Les montres à double face ne sont pas une invention récente. Depuis plus de deux siècles, ces mécanismes singuliers naissent entre les mains d’horlogers ouverts aux idées nouvelles du Siècle des lumières, souvent inspirés d’astronomie, d’arts décoratifs et de génie mécanique.
Avec la tentation des grandes complications, la solution d’un boitier double face s’est ainsi naturellement répandue, pour y exprimer l’étendue de leurs savoir-faire tant dans le domaine esthétique que technique en permettant d’afficher un plus grand nombre de fonctions.
Quelques grandes réalisations ont ainsi jalonné l’histoire horlogère. Déjà sous la Renaissance, les horloges de tour dont la plus célèbre se situe à Venise, offraient plusieurs visages. Un peu plus tard, certaines horloges de table avec leurs cadrans verticaux, à quatre facettes, proposaient elles-aussi plusieurs identités en un seul objet.
Avec la tentation des grandes complications, la solution d’un boitier double face s’est ainsi naturellement répandue, pour y exprimer l’étendue de leurs savoir-faire tant dans le domaine esthétique que technique en permettant d’afficher un plus grand nombre de fonctions.
Quelques grandes réalisations ont ainsi jalonné l’histoire horlogère. Déjà sous la Renaissance, les horloges de tour dont la plus célèbre se situe à Venise, offraient plusieurs visages. Un peu plus tard, certaines horloges de table avec leurs cadrans verticaux, à quatre facettes, proposaient elles-aussi plusieurs identités en un seul objet.
Suivirent les montres de poche jouant ainsi de leurs deux cadrans, la plus fameuse étant la Leroy 01 de Louis Leroy présentée en 1900 au Grand Prix de l'Exposition Universelle de Paris qui restera longtemps la montre la plus compliquée jamais créée.
Dans les complications horlogères, les montres à double face occupent donc une place à part. Une place dans laquelle s’inscrit désormais cette De Bethune référence DBK2TV1 en titane de grade 5.
Cette DB Kind of Two Tourbillon arbore sur la première face, un cadran au design contemporain avec les heures et minutes au centre, un tourbillon à 6h avec indication des secondes en 30 secondes. Un travail d’intégration des formes polies, bombées, des parties mattes ou brillantes, des différentes épaisseurs et niveaux, offre une sensation d’espace et de volume optimal, compte-tenu de la hauteur minimale à disposition pour une montre à tourbillon.
Dans les complications horlogères, les montres à double face occupent donc une place à part. Une place dans laquelle s’inscrit désormais cette De Bethune référence DBK2TV1 en titane de grade 5.
Cette DB Kind of Two Tourbillon arbore sur la première face, un cadran au design contemporain avec les heures et minutes au centre, un tourbillon à 6h avec indication des secondes en 30 secondes. Un travail d’intégration des formes polies, bombées, des parties mattes ou brillantes, des différentes épaisseurs et niveaux, offre une sensation d’espace et de volume optimal, compte-tenu de la hauteur minimale à disposition pour une montre à tourbillon.
A noter une nouvelle forme de pont deltoïde, cette fois parfaitement symétrique, qui est positionnée au centre, tel un triangle isocèle et qui participe à l’harmonie de l’ensemble.
Sur l‘autre face, c’est un cadran à l’inspiration esthétique plus classique, arborant une partie centrale
finement guillochée à la main, entourée des chiffres déjà présents historiquement chez De Bethune sur
les cadrans des DB8 et DB10. Dans les deux cas, les aiguilles sont en titane bleui.
Le tourbillon avec sa seconde a disparu. Ici les aiguilles des heures, des minutes, et plus surprenant des secondes sont positionnées toutes ensemble au centre. Un challenge technique pas forcément visible au premier coup d’œil, et c’est bien là, l’élégance de cette pièce.
Facile d’utilisation, mais hautement complexe, le système des berceaux mobiles se prêtent particulièrement bien à la « bascule » de la boite.
Sur l‘autre face, c’est un cadran à l’inspiration esthétique plus classique, arborant une partie centrale
finement guillochée à la main, entourée des chiffres déjà présents historiquement chez De Bethune sur
les cadrans des DB8 et DB10. Dans les deux cas, les aiguilles sont en titane bleui.
Le tourbillon avec sa seconde a disparu. Ici les aiguilles des heures, des minutes, et plus surprenant des secondes sont positionnées toutes ensemble au centre. Un challenge technique pas forcément visible au premier coup d’œil, et c’est bien là, l’élégance de cette pièce.
Facile d’utilisation, mais hautement complexe, le système des berceaux mobiles se prêtent particulièrement bien à la « bascule » de la boite.
Redessinés pour l’occasion, ils ont été équipés de chaque côté d’un petit mécanisme de rotation composé de 28 composants, tous fabriqués pour une question de fiabilité dans des matériaux inoxydables comme l’acier chirurgical ou le titane, pour résister aux agressions extérieures de l’eau, de l’humidité, des écarts de température et des contacts continus avec la peau.
Grâce à une came, le petit « cran » permet de positionner instinctivement et parfaitement la boite de la montre dans l’alignement des berceaux. Tout en rondeur, la boite (étanche à 30 mètres) tourne sur son axe central et se met en place, recto ou verso, d’une manière fluide et complètement naturelle.
Enfin, la carrure de la DB29 s’est rapidement imposée au projet de boite pivotante nourrie par De Bethune. Parfaitement symétrique, sa forme offre un équilibre avec les berceaux et sa couronne totalement intégrée à 12h (ou 6h selon la face choisie).
Ce nouveau calibre à remontage manuel, le DB2579, a été entièrement développé au sein de la manufacture De Bethune à l’Auberson dans le Jura suisse. Il offre 256 composants, 32 rubis et une réserve de marche de 5 jours assurée par un double barillet autorégulateur. Il bat à 36'000 alt/h.
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator extra-souple doublé alligator sur boucle ardillon en titane grade 5 poli.
Grâce à une came, le petit « cran » permet de positionner instinctivement et parfaitement la boite de la montre dans l’alignement des berceaux. Tout en rondeur, la boite (étanche à 30 mètres) tourne sur son axe central et se met en place, recto ou verso, d’une manière fluide et complètement naturelle.
Enfin, la carrure de la DB29 s’est rapidement imposée au projet de boite pivotante nourrie par De Bethune. Parfaitement symétrique, sa forme offre un équilibre avec les berceaux et sa couronne totalement intégrée à 12h (ou 6h selon la face choisie).
Ce nouveau calibre à remontage manuel, le DB2579, a été entièrement développé au sein de la manufacture De Bethune à l’Auberson dans le Jura suisse. Il offre 256 composants, 32 rubis et une réserve de marche de 5 jours assurée par un double barillet autorégulateur. Il bat à 36'000 alt/h.
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator extra-souple doublé alligator sur boucle ardillon en titane grade 5 poli.