En quelques années, le bracelet Nato est entré dans le quotidien des amateurs d’horlogerie. Démocratisé à l’origine par James Bond, mis à la mode par les Italiens (toujours eux), depuis quelques saisons, ce bracelet en nylon fait fureur.
Toutes les grandes marques s’en sont emparé : d’Hamilton à Chanel en passant par Tudor qui proposent tous désormais, des modèles équipés de ce mythique bracelet.
Jusqu’à maintenant, tout le monde portait son Nato de la manière la plus évidente qui soit. Une fois le Nato placé sur la montre, on le fixe naturellement au poignet comme n’importe quel autre bracelet doté d’une boucle ardillon. Simple et logique.
Toutefois, dans ce cas de figure, la double épaisseur de tissu qui se trouve sous le boitier rend la montre « très épaisse ». Et puis, en fonction de la taille du poignet, la boucle n’est pas toujours centrée…
C’est donc là qu’intervient la seconde manière de porter un Nato… Vous l’aurez remarqué, une seconde bande de tissu avec attache acier vient se placer sous votre boitier. Il vous suffit d’écarter cette seconde bande au maximum, et d’y enfiler votre poignet. Trois avantages. L’épaisseur du bracelet conjuguée à celle de la montre est moindre. Premier avantage. La montre est sécurisée sur le poignet quand on la met et qu’on la retire. Deuxième avantage. Enfin, il est plus facile de régler le positionnement de la boucle ardillon en déplaçant le boitier. Troisième et dernier avantage.
Quant à savoir qu’elle est la « bonne » manière de vraiment porter son Nato… Mystère ! En tout cas, les deux cas de figures sont possibles. Deux adresses à Paris pour les Nato, chez MisterChrono (l’un des choix les plus larges) et chez ABP pour de somptueux Nato en alligator !
Toutes les grandes marques s’en sont emparé : d’Hamilton à Chanel en passant par Tudor qui proposent tous désormais, des modèles équipés de ce mythique bracelet.
Jusqu’à maintenant, tout le monde portait son Nato de la manière la plus évidente qui soit. Une fois le Nato placé sur la montre, on le fixe naturellement au poignet comme n’importe quel autre bracelet doté d’une boucle ardillon. Simple et logique.
Toutefois, dans ce cas de figure, la double épaisseur de tissu qui se trouve sous le boitier rend la montre « très épaisse ». Et puis, en fonction de la taille du poignet, la boucle n’est pas toujours centrée…
C’est donc là qu’intervient la seconde manière de porter un Nato… Vous l’aurez remarqué, une seconde bande de tissu avec attache acier vient se placer sous votre boitier. Il vous suffit d’écarter cette seconde bande au maximum, et d’y enfiler votre poignet. Trois avantages. L’épaisseur du bracelet conjuguée à celle de la montre est moindre. Premier avantage. La montre est sécurisée sur le poignet quand on la met et qu’on la retire. Deuxième avantage. Enfin, il est plus facile de régler le positionnement de la boucle ardillon en déplaçant le boitier. Troisième et dernier avantage.
Quant à savoir qu’elle est la « bonne » manière de vraiment porter son Nato… Mystère ! En tout cas, les deux cas de figures sont possibles. Deux adresses à Paris pour les Nato, chez MisterChrono (l’un des choix les plus larges) et chez ABP pour de somptueux Nato en alligator !
