi transparence, précise la mesure du temps.
Le bracelet en caoutchouc vulcarboné noir, à l’aspect mat velouté, éveille un saisissant contraste de matières. Le chronographe est également disponible avec un bracelet en maillons d’acier, complètement intégré au boîtier par un système d’articulation inédit qui fait d’ailleurs l’objet d’une demande de dépôt de brevet. La conception des attaches permet un parfait ajustement au poignet.
Les finitions de la boîte sont brossé poli, brossé satiné ou poli noir pour les vis. Le fond transparent lève, quant à lui, le voile sur la beauté du mécanisme (ETA Valgranges A07.211, 25 rubis, battant à 28.800 bph et doté d’une réserve de marche de 48h) et d’une masse oscillante décorée. Il porte en outre le sceau de Concord qui paraphera désormais toutes ses créations : audace - savoir-faire - avant-garde.
À ses côtés, un autre modèle, C1 Big Date automatique, investit la scène horlogère. La montre obéit aux mêmes défis de construction et s’attache aussi avec assurance à une esthétique résolue et affirmée. De plus, une déclinaison pour dame en acier ou en or rose rehaussé de plusieurs niveaux de sertissage révèle d’originaux visages qui jouent sur les matières et les couleurs.
À ses côtés, un autre modèle, C1 Big Date automatique, investit la scène horlogère. La montre obéit aux mêmes défis de construction et s’attache aussi avec assurance à une esthétique résolue et affirmée. De plus, une déclinaison pour dame en acier ou en or rose rehaussé de plusieurs niveaux de sertissage révèle d’originaux visages qui jouent sur les matières et les couleurs.