Ces ombres d’acier dessinent une sorte de calligraphie légère qui se déplacent de façon aléatoire grâce à de gigantesques mobiles motorisés.
Mais ce sont finalement vos propres ombres qui tissent un lien avec les objets exposés, et qui mettent en scène ce ballet incessant.
Vous pourrez vous attarder devant la série de dix-huit tableaux composés de microrouages de montres liés par de fragiles filins, fascinés par leurs ombres précises. Votre imagination sera captée par ce parcours digne d’Alice Au Pays des Merveilles lorsque vous déambulerez au milieu de pièces surdimensionnées qui semblent danser au centre de la galerie.
« Mobilis in Mobili » est à bien des égards à la fois exposition et scénographie. Chaque œuvre représente un instant et atteint le même objectif : redéfinir le temps universel. Récupérés dans d’anciennes échoppes de montres et magasins d'antiquités, ses matériaux rendent hommage à l'art de la précision, tout comme le style utilisé pour les présenter.
Que ce soit lorsqu’elle teinte un cadran pour l'intégrer harmonieusement dans une œuvre ou lorsqu’elle attache de minuscules aiguilles de montres à un fragile filin, l’artiste se dévoue avec une passion implacable à son art, si proche de celui méticuleux de l’horlogerie.
Née à Paris en 1971, Stéphanie Guglielmetti obtient en 1994 un diplôme à Penninghen. Elle présente plusieurs expositions personnelles à Paris et participe à diverses expositions collectives en France et en Corée. Son travail a fait l’objet de nombreux articles dans la presse horlogère internationale.
Mais ce sont finalement vos propres ombres qui tissent un lien avec les objets exposés, et qui mettent en scène ce ballet incessant.
Vous pourrez vous attarder devant la série de dix-huit tableaux composés de microrouages de montres liés par de fragiles filins, fascinés par leurs ombres précises. Votre imagination sera captée par ce parcours digne d’Alice Au Pays des Merveilles lorsque vous déambulerez au milieu de pièces surdimensionnées qui semblent danser au centre de la galerie.
« Mobilis in Mobili » est à bien des égards à la fois exposition et scénographie. Chaque œuvre représente un instant et atteint le même objectif : redéfinir le temps universel. Récupérés dans d’anciennes échoppes de montres et magasins d'antiquités, ses matériaux rendent hommage à l'art de la précision, tout comme le style utilisé pour les présenter.
Que ce soit lorsqu’elle teinte un cadran pour l'intégrer harmonieusement dans une œuvre ou lorsqu’elle attache de minuscules aiguilles de montres à un fragile filin, l’artiste se dévoue avec une passion implacable à son art, si proche de celui méticuleux de l’horlogerie.
Née à Paris en 1971, Stéphanie Guglielmetti obtient en 1994 un diplôme à Penninghen. Elle présente plusieurs expositions personnelles à Paris et participe à diverses expositions collectives en France et en Corée. Son travail a fait l’objet de nombreux articles dans la presse horlogère internationale.
Cité du Temps
Pont de la Machine
Genève 1204
Tél. +41 22 818 39 00
Fax. +41 22 818 39 10
www.citedutemps.com
Ouvert 7/7 jours de 9h à 18h.
Entrée libre.
Pont de la Machine
Genève 1204
Tél. +41 22 818 39 00
Fax. +41 22 818 39 10
www.citedutemps.com
Ouvert 7/7 jours de 9h à 18h.
Entrée libre.