On le sait, Hublot est « le » spécialiste de l’édition limitée. Avec parfois, des collaborations et des créations plus ou moins cohérentes… Celle-ci est en tout cas très réussie. En effet, l’horloger du sport également très présent dans le monde de l’art, s’est associé à l’artiste franco-vénézuélien Carlos Cruz-Diez pour cette nouvelle création.
Considéré comme l’un des grands théoriciens de la couleur du XXe siècle. Comme il aimait à le dire : la couleur est « une situation éphémère, une réalité autonome en perpétuelle mutation ». Ou encore, « la couleur est lumière, temps et espace. La couleur n'est pas dans le passé, c'est un présent continu ».
Dans cet esprit, le cadran a été conçu sur deux niveaux revêtus de couleurs pantone saturées, l’aiguille des heures placée sur le premier et celle des minutes sur le second entrainent chacune la rotation d’un disque transparent sérigraphié de lignes noires.
Une œuvre cinétique et hypnotique qui transfigure le phénomène chromatique à chaque seconde durant 24 heures, au dos de laquelle est apposée la signature métallique de l’artiste. Au-delà de l’effet purement optique, la composition chromatique horlogère se meut et se mue au gré des heures, minutes et secondes, à l’image de certaines œuvres de l’artiste. Le bracelet de cuir de veau et l’écrin prolongent également l’expérience optique.
Ce garde-temps automatique a été lancé le 5 décembre à la galerie Espace Expression de Miami en présence du fils et de la petite-fille de l’artiste. Point important pour les collectionneurs de montres et les amateurs d’art : cette création est la toute dernière collaboration de l’artiste mort en juillet dernier.
Considéré comme l’un des grands théoriciens de la couleur du XXe siècle. Comme il aimait à le dire : la couleur est « une situation éphémère, une réalité autonome en perpétuelle mutation ». Ou encore, « la couleur est lumière, temps et espace. La couleur n'est pas dans le passé, c'est un présent continu ».
Dans cet esprit, le cadran a été conçu sur deux niveaux revêtus de couleurs pantone saturées, l’aiguille des heures placée sur le premier et celle des minutes sur le second entrainent chacune la rotation d’un disque transparent sérigraphié de lignes noires.
Une œuvre cinétique et hypnotique qui transfigure le phénomène chromatique à chaque seconde durant 24 heures, au dos de laquelle est apposée la signature métallique de l’artiste. Au-delà de l’effet purement optique, la composition chromatique horlogère se meut et se mue au gré des heures, minutes et secondes, à l’image de certaines œuvres de l’artiste. Le bracelet de cuir de veau et l’écrin prolongent également l’expérience optique.
Ce garde-temps automatique a été lancé le 5 décembre à la galerie Espace Expression de Miami en présence du fils et de la petite-fille de l’artiste. Point important pour les collectionneurs de montres et les amateurs d’art : cette création est la toute dernière collaboration de l’artiste mort en juillet dernier.