Ce chrono n’est pas nouveau en soi (il a été lancé à l’origine en 2016), mais cette évolution s’avère des plus réussies. Tous comme ses prédécesseurs d’ailleurs.
Sous son design résolument vintage, ce garde-temps affiche de belles proportions avec son boitier en acier de 43 mm, étanche à 30 mètres (existe aussi en or rose).
Il se présente cette année avec un élégant cadran bleu bicompax-date protégé par un verre saphir bombé traité antireflet sur les deux faces.
Sous son design résolument vintage, ce garde-temps affiche de belles proportions avec son boitier en acier de 43 mm, étanche à 30 mètres (existe aussi en or rose).
Il se présente cette année avec un élégant cadran bleu bicompax-date protégé par un verre saphir bombé traité antireflet sur les deux faces.
Ce garde-temps de la manufacture lucernoise (encore en mains familiales précisons-le) embarque le calibre automatique CFB 1970, d’une réserve de marche standard de 42h. Il est visible à travers le fond saphir. Doté d’une fonction flyback, ou retour en vol, ce chrono permet de mesurer consécutivement plusieurs intervalles de temps.
Sur une simple pression du poussoir de remise à zéro, une nouvelle mesure peut ainsi être relancée alors que le chronographe est déjà en marche, au contraire d’un chronographe classique qui nécessiterait trois manipulations successives d’arrêt du chronographe, de remise à zéro et de relance.
Ce chrono se porte sur un bracelet en tissu bleu très sympa ou alors, sur un bracelet en métal à neuf maillons.
A découvrir chez Bucherer à Paris.
Sur une simple pression du poussoir de remise à zéro, une nouvelle mesure peut ainsi être relancée alors que le chronographe est déjà en marche, au contraire d’un chronographe classique qui nécessiterait trois manipulations successives d’arrêt du chronographe, de remise à zéro et de relance.
Ce chrono se porte sur un bracelet en tissu bleu très sympa ou alors, sur un bracelet en métal à neuf maillons.
A découvrir chez Bucherer à Paris.