Inventée au XVIIe siècle, l’heure vagabonde est une complication d’affichage qui consiste à faire graviter l’heure le long d’une échelle des minutes disposée en arc de cercle. Cette disposition esthétique du temps lui confère un certain mystère.
Tombé en désuétude au cours du XXe siècle, ce système a été redécouvert et réintroduit par Audemars Piguet en 1991 sous le nom de Star Wheel, équipant de nombreux modèles jusqu’au début des années 2000.
En cet hiver 2022/2023, la Starwheel fait donc son grand retour au sein de la collection Code 11.59 (qui accueille d’ailleurs les principales innovations afin de mettre cette gamme en valeur dans le catalogue) dont le design ultra-contemporain met en valeur cet affichage assez fascinant tout en rendant hommage à un classique relativement méconnu de l’horlogerie.
Tombé en désuétude au cours du XXe siècle, ce système a été redécouvert et réintroduit par Audemars Piguet en 1991 sous le nom de Star Wheel, équipant de nombreux modèles jusqu’au début des années 2000.
En cet hiver 2022/2023, la Starwheel fait donc son grand retour au sein de la collection Code 11.59 (qui accueille d’ailleurs les principales innovations afin de mettre cette gamme en valeur dans le catalogue) dont le design ultra-contemporain met en valeur cet affichage assez fascinant tout en rendant hommage à un classique relativement méconnu de l’horlogerie.
L’aventurine bleue sert de toile de fond aux trois disques qui opèrent des rotations sur eux-mêmes à l’image de planètes dans l’univers réduit du cadran. Les trois disques légèrement bombés sont conçus en aluminium et teintés de noir par procédé PVD puis ornés d’une finition opaline et microbillée.
Les heures vagabondes sont quant à elles décalquées en blanc sur les disques. En écho à ces derniers, le secteur de 120 degrés qui s’étend en arc de cercle de 10h à 2h ainsi que le réhaut sont tous deux déclinés dans les tons noirs et ponctués de l’indication des minutes pour l’un et des secondes pour l’autre, en décalque blanc.
L’affichage de l’heure s’effectue grâce à un rotor central opérant une rotation complète en 3h et sur lequel sont fixés 3 disques en aluminium tournant également sur eux-mêmes. Chaque disque présente 4 chiffres numérotés de 1 à 12 qui pointent tour à tour vers le secteur arqué en haut du cadran sur lequel est imprimée l’échelle des minutes.
Les heures vagabondes sont quant à elles décalquées en blanc sur les disques. En écho à ces derniers, le secteur de 120 degrés qui s’étend en arc de cercle de 10h à 2h ainsi que le réhaut sont tous deux déclinés dans les tons noirs et ponctués de l’indication des minutes pour l’un et des secondes pour l’autre, en décalque blanc.
L’affichage de l’heure s’effectue grâce à un rotor central opérant une rotation complète en 3h et sur lequel sont fixés 3 disques en aluminium tournant également sur eux-mêmes. Chaque disque présente 4 chiffres numérotés de 1 à 12 qui pointent tour à tour vers le secteur arqué en haut du cadran sur lequel est imprimée l’échelle des minutes.
La trotteuse, en or gris 18 carats, légèrement courbée sur le bout pour suivre le relief des disques, se charge quant à elle d’indiquer les secondes, comme dans une montre traditionnelle.
L’architecture de la boîte de 41 mm (étanche à 30 mètres) est renforcée par la superposition de formes géométriques telles que le rond (lunette, fond, disques du mécanisme) et l’octogone arrondi (carrure). En outre, la lunette, les cornes et le fond en or gris contrastent avec la carrure en céramique noire à laquelle répond une nouvelle couronne, également en céramique noire.
À l’image des composants en or, la carrure en céramique est méticuleusement finie avec l’emblématique alternance de chanfreins polis et de surfaces satinées.
L’architecture de la boîte de 41 mm (étanche à 30 mètres) est renforcée par la superposition de formes géométriques telles que le rond (lunette, fond, disques du mécanisme) et l’octogone arrondi (carrure). En outre, la lunette, les cornes et le fond en or gris contrastent avec la carrure en céramique noire à laquelle répond une nouvelle couronne, également en céramique noire.
À l’image des composants en or, la carrure en céramique est méticuleusement finie avec l’emblématique alternance de chanfreins polis et de surfaces satinées.
Par ailleurs, les artisans d’AP ont mis à profit leur savoir-faire afin d’obtenir un alignement parfait entre les multiples surfaces angulaires et rondes de la boîte, un résultat uniquement possible grâce à leur travail manuel.
Côté cadran, la glace doublement incurvée magnifie les nombreux détails de l’aventurine bleue ainsi que les finitions des différents éléments tout en donnant davantage de profondeur au cadran. Côté fond, le saphir révèle le cœur battant de la montre, de même que la masse oscillante en or rose 22 carats dédiée à la collection.
Cette nouvelle référence est complétée par un bracelet caoutchouté noir et une nouvelle boucle ardillon gravée du logo Audemars Piguet en lieu et place de l’habituel monogramme AP.
Côté cadran, la glace doublement incurvée magnifie les nombreux détails de l’aventurine bleue ainsi que les finitions des différents éléments tout en donnant davantage de profondeur au cadran. Côté fond, le saphir révèle le cœur battant de la montre, de même que la masse oscillante en or rose 22 carats dédiée à la collection.
Cette nouvelle référence est complétée par un bracelet caoutchouté noir et une nouvelle boucle ardillon gravée du logo Audemars Piguet en lieu et place de l’habituel monogramme AP.