On le sait, de nombreux vêtements du vestiaire masculin sont issus du vestiaire militaire : caban, trench-coat, saharienne, bomber ou encore, veste d’aviateur...
Tous ces habits aux origines martiales sont portés de nos jours au quotidien par des hommes et des femmes qui apprécient la qualité, l’usage et le design de ces tenues devenues de grands classiques qui défient les tendances et les modes.
La maison Coulange 1918 s’inscrit dans cet esprit en commercialisant depuis quelques mois toute une collection issue des vêtements de l’armée. Un univers qu’elle connait bien puisqu’elle fut fournisseur officiel de l’Armée française !
Tous ces habits aux origines martiales sont portés de nos jours au quotidien par des hommes et des femmes qui apprécient la qualité, l’usage et le design de ces tenues devenues de grands classiques qui défient les tendances et les modes.
La maison Coulange 1918 s’inscrit dans cet esprit en commercialisant depuis quelques mois toute une collection issue des vêtements de l’armée. Un univers qu’elle connait bien puisqu’elle fut fournisseur officiel de l’Armée française !
Petit retour en arrière : les origines de la marque Coulange remontent au 19ème siècle, lorsque la famille Caigné fonda à Mayenne (53) une entreprise de confection de tissus.
Dès 1853, Marie-Héloïse Klaiber, née Caigné, à l’origine de cette aventure, déposera un premier brevet, suivi quelques années plus tard d’un deuxième brevet pour un tissu portant son nom, le tissu Caigné.
L’entreprise connaît alors un essor florissant. En 1852, elle emploie 83 ouvriers ; ils seront 240 en 1975 ! L’entreprise deviendra Coulange au début du 20ème siècle (en 1918) quand la manufacture sera reprise par Madame Coulange et ses fils.
Dès 1853, Marie-Héloïse Klaiber, née Caigné, à l’origine de cette aventure, déposera un premier brevet, suivi quelques années plus tard d’un deuxième brevet pour un tissu portant son nom, le tissu Caigné.
L’entreprise connaît alors un essor florissant. En 1852, elle emploie 83 ouvriers ; ils seront 240 en 1975 ! L’entreprise deviendra Coulange au début du 20ème siècle (en 1918) quand la manufacture sera reprise par Madame Coulange et ses fils.
Elle se spécialise à cette époque dans la fabrication de vêtements techniques. Quelques années plus tard, arrive la consécration pour cette entreprise : elle coud fièrement ses étiquettes portant la mention « Coulange, Mayenne, Tissu extérieur Hydrofuge, Nettoyage à sec » sur les vêtements de l’Armée française dont elle devient fournisseur officiel.
Pour l'Armée de Terre, Coulange produira notamment la veste militaire M47 et pour la Marine Nationale, la veste de quart, ce vêtement chaud et imperméable qui constituera jusqu’à la fin des années 1990, l’équipement des marins pour se protéger de l'eau, du vent et du froid.
Dans les années 2000, l’entreprise va connaitre quelques déboires financiers… Elle sera déclarée en faillite en 2004 et renaitra de ses cendres en 2022 avec de nouvelles collections résolument haut de gamme et des prix nettement plus élevés.
Pour l'Armée de Terre, Coulange produira notamment la veste militaire M47 et pour la Marine Nationale, la veste de quart, ce vêtement chaud et imperméable qui constituera jusqu’à la fin des années 1990, l’équipement des marins pour se protéger de l'eau, du vent et du froid.
Dans les années 2000, l’entreprise va connaitre quelques déboires financiers… Elle sera déclarée en faillite en 2004 et renaitra de ses cendres en 2022 avec de nouvelles collections résolument haut de gamme et des prix nettement plus élevés.
Fort de son héritage militaire, tous les vêtements de Coulange 1918 s’inspirent d’habits de l’armée de terre, de mer et de l’air !
Du fameux caban -une splendide version en cachemire à 3.000 euros- au blouson d’aviateur en passant par une saharienne, une parka héritage (veste de quart) ou encore, un trench-coat ou la fameuse veste M47, signature emblématique de la maison !
Aujourd’hui, tous ces vêtements (hommes ou femmes) sont confectionnés à la main en France dans l’atelier mayennais de la marque.
Du fameux caban -une splendide version en cachemire à 3.000 euros- au blouson d’aviateur en passant par une saharienne, une parka héritage (veste de quart) ou encore, un trench-coat ou la fameuse veste M47, signature emblématique de la maison !
Aujourd’hui, tous ces vêtements (hommes ou femmes) sont confectionnés à la main en France dans l’atelier mayennais de la marque.
Le coton de la veste de quart est traité déperlant pour protéger de la pluie et des intempéries. Les matières utilisées sont nobles et 100% naturelles, organiques et recyclées, sélectionnées avec le plus grand soin.
La production se fait exclusivement à la demande, pour une approche écoresponsable qui permet de réduire considérablement l’impact sur l’environnement en limitant les stocks de production. Tout en évitant également de gros investissements de départ.
« Last but not least », tous ces vêtements sont garantis à vie.
La production se fait exclusivement à la demande, pour une approche écoresponsable qui permet de réduire considérablement l’impact sur l’environnement en limitant les stocks de production. Tout en évitant également de gros investissements de départ.
« Last but not least », tous ces vêtements sont garantis à vie.
