La marque D1 Milano a été fondée en 2013 par l’Italien Dario Spallone ; une décennie d’existence. On se souvient des commentaires à l’époque de son lancement : « ça ressemble à une Royal Oak mélangée avec une Nautilus ».
Certes, la « filiation » est indéniable : incontestablement, ces deux icônes de l’horlogerie de luxe font partie des sources d’inspiration de ces belles italiennes. Oui mais voilà, pas dans la même gamme de prix !
Et tout le monde n’a pas les moyens de s’offrir une Audemars Piguet ou une Patek Philippe, d’autant que les « sportives » de ces deux manufactures ne sont pratiquement pas disponibles sur le marché officiel et qu’il faut payer trois ou quatre fois le prix sur le marché gris pour s’en offrir une.
Certes, la « filiation » est indéniable : incontestablement, ces deux icônes de l’horlogerie de luxe font partie des sources d’inspiration de ces belles italiennes. Oui mais voilà, pas dans la même gamme de prix !
Et tout le monde n’a pas les moyens de s’offrir une Audemars Piguet ou une Patek Philippe, d’autant que les « sportives » de ces deux manufactures ne sont pratiquement pas disponibles sur le marché officiel et qu’il faut payer trois ou quatre fois le prix sur le marché gris pour s’en offrir une.
Bref, dix ans après son lancement, la marque D1 Milano (à découvrir chez Emile Leon) est toujours là et ses modèles se vendent très bien ! Qu’ils soient quartz ou mécaniques. Un catalogue de plusieurs montres bien pensées et d’un excellent rapport qualité-prix.
Alors que les grands week-ends de printemps et les vacances d’été se profilent à l’horizon, voici le compagnon idéal de vos prochaines escapades en bord de mer. Une plongeuse au design efficace, d’un excellent rapport qualité-prix et qui possède tous les attributs d’une grande à moins de 500 euros.
Son boitier en acier 316L offre un généreux diamètre de 43,5 mm, étanche à 300 mètres (pour un poids de 155 grammes). Pour ne pas gêner les mouvements du poignet, la couronne vissée, a été placée à 4h.
Alors que les grands week-ends de printemps et les vacances d’été se profilent à l’horizon, voici le compagnon idéal de vos prochaines escapades en bord de mer. Une plongeuse au design efficace, d’un excellent rapport qualité-prix et qui possède tous les attributs d’une grande à moins de 500 euros.
Son boitier en acier 316L offre un généreux diamètre de 43,5 mm, étanche à 300 mètres (pour un poids de 155 grammes). Pour ne pas gêner les mouvements du poignet, la couronne vissée, a été placée à 4h.
Le cadran bleu, très réussi, s’avère très lisible avec ses index ronds dont quatre en 3D, ses larges aiguilles et sa trotteuse « lollypop » (tous avec revêtement en Superluminova) indispensable sur une plongeuse puisqu’elle sert aussi d’indicateur de fonctionnement ! Seule la date à 4h n’était pas forcément nécessaire, mais bon ! L’ensemble est protégé par un verre saphir antireflet.
On aime aussi le réhaut tournant interne (de couleur grise) en lieu et place d’une lunette unidirectionnelle qui se règle grâce à la couronne placée à 10h. Cela rend cette plongeuse plus atypique et offre un côté plus « technique » puisque ce système de décompte de temps de plongée s’avère tout de même moins courant que la lunette…
Ce garde-temps embarque sous l’eau, un calibre mécanique automatique japonais, le NH35, de chez Seiko. L’ensemble se porte sur un bracelet en silicone noir se fermant par le biais d’une boucle déployante avec clapet de sécurité.
On aime aussi le réhaut tournant interne (de couleur grise) en lieu et place d’une lunette unidirectionnelle qui se règle grâce à la couronne placée à 10h. Cela rend cette plongeuse plus atypique et offre un côté plus « technique » puisque ce système de décompte de temps de plongée s’avère tout de même moins courant que la lunette…
Ce garde-temps embarque sous l’eau, un calibre mécanique automatique japonais, le NH35, de chez Seiko. L’ensemble se porte sur un bracelet en silicone noir se fermant par le biais d’une boucle déployante avec clapet de sécurité.