Mais surtout, pour présenter cette montre, Citizen a réuni une superbe et intéressante collection de 100 montres parmi les plus marquantes de sa production.
Cette exposition baptisée « The Essence of Time » de passage à Paris pour simplement deux jours était une rare rétrospective de la créativité de la marque japonaise.
Des montres simples et chic mais aussi et surtout, une inventivité débridée avec l’Eco-Drive Radio Controlled ou la Voice Memo qui intégrait un petit magnéto utilisable pour des interviews.
Cette exposition baptisée « The Essence of Time » de passage à Paris pour simplement deux jours était une rare rétrospective de la créativité de la marque japonaise.
Des montres simples et chic mais aussi et surtout, une inventivité débridée avec l’Eco-Drive Radio Controlled ou la Voice Memo qui intégrait un petit magnéto utilisable pour des interviews.
On admire également l’Eco-Drive Bluetooth de 2016 qui succédait à la Satellite Wave F100 de 2014.
Plus ludique, la Soundwich de 1984 qui intégrait une radio AM et FM annonçait le bouleversement de l’industrie horlogère alors qu’en 1985, le Chronograph Alarm proposait une montre sportive chic et pratique au dessin parfait.
Soulignons qu’en 1984 était présentée la Bio Sport qui sur un écran LCD affichait toutes les informations nécessaires à un sportif avec notamment le rythme cardiaque (une quarantaine d’années en avance sur son temps).
Plus ludique, la Soundwich de 1984 qui intégrait une radio AM et FM annonçait le bouleversement de l’industrie horlogère alors qu’en 1985, le Chronograph Alarm proposait une montre sportive chic et pratique au dessin parfait.
Soulignons qu’en 1984 était présentée la Bio Sport qui sur un écran LCD affichait toutes les informations nécessaires à un sportif avec notamment le rythme cardiaque (une quarantaine d’années en avance sur son temps).
Nous terminerons ce rapide tour d’horizon avec l’Independent Tecno Purity qui est une montre de design pur.
Une belle rétrospective qui aurait mérité d’être présentée au grand public dans le cadre du musée des Arts Décoratifs de Paris ou du MoMa à New York.
Joël Chassaing-Cuvillier
Une belle rétrospective qui aurait mérité d’être présentée au grand public dans le cadre du musée des Arts Décoratifs de Paris ou du MoMa à New York.
Joël Chassaing-Cuvillier