Cela fait déjà quelques années que les Japonais connaissent la maison française Jean Rousseau qui est installée en plein cœur de Ginza à Tokyo, où elle fabrique sur place, certains de ses bracelets pour montres sur-mesure.
Mais la relation de Jean Rousseau avec le Japon ne se limite pas à ce magasin-atelier tokyoïte. En effet, la marque française a également initié un beau partenariat avec la maison Sawaya Jyubei, installée à Kyoto -ville réputée pour ses savoir-faire traditionnels et ancestraux- depuis 250 ans.
Cette manufacture est reconnue pour son travail de la soie. Fondée à Kyoto en 1776, elle fabrique notamment des obi (ceintures d’habits traditionnels japonais) d’une qualité exceptionnelle. De fait, Jyubei Sawaya incarne la 8ème génération de « maîtres tisseurs » de la famille fondatrice.
Mais la relation de Jean Rousseau avec le Japon ne se limite pas à ce magasin-atelier tokyoïte. En effet, la marque française a également initié un beau partenariat avec la maison Sawaya Jyubei, installée à Kyoto -ville réputée pour ses savoir-faire traditionnels et ancestraux- depuis 250 ans.
Cette manufacture est reconnue pour son travail de la soie. Fondée à Kyoto en 1776, elle fabrique notamment des obi (ceintures d’habits traditionnels japonais) d’une qualité exceptionnelle. De fait, Jyubei Sawaya incarne la 8ème génération de « maîtres tisseurs » de la famille fondatrice.
Ces deux artisans partisans du respect des belles matières se sont associés pour faire naître une collection mêlant tissus rares et cuirs de veau. C’est ainsi, qu’est née la collection « Tsuyayaka »*, une série de quelques pièces uniques disponibles en ligne et en boutiques.
A l’origine, cette collab’ est née du désir d’un client japonais… « Chez Sawaya, nous avions envie de créer de nouveaux produits à partir du tissu d’un obi, dont des bracelets de montres. C’est un client qui nous a recommandé Jean Rousseau et, au moment de notre rencontre, nous nous sommes reconnus dans l’atmosphère d’atelier qui régnait chez Jean Rousseau. Nos artisans se sont très vite entendus et compris ».
Dans la pratique il s’agit de bracelets (bombés) ou de petites maroquineries bimatières associant la soie japonaise de Sawaya Jyubei à du cuir de veau. Trois couleurs sont disponibles : rouge, bleu ou gris avec différentes largeurs et longueurs de brins. Des pièces plutôt destinées à des montres pour femmes et/ou des montres de ville mixtes. Compter 220 euros sur boucle ardillon.
*« Tsuyayaka » exprimant la notion de « la beauté à l’usage ».
A l’origine, cette collab’ est née du désir d’un client japonais… « Chez Sawaya, nous avions envie de créer de nouveaux produits à partir du tissu d’un obi, dont des bracelets de montres. C’est un client qui nous a recommandé Jean Rousseau et, au moment de notre rencontre, nous nous sommes reconnus dans l’atmosphère d’atelier qui régnait chez Jean Rousseau. Nos artisans se sont très vite entendus et compris ».
Dans la pratique il s’agit de bracelets (bombés) ou de petites maroquineries bimatières associant la soie japonaise de Sawaya Jyubei à du cuir de veau. Trois couleurs sont disponibles : rouge, bleu ou gris avec différentes largeurs et longueurs de brins. Des pièces plutôt destinées à des montres pour femmes et/ou des montres de ville mixtes. Compter 220 euros sur boucle ardillon.
*« Tsuyayaka » exprimant la notion de « la beauté à l’usage ».