Les pierres de cette Golden Bridge rayonnent de leur éclat sur le cadran, la lunette, les cornes et la carrure, dessinant un motif ondoyant qui vient se prolonger tout autour du poignet dans la version avec bracelet entièrement pavée !
Spectacle captivant, cette composition met en scène pas moins de 546 saphirs baguette bleus (~ 20.63 cts) et 478 diamants baguette (~ 14.01 cts), ou respectivement 360 saphirs (~ 15.18 cts) et 10 diamants (~ 0.29 ct) pour la version avec bracelet en cuir de crocodile bleu paré d’une boucle sertie de 26 diamants ronds (0.31 ct).
Féminine et envoûtante, la Miss Golden Bridge joue, quant à elle, avec la palette chromatique avec pas moins de sept nuances… de rose. Les saphirs baguette roses viennent se fondre sur le cadran (86 saphirs pour ~ 1.56 ct), pétiller sur la lunette (53 saphirs pour ~ 3.1 cts), rayonner sur la carrure (84 saphirs pour ~ 3.1 cts), avant de déferler dans une cascade hypnotique sur le bracelet mettant en scène 233 saphirs baguette roses (~ 6.83 cts) et 176 diamants baguette (5.16 cts).
Par ailleurs, 10 diamants blancs de taille baguette (~ 0.32 ct) viennent moucheter cadran et boîtier. Également disponible avec un bracelet en crocodile blanc doté d’une boucle déployante en or 18 ct sertie de 20 diamants (~ 0.23 ct), cette pièce tout à la fois horlogère et joaillière fascine autant qu’elle séduit.
Spectacle captivant, cette composition met en scène pas moins de 546 saphirs baguette bleus (~ 20.63 cts) et 478 diamants baguette (~ 14.01 cts), ou respectivement 360 saphirs (~ 15.18 cts) et 10 diamants (~ 0.29 ct) pour la version avec bracelet en cuir de crocodile bleu paré d’une boucle sertie de 26 diamants ronds (0.31 ct).
Féminine et envoûtante, la Miss Golden Bridge joue, quant à elle, avec la palette chromatique avec pas moins de sept nuances… de rose. Les saphirs baguette roses viennent se fondre sur le cadran (86 saphirs pour ~ 1.56 ct), pétiller sur la lunette (53 saphirs pour ~ 3.1 cts), rayonner sur la carrure (84 saphirs pour ~ 3.1 cts), avant de déferler dans une cascade hypnotique sur le bracelet mettant en scène 233 saphirs baguette roses (~ 6.83 cts) et 176 diamants baguette (5.16 cts).
Par ailleurs, 10 diamants blancs de taille baguette (~ 0.32 ct) viennent moucheter cadran et boîtier. Également disponible avec un bracelet en crocodile blanc doté d’une boucle déployante en or 18 ct sertie de 20 diamants (~ 0.23 ct), cette pièce tout à la fois horlogère et joaillière fascine autant qu’elle séduit.
La Miss Golden Bridge sait aussi s’affranchir du rose pour s’habiller de saphirs cognac et de diamants blancs, dans un dégradé aux reflets ambrés mêlant 456 saphirs baguette (~ 14.59 cts) et 186 diamants baguette (~ 5.48 cts), ou respectivement 223 saphirs (~ 7.76 cts) et 10 diamants (~ 0.32 ct) pour la version avec bracelet en crocodile blanc.
Et puisque les diamants sont éternels, la Miss Golden Bridge se livre également dans une version pavée de diamants baguette blancs exclusivement, avec 642 pierres (~ 18.2 cts) dans la déclinaison entièrement sertie, ou 233 diamants (~ 7.62 cts) dans la proposition avec bracelet en crocodile blanc fermé par une boucle sertie de 20 diamants ronds (0.23ct).
Les sertissages de la Golden Bridge et de la Miss Golden Bridge requièrent de l’artisan à la fois des doigts d’or, une expérience éprouvée, une précision à toute épreuve, ainsi qu’un véritable « œil ». Le premier défi consiste à sélectionner les pierres qui devront non seulement être d’une extrême pureté, mais également parfaitement s’épouser entre elles.
Taille, forme, couleur : tout doit concourir à former l’accord parfait, car la moindre fausse note se verrait immédiatement. Pour mener cet exercice délicat, l’artisan ne peut compter que sur son expérience et son œil averti, qui sont d’autant plus sollicités avec les dégradés de couleurs présents sur les nouvelles pièces de Corum. Une fois la sélection des pierres réalisée, les surfaces en or blanc ou rose 18 ct de la Golden Bridge et la Miss Golden Bridge sont soigneusement préparées au cours de différentes opérations rigoureuses. Puis, le sertissage à proprement parler peut enfin commencer.
Si boîtier et bracelet sont sertis selon la méthode classique du serti invisible, Corum a dû réinterpréter cet art exigeant lorsqu’il s’est agi de paver le cadran, afin d’éviter que les plus petites pierres ne se brisent au cours de cet exercice délicat. Ainsi, plutôt que de pratiquer des encoches dans les gemmes pour accueillir l’armature métallique selon la méthode du serti invisible classique, Corum a dû procéder différemment.
