On peut difficilement faire plus bleu que cette montre bleue de chez Chronoswiss. En effet, la marque spécialisée dans les régulateurs haut de gamme vient de présenter ce Regulator Classic Blue Steel doté d’un boitier en acier PVD bleu poli satiné de 41mm (étanche 100 mètres) associé à une couronne de type « oignon » bleue, à un cadran bleu et à des aiguilles bleues. Naturellement, le bracelet alligator est également bleu !
Le cadran bleu offre un agencement traditionnel pour un régulateur : le compteur des heures à midi, une petite seconde ouverte à 6h sur le calibre (seule alternance chromatique « acier » à cette montre bleue) et les minutes sur le pourtour. Les aiguilles galvanisées bleu sont recouvertes de matière luminescente bleue. L’ensemble est protégé par un verre saphir.
Côté « moteur », ce régulateur embarque un calibre mécanique automatique (4Hz et 27 rubis) d’une réserve de marche standard de 42h.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision. Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur -remis au goût du jour il y a une douzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur qui relança cette complication auprès des amateurs de montres, notamment dans l’entrée de gamme. On en trouve aujourd’hui à tous les prix… Du plus cher au plus raisonnable (notamment chez Louis Erard) en passant par les pièces d’exception comme cette Chronoswiss.
Le cadran bleu offre un agencement traditionnel pour un régulateur : le compteur des heures à midi, une petite seconde ouverte à 6h sur le calibre (seule alternance chromatique « acier » à cette montre bleue) et les minutes sur le pourtour. Les aiguilles galvanisées bleu sont recouvertes de matière luminescente bleue. L’ensemble est protégé par un verre saphir.
Côté « moteur », ce régulateur embarque un calibre mécanique automatique (4Hz et 27 rubis) d’une réserve de marche standard de 42h.
Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision. Une quête qui débuta en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur -remis au goût du jour il y a une douzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur qui relança cette complication auprès des amateurs de montres, notamment dans l’entrée de gamme. On en trouve aujourd’hui à tous les prix… Du plus cher au plus raisonnable (notamment chez Louis Erard) en passant par les pièces d’exception comme cette Chronoswiss.