« Si je vous dis Design, vous pensez…Le Corbusier, Starck, Dixon, Urquiola, Putman ou encore Niemeyer, des objets, des silhouettes, des personnalités devenus cultes qui fascinent, séduisent et dont le nom est connu de tous. Ce qui a prédestiné à leur succès, leur point commun, leur design. Un design qui pour Hublot occupe une place centrale. Un design qui fusionne les matières et dont la créativité semble illimitée » indique Ricardo Guadalupe, PDG de Hublot.
Le design occupe une place centrale dans l'histoire et le succès de Hublot et de sa Big Bang. En 1980, quand Carlo Crocco crée Hublot, il offre à ses montres un design différent et un bracelet novateur taillé dans le caoutchouc naturel qui sentait la vanille. Plus de vingt ans plus tard, la rencontre entre Carlo Crocco et Jean-Claude Biver va durablement changer la destinée de Hublot.
En 2004, Jean-Claude Biver et Ricardo Guadalupe créent la Big Bang, et avec elle, propulsent son design emblématique au rang des incontournables. Depuis plus de dix ans, la Big Bang et son inimitable boîtier taillé dans de multiples matériaux, sa structure composite en sandwich et sa lunette rehaussée de vis en H, ne cessent de surprendre et d’oser.
C’est pour célébrer le design justement qu’Hublot a créé en 2015, un prix en l’honneur du design et de son modèle Big Bang. Pour sa 3ème édition, le Hublot Design Prize a pris ses quartiers dans le pavillon de la Serpentine Gallery, un pavillon d’été qui chaque année est redessiné par des architectes, designers, créateurs renommés – n’ayant jamais construits en Angleterre. Cette année, le bâtiment est né de l’imagination du talentueux architecte burkinabé Francis Kéré.
Ici avant lui, Zaha Hadid, Frank Gehry, Jean Nouvel, Peter Zumthor, Herzog et de Meuron pour n’en citer que quelques-uns ont partagé leur vision du design et de l’architecture avec le grand public. C’est dans ce lieu que Ricardo Guadalupe a remis le Hublot Design Prize 2017 à Carolien Niebling. Elle a reçu un chèque de 100'000 francs suisses destinés à la soutenir dans la réalisation de son travail. Le jury a par ailleurs décidé de remettre un prix spécial du jury à Jessi Reaves, avec un chèque d’un montant de 25'000 francs suisses.
Hublot Design Prize Né de l’amitié entre Jean-Claude Biver et Pierre Keller – ancien directeur de l’ECAL, créé en 2015 pour célébrer les 10 ans du lancement de son iconique modèle Big Bang, le Hublot Design Prize valorise le talent des designers de demain. Un prix ne visant pas à rendre hommage au travail d’un design célèbre, ni même de soutenir un designer fraîchement diplômé, mais de donner à un designer déjà accompli une plateforme de lancement et de visibilité, un accélérateur de carrière pour que son nom rejoigne un jour celui des plus grands du Design.
Son principe est simple. Un jury indépendant composé de 5 experts du monde du design contemporain – soumettant chacun 5 candidats. Au total 25 dossiers retenus parmi lesquels 8 finalistes sont sélectionnés pour présenter leurs créations. Un seul finaliste est retenu comme récipiendaire et le jury se réserve le droit d’attribuer un prix spécial à un autre finaliste.
Le design occupe une place centrale dans l'histoire et le succès de Hublot et de sa Big Bang. En 1980, quand Carlo Crocco crée Hublot, il offre à ses montres un design différent et un bracelet novateur taillé dans le caoutchouc naturel qui sentait la vanille. Plus de vingt ans plus tard, la rencontre entre Carlo Crocco et Jean-Claude Biver va durablement changer la destinée de Hublot.
En 2004, Jean-Claude Biver et Ricardo Guadalupe créent la Big Bang, et avec elle, propulsent son design emblématique au rang des incontournables. Depuis plus de dix ans, la Big Bang et son inimitable boîtier taillé dans de multiples matériaux, sa structure composite en sandwich et sa lunette rehaussée de vis en H, ne cessent de surprendre et d’oser.
