Alors que Dietrich, jeune marque horlogère quelque peu discrète depuis quelques temps vient de présenter sa nouvelle campagne de communication, l’horloger indépendant disruptif dans l’entrée de gamme, un peu à l’image de Seven Friday, introduit sa dernière création.
On reste globalement dans le même esprit que l’Organic Time sortie en 2017 (on ne change pas une équipe qui gagne) mais dans une version revue et corrigée. Parmi les grosses différences, on aime le fait que désormais, le verre saphir recouvre toute la surface supérieure du boitier de la montre ; auparavant, le verre était doté d’une sorte de lunette en acier avec 4 vis.
On reste globalement dans le même esprit que l’Organic Time sortie en 2017 (on ne change pas une équipe qui gagne) mais dans une version revue et corrigée. Parmi les grosses différences, on aime le fait que désormais, le verre saphir recouvre toute la surface supérieure du boitier de la montre ; auparavant, le verre était doté d’une sorte de lunette en acier avec 4 vis.
On aime également le cadran plus épuré : exit l’indication 24h qui ne servait pas à grand-chose et la petite seconde à 4h qui était dû à l’utilisation d’un calibre Miyota. Cette fois-ci, Dietrich a opté pour un calibre ETA 2824-2 (38h de réserve de marche) et donc, pour une trois aiguilles-date. On retrouve ses fameuses aiguilles heures et minutes si identitaires ici associées à une belle trotteuse. A noter que les rubis du calibre sont apparents sur le cadran, une bonne idée.
L’ensemble est intégré dans un imposant boitier de forme en acier noir -46x45mm, étanche à 50 mètres- sans corne et avec bracelet interchangeable en un tournemain. Une belle nouveauté qui devrait légitiment offrir un second souffle à la marque.
L’ensemble est intégré dans un imposant boitier de forme en acier noir -46x45mm, étanche à 50 mètres- sans corne et avec bracelet interchangeable en un tournemain. Une belle nouveauté qui devrait légitiment offrir un second souffle à la marque.