Jusqu’ici, on connaissait les différentes variantes de la Santos 100 : acier, or et acier, acier et caoutchouc, or et caoutchouc…
Aujourd’hui, la plus sportive des Santos nous revient dans une version ultra-contemporaine où les boites et les lunettes s’habillent de noir grâce à la technique de l’ADLC : Amorphous Diamond-Like Carbon.
Derrière ce sigle se cache un process, une technologie de pointe utilisée dans l’aérospatiale et l’armement.
Comme le soulignait Hélène Poulit-Duquesne, directrice marketing et développement de l’horlogerie Cartier dans un article du quotidien suisse Le Temps, début 2009, « Depuis quatre ans, nous cherchions un revêtement qui nous permette de créer des pièces noires. Nous avons fait beaucoup de tests avec des techniques qui ne nous satisfaisaient pas, car l’enduit restait trop fragile »… Et finalement, le choix de Cartier s’est porté sur l’ADLC, un mélange d’hydrogène et de carbone qui « permet de rendre les matériaux qu’elle recouvre insensibles à l’usure et donc très résistants aux chocs. Pulvérisée sous vide, la substance adhère au métal comme une seconde peau (de deux microns d’épaisseur) et lui donne la teinte sombre désirée » poursuit Hélène Poulit-Duquesne.
Aujourd’hui, la plus sportive des Santos nous revient dans une version ultra-contemporaine où les boites et les lunettes s’habillent de noir grâce à la technique de l’ADLC : Amorphous Diamond-Like Carbon.
Derrière ce sigle se cache un process, une technologie de pointe utilisée dans l’aérospatiale et l’armement.
Comme le soulignait Hélène Poulit-Duquesne, directrice marketing et développement de l’horlogerie Cartier dans un article du quotidien suisse Le Temps, début 2009, « Depuis quatre ans, nous cherchions un revêtement qui nous permette de créer des pièces noires. Nous avons fait beaucoup de tests avec des techniques qui ne nous satisfaisaient pas, car l’enduit restait trop fragile »… Et finalement, le choix de Cartier s’est porté sur l’ADLC, un mélange d’hydrogène et de carbone qui « permet de rendre les matériaux qu’elle recouvre insensibles à l’usure et donc très résistants aux chocs. Pulvérisée sous vide, la substance adhère au métal comme une seconde peau (de deux microns d’épaisseur) et lui donne la teinte sombre désirée » poursuit Hélène Poulit-Duquesne.
La Santos 100 Carbone existe en cinq pièces : boitier acier recouvert d’ADLC avec lunette acier ou or rose pour les « trois aiguilles » ; titane recouvert d’ADLC avec lunette titane ou rose pour les chronographes ; et enfin, un chronographe en or rose et lunette en or rose recouverte d’ADLC.
Comme toutes les Santos 100, les cadrans affichent 9 ou 12 chiffres romains en fonction des modèles et des aiguilles en forme de glaive avec matière luminescente. Ces garde-temps sont étanches à 100 mètres et sont équipés d’un bracelet sport en toile de voile noire du plus bel effet.
Côté mécanique, les « trois aiguilles » sont dotées d’un calibre à remontage automatique Cartier 049 ; quant aux chronographes, ils sont équipés du calibre à remontage automatique Cartier 8630.
Rappelons que la Santos 100 a été créée à l’origine pour commémorer le centenaire de l’icône (la Santos) créée en 1904 par Louis Cartier pour son ami, l’aviateur brésilien Alberto Santos-Dumont.
Tarifs : de 5.200 euros (Carbone boitier acier avec revêtement ADLC / Lunette en acier poli, vis en acier avec revêtement ADLC) à 22.700 euros (boîte en or rose, fond en or rose, lunette en or rose avec revêtement ADLC, vis en or rose).
Modèles disponibles à partir de juin 2009.
Comme toutes les Santos 100, les cadrans affichent 9 ou 12 chiffres romains en fonction des modèles et des aiguilles en forme de glaive avec matière luminescente. Ces garde-temps sont étanches à 100 mètres et sont équipés d’un bracelet sport en toile de voile noire du plus bel effet.
Côté mécanique, les « trois aiguilles » sont dotées d’un calibre à remontage automatique Cartier 049 ; quant aux chronographes, ils sont équipés du calibre à remontage automatique Cartier 8630.
Rappelons que la Santos 100 a été créée à l’origine pour commémorer le centenaire de l’icône (la Santos) créée en 1904 par Louis Cartier pour son ami, l’aviateur brésilien Alberto Santos-Dumont.
Tarifs : de 5.200 euros (Carbone boitier acier avec revêtement ADLC / Lunette en acier poli, vis en acier avec revêtement ADLC) à 22.700 euros (boîte en or rose, fond en or rose, lunette en or rose avec revêtement ADLC, vis en or rose).
Modèles disponibles à partir de juin 2009.