C’est pour célébrer le design justement qu’Hublot a créé en 2015, un prix en l’honneur du design et de son modèle Big Bang. Pour sa 3ème édition, le Hublot Design Prize a pris ses quartiers dans le pavillon de la Serpentine Gallery, un pavillon d’été qui chaque année est redessiné par des architectes, designers, créateurs renommés – n’ayant jamais construits en Angleterre. Cette année, le bâtiment est né de l’imagination du talentueux architecte burkinabé Francis Kéré.
Ici avant lui, Zaha Hadid, Frank Gehry, Jean Nouvel, Peter Zumthor, Herzog et de Meuron pour n’en citer que quelques-uns ont partagé leur vision du design et de l’architecture avec le grand public. C’est dans ce lieu que Ricardo Guadalupe a remis le Hublot Design Prize 2017 à Carolien Niebling. Elle a reçu un chèque de 100'000 francs suisses destinés à la soutenir dans la réalisation de son travail. Le jury a par ailleurs décidé de remettre un prix spécial du jury à Jessi Reaves, avec un chèque d’un montant de 25'000 francs suisses.
Hublot Design Prize Né de l’amitié entre Jean-Claude Biver et Pierre Keller – ancien directeur de l’ECAL, créé en 2015 pour célébrer les 10 ans du lancement de son iconique modèle Big Bang, le Hublot Design Prize valorise le talent des designers de demain. Un prix ne visant pas à rendre hommage au travail d’un design célèbre, ni même de soutenir un designer fraîchement diplômé, mais de donner à un designer déjà accompli une plateforme de lancement et de visibilité, un accélérateur de carrière pour que son nom rejoigne un jour celui des plus grands du Design.
Son principe est simple. Un jury indépendant composé de 5 experts du monde du design contemporain – soumettant chacun 5 candidats. Au total 25 dossiers retenus parmi lesquels 8 finalistes sont sélectionnés pour présenter leurs créations. Un seul finaliste est retenu comme récipiendaire et le jury se réserve le droit d’attribuer un prix spécial à un autre finaliste.
Les 8 finalistes du Hublot Design Prize 2017
Jun Murakoshi, 1978,
Diplômé du Royal College of Art de Londres et de l’Université Chiba au Japon, Jun est un designer qui a donné vie à une nouvelle forme de fusion, celle du verre soufflé et de la broderie. Deux matériaux qui selon lui incarnent la chaleur et la tension et qui s’unissent dans une géométrie parfaite.
Thomas Eberwein, 1976,
Diplômé en Media & Interaction Design à l’ECAL, il a créé Traum INC, son studio de design à Londres. Entre réalité et virtualité, il dessine un nouveau monde fait d’images.
Eric Morzier & Florian Pittet, 1983, 1984,
Formés à l’ECAL et fondateurs de SIGMASIX à Genève, Eric et Florian fusionnent l’art et la technologie pour créer des expériences. Utilisant des médiums tels que la vidéo et la lumière, ils produisent des installations interactives et créent des expériences uniques. Leur ambition, intégrer les technologies les plus avancées tout en la faisant disparaître.
Carolien Niebling, 1984,
Diplômée de l’Académie des arts visuels d’Arnhem en 2007 et d’un Master en Product Design de l’Ecal en 2014, Carolien utilise le design comme un médium lui permettant d’unir la science et la nourriture. Ses recherches ont porté sur la saucisse, inventée il y a plus de 5'000 ans, elle la considère comme un véritable objet de design et lui a consacré un livre « The Future Sausage » qui explore le futur d’un bien de consommation qui doit se réinventer dans une approche de limitation de la consommation de viande dans le futur.
Xavier Mañosa, 1981,
Fils de deux céramistes, Xavier a la céramique dans ses veines. Il dirige depuis 10 ans l’atelier familial renommé Apparatu. Il a étudié le design industriel à Barcelone et est reconnu comme l’un céramistes les plus en vue de sa génération. Ce qui distingue son travail, l’audace avec laquelle il combine des matériaux différents et explore des modes d’expression innovants. Enfant de la génération digitale, il appose sa vision ultra contemporaine à la céramique.
Sabine Marcelis, 1985,
Elle a étudié le design à l’Université Victoria de Wellington puis à l’Académie de Design d’Eindhoven. En 2012, elle fonde son studio éponyme à Rotterdam et travaille le design spatial et les installations en se concentrant sur la matérialité. Sa signature, mettre en évidence les propriétés d’un matériau avec équilibre en employant la forme, la couleur et la lumière pour obtenir le meilleur résultat. Tout pour Sabine est dans la mesure.
