Avant d’entrer dans le détail de cette collection, rappelons en quelques mots le concept de régulateur. Outre son aspect hors norme dû à l’indépendance de chacune de ses aiguilles, le régulateur est le résultat d’une longue quête de la précision.
Une quête qui démarra en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Une quête qui démarra en 1714 avec le « Longitude Act », décret du Parlement Britannique qui promettait une somme importante à qui déterminerait avec précision le moyen de trouver la position d’un navire en mer.
On doit le tout premier régulateur à John Harrison ; c’est une brèche qui s’ouvre alors dans l’histoire de l’horlogerie, laissant place à la créativité et à l’innovation des maîtres et artisans horlogers qui vont désormais concevoir des montres dignes d’une longue et périlleuse poursuite de l’espace et du temps.
Depuis, la plupart des marques horlogères proposent leur régulateur -remis au goût du jour il y a une quinzaine d’années avec l’Alpina Extrem Régulateur qui relança cette complication auprès des amateurs de montres, notamment dans l’entrée de gamme. On en trouve aujourd’hui à tous les prix… Du plus cher au plus raisonnable (IWC, Chanel, Pequignet, etc.), mais très rarement dans les collections pour femmes.
Naturellement, fidèle à son esprit frondeur, on doit ce régulateur féminin à Corum. La collection a été baptisée fort justement Eleganza. Le fait est que ces pièces sont de toute beauté et très élégante ! « L’idée était de proposer une création précieuse et contemporaine à la fois » explique Jérôme Biard, PDG de Corum.
Et de poursuivre : « nous avons donc adopté un format rond traditionnel avec lunette sertie mais, en même temps, un affichage moderne de type régulateur, offrant un équilibre esthétique que l’on ne voit jamais sur une pièce féminine de standing ». C’est réussi.
L’heure se lit donc par le biais de trois compteurs dissociés : le premier, un guichet rond pour les heures à (midi), le deuxième pour les minutes dans la partie haute du cadran et enfin, le troisième pour les secondes à 6h.
Naturellement, fidèle à son esprit frondeur, on doit ce régulateur féminin à Corum. La collection a été baptisée fort justement Eleganza. Le fait est que ces pièces sont de toute beauté et très élégante ! « L’idée était de proposer une création précieuse et contemporaine à la fois » explique Jérôme Biard, PDG de Corum.
Et de poursuivre : « nous avons donc adopté un format rond traditionnel avec lunette sertie mais, en même temps, un affichage moderne de type régulateur, offrant un équilibre esthétique que l’on ne voit jamais sur une pièce féminine de standing ». C’est réussi.
L’heure se lit donc par le biais de trois compteurs dissociés : le premier, un guichet rond pour les heures à (midi), le deuxième pour les minutes dans la partie haute du cadran et enfin, le troisième pour les secondes à 6h.
Les trois compteurs sont alignés, induisant une lecture verticale de l’heure, intuitive et instantanée. Il faut juste un peu de temps pour s’y faire, l’affichage de l’heure par le biais d’un chiffre à heure sautante facilitant grandement les choses.
Plus concrètement il s’agit d’une collection dotée de boitiers (étanche 30 mètres) de taille contemporaine : 40 mm. Ce qui assure une belle présence au poignet ; présence renforcée par le fait que les bracelets sont relativement fins (16 mm) par rapport au diamètre de la boite.
Corum propose l’Eleganza en versions à pierre dure (tanzanite, aquamarine, tourmaline, améthyste) ou joaillière (diamant ou saphir). La première série de trois pièces est dotée d’une boite en argent (rare dans l’horlogerie de luxe), la seconde de quatre pièces d’une boite en or rose.
Plus concrètement il s’agit d’une collection dotée de boitiers (étanche 30 mètres) de taille contemporaine : 40 mm. Ce qui assure une belle présence au poignet ; présence renforcée par le fait que les bracelets sont relativement fins (16 mm) par rapport au diamètre de la boite.
Corum propose l’Eleganza en versions à pierre dure (tanzanite, aquamarine, tourmaline, améthyste) ou joaillière (diamant ou saphir). La première série de trois pièces est dotée d’une boite en argent (rare dans l’horlogerie de luxe), la seconde de quatre pièces d’une boite en or rose.
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