De plus en plus d’hommes se tournent vers le « bien s’habiller ». Il suffit pour s’en convaincre, de jeter un œil sur Instagram et de rechercher les comptes d’influenceurs proposant des conseils vestimentaires…
Certains totalement légitimes ; d’autres nettement moins. Certains très arrogants, d’autres plus, disons, civilisés. C’est un peu la limite des réseaux sociaux d’ailleurs : on y trouve le meilleur comme le pire, mais là n’est pas le débat, ni le sujet de cet article.
Ce qui est sûr, c’est que toute une nouvelle génération d’hommes est en recherche de beaux vêtements, de belle facture, classiques et donc intemporels. Une tendance qui va à l’encontre de la « fast fashion » pour se concentrer sur moins de pièces mais de meilleure qualité.
Certains totalement légitimes ; d’autres nettement moins. Certains très arrogants, d’autres plus, disons, civilisés. C’est un peu la limite des réseaux sociaux d’ailleurs : on y trouve le meilleur comme le pire, mais là n’est pas le débat, ni le sujet de cet article.
Ce qui est sûr, c’est que toute une nouvelle génération d’hommes est en recherche de beaux vêtements, de belle facture, classiques et donc intemporels. Une tendance qui va à l’encontre de la « fast fashion » pour se concentrer sur moins de pièces mais de meilleure qualité.
C’est ainsi qu’on voit apparaitre sur le marché toute une série de nouvelles jeunes marques qui se lancent sur ce créneaux ! Et parmi elles, Collaro.co à Singapour, dans le sud-est asiatique, créée par le talentueux et très stylé Travis Ng, passionné par le vêtement masculin depuis son adolescence.
Naturellement, la marque vend principalement sur place, mais pas que ! En effet, grâce à Instagram ou Facebook, elle trouve aussi des acheteurs en Europe et ailleurs, tant ses collections sont réalisées avec (bon) goût.
On aime ses chemises à larges rayures en lin, ses vestons en Seersucker (en « made to order »), ses pantalons à pinces avec pattes de serrage, ses jolies sahariennes proposées, là encore, en « made to order » dans un large choix de tissus ou ses polos en maille qui font un beau retour en force ces derniers temps.
Naturellement, la marque vend principalement sur place, mais pas que ! En effet, grâce à Instagram ou Facebook, elle trouve aussi des acheteurs en Europe et ailleurs, tant ses collections sont réalisées avec (bon) goût.
On aime ses chemises à larges rayures en lin, ses vestons en Seersucker (en « made to order »), ses pantalons à pinces avec pattes de serrage, ses jolies sahariennes proposées, là encore, en « made to order » dans un large choix de tissus ou ses polos en maille qui font un beau retour en force ces derniers temps.
Côté tarif, cela reste abordable pour des produits de cette qualité : 120 euros pour une chemise en lin, 220 euros pour un pantalon en lin ou encore, dans les 550 euros pour une veste en tweed Moon sans padding ni doublure pour plus de confort.
A noter que la marque, bien qu'étant installée à Singapour, ne propose pas uniquement des vêtements légers d'été mais également des pièces plus hivernales portables en Europe !
L’ensemble est toujours présenté de manière très élégante et très chic sur le compte Instagram de la marque ! Le bon goût en toute discrétion. Bref, la classe.
Jean-Philippe Tarot
A noter que la marque, bien qu'étant installée à Singapour, ne propose pas uniquement des vêtements légers d'été mais également des pièces plus hivernales portables en Europe !
L’ensemble est toujours présenté de manière très élégante et très chic sur le compte Instagram de la marque ! Le bon goût en toute discrétion. Bref, la classe.
Jean-Philippe Tarot