Jonathan Muecke, 1983,
Diplômé en architecture de l’Iowa Université et d’un Master of Fine Arts de l’Académie des Arts de Cranbook, il réinterprète des designs communs en vue de mettre en exergue leur qualités et leurs distinctions. Depuis son studio de Minneapolis, il crée en utilisant généralement un seul matériau à la fois. Une approche minimaliste qui joue sur la notion d’espace positif et négatif et la fonctionnalité. En 2014, il a dessiné le pavillon du Design Miami.
Jessi Reaves, 1986,
Née en Oregon, elle est diplômée de l’Ecole de design de Rhode Island. Son travail est fortement influencé par son parcours. Avant de devenir artiste, elle a travaillé comme tapissier-décorateur, aujourd’hui elle pense ses sculptures comme des meubles. Ses créations explorent le lien ténu entre le mobilier et l’art. Son style : des objets fonctionnels mais aussi la représentation de ces objets fonctionnels.
Diplômé du Royal College of Art de Londres et de l’Université Chiba au Japon, Jun est un designer qui a donné vie à une nouvelle forme de fusion, celle du verre soufflé et de la broderie. Deux matériaux qui selon lui incarnent la chaleur et la tension et qui s’unissent dans une géométrie parfaite.
Thomas Eberwein, 1976,
Diplômé en Media & Interaction Design à l’ECAL, il a créé Traum INC, son studio de design à Londres. Entre réalité et virtualité, il dessine un nouveau monde fait d’images.
Eric Morzier & Florian Pittet, 1983, 1984,
Formés à l’ECAL et fondateurs de SIGMASIX à Genève, Eric et Florian fusionnent l’art et la technologie pour créer des expériences. Utilisant des médiums tels que la vidéo et la lumière, ils produisent des installations interactives et créent des expériences uniques. Leur ambition, intégrer les technologies les plus avancées tout en la faisant disparaître.
Carolien Niebling, 1984,
Diplômée de l’Académie des arts visuels d’Arnhem en 2007 et d’un Master en Product Design de l’Ecal en 2014, Carolien utilise le design comme un médium lui permettant d’unir la science et la nourriture. Ses recherches ont porté sur la saucisse, inventée il y a plus de 5'000 ans, elle la considère comme un véritable objet de design et lui a consacré un livre « The Future Sausage » qui explore le futur d’un bien de consommation qui doit se réinventer dans une approche de limitation de la consommation de viande dans le futur.
Xavier Mañosa, 1981,
Fils de deux céramistes, Xavier a la céramique dans ses veines. Il dirige depuis 10 ans l’atelier familial renommé Apparatu. Il a étudié le design industriel à Barcelone et est reconnu comme l’un céramistes les plus en vue de sa génération. Ce qui distingue son travail, l’audace avec laquelle il combine des matériaux différents et explore des modes d’expression innovants. Enfant de la génération digitale, il appose sa vision ultra contemporaine à la céramique.
Sabine Marcelis, 1985,
Elle a étudié le design à l’Université Victoria de Wellington puis à l’Académie de Design d’Eindhoven. En 2012, elle fonde son studio éponyme à Rotterdam et travaille le design spatial et les installations en se concentrant sur la matérialité. Sa signature, mettre en évidence les propriétés d’un matériau avec équilibre en employant la forme, la couleur et la lumière pour obtenir le meilleur résultat. Tout pour Sabine est dans la mesure.
Jonathan Muecke, 1983,
Diplômé en architecture de l’Iowa Université et d’un Master of Fine Arts de l’Académie des Arts de Cranbook, il réinterprète des designs communs en vue de mettre en exergue leur qualités et leurs distinctions. Depuis son studio de Minneapolis, il crée en utilisant généralement un seul matériau à la fois. Une approche minimaliste qui joue sur la notion d’espace positif et négatif et la fonctionnalité. En 2014, il a dessiné le pavillon du Design Miami.
Jessi Reaves, 1986,
Née en Oregon, elle est diplômée de l’Ecole de design de Rhode Island. Son travail est fortement influencé par son parcours. Avant de devenir artiste, elle a travaillé comme tapissier-décorateur, aujourd’hui elle pense ses sculptures comme des meubles. Ses créations explorent le lien ténu entre le mobilier et l’art. Son style : des objets fonctionnels mais aussi la représentation de ces objets fonctionnels.