Printemps 2020, la maison Cartier relançait sa fameuse Pasha en différentes versions. En cette fin d’année 2022, voici sa nouvelle itération.
Avant de présenter cette nouveauté, rappelons que la Pasha de Cartier, c’est toute une époque… Lancée en 1985 (1990 pour la version acier), c’est l’une des rares montres rondes de Cartier à avoir connu un tel succès, à part la Ballon Bleu qui sera présentée bien plus tard, en 2007.
La Pasha, comme son nom le laisse supposer, était un garde-temps imaginé pour être cossu et chic à la fois. A l’époque, son boitier water-resistant mesurait 38 mm, c’est qui était « énorme » pour une montre de luxe dans ces années-là.
Avant de présenter cette nouveauté, rappelons que la Pasha de Cartier, c’est toute une époque… Lancée en 1985 (1990 pour la version acier), c’est l’une des rares montres rondes de Cartier à avoir connu un tel succès, à part la Ballon Bleu qui sera présentée bien plus tard, en 2007.
La Pasha, comme son nom le laisse supposer, était un garde-temps imaginé pour être cossu et chic à la fois. A l’époque, son boitier water-resistant mesurait 38 mm, c’est qui était « énorme » pour une montre de luxe dans ces années-là.
De fait, sa taille s’intercalait entre les Datejust de Rolex de 36mm et les Submariner de 40 mm qui étaient considérées comme de « grosses montres sportives » dans les années 90. Et chez Cartier, cette Pasha, faisait résolument office de sportive-chic « oversized » parmi ses Santos et ses Tank.
Selon la légende, le nom de Pasha proviendrait d’un modèle créé par Cartier en 1933-34 pour un véritable pasha, Thami El Glaoui, un riche marocain de Marrakech qui avait demandé au joaillier une montre étanche qu’il pourrait porter en nageant dans sa piscine…
Rappelons que le terme de « pacha » était, sous l'Empire ottoman, un titre de noblesse accordé notamment aux gouverneurs des provinces. En Europe, on pourrait le comparer à nos seigneurs. C'est devenu par extension, synonyme d'homme riche et souvent bon vivant.
Selon la légende, le nom de Pasha proviendrait d’un modèle créé par Cartier en 1933-34 pour un véritable pasha, Thami El Glaoui, un riche marocain de Marrakech qui avait demandé au joaillier une montre étanche qu’il pourrait porter en nageant dans sa piscine…
Rappelons que le terme de « pacha » était, sous l'Empire ottoman, un titre de noblesse accordé notamment aux gouverneurs des provinces. En Europe, on pourrait le comparer à nos seigneurs. C'est devenu par extension, synonyme d'homme riche et souvent bon vivant.
C’est donc en hommage à cet homme et à sa montre waterproof que plus tard, Cartier aurait décidé de nommer sa sportive-chic Pasha.
Au-delà de sa taille atypique pour l’époque, cette montre était dotée de cornes de type « Vendôme », d’un protège-couronne reliée au boitier par une chainette et doté d’un cabochon en saphir bleu, des gros chiffres arabes caractéristiques 12, 3, 6 et 9 et de cadrans (souvent) guillochés avec chemin de fer carré au centre. A noter également la présence de larges aiguilles de type « lancier » et non pas « glaives ».
La nouvelle Pasha est dotée d’un boitier de 41 mm pour 9,55 mm d’épaisseur. Dans cette version, son boitier en acier est étanche à 100 mètres. On retrouve le fameux protège-couronne doté d’une spinelle bleue qui s’accorde parfaitement aux aiguilles en acier bleui. A noter que Cartier propose de graver vos initiales sur la boite dans un petit rectangle réservé à cet effet et situé sous la chainette du protège-couronne.
Au-delà de sa taille atypique pour l’époque, cette montre était dotée de cornes de type « Vendôme », d’un protège-couronne reliée au boitier par une chainette et doté d’un cabochon en saphir bleu, des gros chiffres arabes caractéristiques 12, 3, 6 et 9 et de cadrans (souvent) guillochés avec chemin de fer carré au centre. A noter également la présence de larges aiguilles de type « lancier » et non pas « glaives ».
La nouvelle Pasha est dotée d’un boitier de 41 mm pour 9,55 mm d’épaisseur. Dans cette version, son boitier en acier est étanche à 100 mètres. On retrouve le fameux protège-couronne doté d’une spinelle bleue qui s’accorde parfaitement aux aiguilles en acier bleui. A noter que Cartier propose de graver vos initiales sur la boite dans un petit rectangle réservé à cet effet et situé sous la chainette du protège-couronne.
Le cadran est guilloché radial ; ici en version anthracite des plus réussies ! On retrouve également le chemin de fer carré central, mais dans une interprétation « allégée ». La date reste à 4h30, mais Cartier a abandonné la loupe, au profit d’un guichet légèrement plus grand et plus élégant (la toute première version de 85 n'avait pas de loupe non plus. Cette dernière n'arrivera que plus tard).
Cette nouvelle Pasha embarque le calibre automatique Cartier 1847 MC (le même que dans la Santos). L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante (portiques d'aéroports par exemple).
« Last but not least » : cette Pasha, comme toutes les nouvelles créations Cartier depuis deux ans, est équipé d’un système breveté de changement rapide et facile de ses bracelets… Ce dernier se déclipse en poussant simplement un cliquet entre les cornes. Livrée avec un bracelet en alligator gris.
Cette nouvelle Pasha embarque le calibre automatique Cartier 1847 MC (le même que dans la Santos). L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante (portiques d'aéroports par exemple).
« Last but not least » : cette Pasha, comme toutes les nouvelles créations Cartier depuis deux ans, est équipé d’un système breveté de changement rapide et facile de ses bracelets… Ce dernier se déclipse en poussant simplement un cliquet entre les cornes. Livrée avec un bracelet en alligator gris.