Le cadran a d’abord été monté à l’envers sur une plaque transparente, sur laquelle a ensuite été coulé un alliage à base d’argent. En s’insinuant dans les minuscules interstices entre les pierres, la matière les solidarisait entre elles jusqu’à former une plaque, qui pouvait alors être retirée du support transparent, avant d’être montée sur le cadran en or. Et c’est précisément à ce moment que naissait la magie du serti invisible, puisque la structure métallique soutenant les pierres s’effaçait complètement, pour ne libérer que l’éclat inaltérable des saphirs et des diamants.
Et puisque les diamants sont éternels, la Miss Golden Bridge se livre également dans une version pavée de diamants baguette blancs exclusivement, avec 642 pierres (~ 18.2 cts) dans la déclinaison entièrement sertie, ou 233 diamants (~ 7.62 cts) dans la proposition avec bracelet en crocodile blanc fermé par une boucle sertie de 20 diamants ronds (0.23ct).
Les sertissages de la Golden Bridge et de la Miss Golden Bridge requièrent de l’artisan à la fois des doigts d’or, une expérience éprouvée, une précision à toute épreuve, ainsi qu’un véritable « œil ». Le premier défi consiste à sélectionner les pierres qui devront non seulement être d’une extrême pureté, mais également parfaitement s’épouser entre elles.
Taille, forme, couleur : tout doit concourir à former l’accord parfait, car la moindre fausse note se verrait immédiatement. Pour mener cet exercice délicat, l’artisan ne peut compter que sur son expérience et son œil averti, qui sont d’autant plus sollicités avec les dégradés de couleurs présents sur les nouvelles pièces de Corum. Une fois la sélection des pierres réalisée, les surfaces en or blanc ou rose 18 ct de la Golden Bridge et la Miss Golden Bridge sont soigneusement préparées au cours de différentes opérations rigoureuses. Puis, le sertissage à proprement parler peut enfin commencer.
Si boîtier et bracelet sont sertis selon la méthode classique du serti invisible, Corum a dû réinterpréter cet art exigeant lorsqu’il s’est agi de paver le cadran, afin d’éviter que les plus petites pierres ne se brisent au cours de cet exercice délicat. Ainsi, plutôt que de pratiquer des encoches dans les gemmes pour accueillir l’armature métallique selon la méthode du serti invisible classique, Corum a dû procéder différemment.
Le cadran a d’abord été monté à l’envers sur une plaque transparente, sur laquelle a ensuite été coulé un alliage à base d’argent. En s’insinuant dans les minuscules interstices entre les pierres, la matière les solidarisait entre elles jusqu’à former une plaque, qui pouvait alors être retirée du support transparent, avant d’être montée sur le cadran en or. Et c’est précisément à ce moment que naissait la magie du serti invisible, puisque la structure métallique soutenant les pierres s’effaçait complètement, pour ne libérer que l’éclat inaltérable des saphirs et des diamants.
Ces deux modèles sont dotés d’un calibre linéaire capable d’épouser aussi bien le boîtier tonneau de la Golden Bridge (35 x 51.2 mm) que celui, plus petit, de la Miss Golden Bridge (23.3 x 44.26 mm).
Incarnation de l’insatiable quête de linéarité que poursuit la marque chaux-de-fonnière, le calibre CO 113 est prolongé par la couronne à 6h, parfaitement alignée dans son axe vertical.
Un ingénieux système de remontage à bride glissante permet d’éviter de forcer le mécanisme, tandis qu’un embrayage a été spécialement développé pour dissocier le remontage de la mise à l’heure, dans une construction astucieuse où les roues et pignons sont montés entre la platine et le pont.
Le calibre CO 113 est doté d’un balancier à inertie variable pour une formidable régularité dans la durée, plutôt que d’un système classique à raquette. Renforçant encore ses performances, il est muni de deux piliers visibles sur les ponts pour plus de résistance et de rigidité. Son pont supérieur en or 18 ct arbore la signature Corum gravée à la main, de même que de fines ondulations représentant les trois variétés de fougères poussant dans les forêts chaux-de-fonnières, région qui a vu éclore la marque Corum. Ce tandis que les quatre verres saphir –glace, fond et carrure– permettent d’admirer à 360° la danse des rouages de cette fine mécanique battant à la fréquence de 4 Hz (28'800 alternances/heure), pour une réserve de marche de 40 heures.
Incarnation de l’insatiable quête de linéarité que poursuit la marque chaux-de-fonnière, le calibre CO 113 est prolongé par la couronne à 6h, parfaitement alignée dans son axe vertical.
Un ingénieux système de remontage à bride glissante permet d’éviter de forcer le mécanisme, tandis qu’un embrayage a été spécialement développé pour dissocier le remontage de la mise à l’heure, dans une construction astucieuse où les roues et pignons sont montés entre la platine et le pont.
Le calibre CO 113 est doté d’un balancier à inertie variable pour une formidable régularité dans la durée, plutôt que d’un système classique à raquette. Renforçant encore ses performances, il est muni de deux piliers visibles sur les ponts pour plus de résistance et de rigidité. Son pont supérieur en or 18 ct arbore la signature Corum gravée à la main, de même que de fines ondulations représentant les trois variétés de fougères poussant dans les forêts chaux-de-fonnières, région qui a vu éclore la marque Corum. Ce tandis que les quatre verres saphir –glace, fond et carrure– permettent d’admirer à 360° la danse des rouages de cette fine mécanique battant à la fréquence de 4 Hz (28'800 alternances/heure), pour une réserve de marche de 40 heures.