Concrètement, celui-ci s’organise en une succession de petits salons intimistes, développés autour d’un atrium lumineux s’étendant sur deux niveaux. inspiré de l’hôtel particulier de la maison Dior, situé au 30, avenue Montaigne à Paris, l’espace joue avec les codes du 18ème siècle français et ceux de la marque :
le sol en pierre de tavel et cabochons de marbre noir ; le parquet de chêne en points de Hongrie ; les murs habillés de panneaux moulurés ou gainés de tissu plissé ; une balustrade et des garde-corps dans le style de Jules Hardouin-mansart, architecte de la place Vendôme ; le gris Dior, décliné en une palette infinie de tons et de matières ; la chaise médaillon, tapissée de soie, de velours ou de cuir ; le verseau, signe astral de monsieur Dior, traité en constellation de lumières au plafond.
Mais l’art et l’artisanat, chers à Christian Dior, sont également très présents : un tableau de Damien Hirst, « Judas the disciple » (collection LVMH) ; un tableau de Martin Kline, « temperamental and tempest » ; un lustre monumental de Lee Bul (collection LVMH) ; une table-sculpture de Philippe Hiquily ; une table d’Alasdair Cooke ; des guéridons de Juan et Paloma Garrido ; des lampes et des tabourets de Laurent Chauvat ; des lampes et un miroir de Véronique Rivemale ; des tabourets d’Alexandre Logé ; et enfin, un vase en argent de Ndidi Ekubia.
A l’occasion de la réouverture de cette boutique, Dior Joaillerie a bien sur présenté en avant-première des collections exclusives de joaillerie (bagues, boucles d’oreilles, etc.) mais également, côté horlogerie, la montre Dior Christal Vendôme. Limitée à 8 exemplaires et dotée du mouvement breveté « Dior 8 fuseaux horaires », son satellite indique simultanément l’heure locale, celle de 8 fuseaux horaires et le jour/nuit. Toute en dégradé de gris, cette montre en diamants et bracelet en python, avec son cadran recouvert d’une feuille de palladium, de nacre et d’or, rend hommage aux codes de la maison (l’or, le gris, les moulures) et à la boutique de la place Vendôme, dont elle arbore le nom sur son boitier…
le sol en pierre de tavel et cabochons de marbre noir ; le parquet de chêne en points de Hongrie ; les murs habillés de panneaux moulurés ou gainés de tissu plissé ; une balustrade et des garde-corps dans le style de Jules Hardouin-mansart, architecte de la place Vendôme ; le gris Dior, décliné en une palette infinie de tons et de matières ; la chaise médaillon, tapissée de soie, de velours ou de cuir ; le verseau, signe astral de monsieur Dior, traité en constellation de lumières au plafond.
Mais l’art et l’artisanat, chers à Christian Dior, sont également très présents : un tableau de Damien Hirst, « Judas the disciple » (collection LVMH) ; un tableau de Martin Kline, « temperamental and tempest » ; un lustre monumental de Lee Bul (collection LVMH) ; une table-sculpture de Philippe Hiquily ; une table d’Alasdair Cooke ; des guéridons de Juan et Paloma Garrido ; des lampes et des tabourets de Laurent Chauvat ; des lampes et un miroir de Véronique Rivemale ; des tabourets d’Alexandre Logé ; et enfin, un vase en argent de Ndidi Ekubia.
A l’occasion de la réouverture de cette boutique, Dior Joaillerie a bien sur présenté en avant-première des collections exclusives de joaillerie (bagues, boucles d’oreilles, etc.) mais également, côté horlogerie, la montre Dior Christal Vendôme. Limitée à 8 exemplaires et dotée du mouvement breveté « Dior 8 fuseaux horaires », son satellite indique simultanément l’heure locale, celle de 8 fuseaux horaires et le jour/nuit. Toute en dégradé de gris, cette montre en diamants et bracelet en python, avec son cadran recouvert d’une feuille de palladium, de nacre et d’or, rend hommage aux codes de la maison (l’or, le gris, les moulures) et à la boutique de la place Vendôme, dont elle arbore le nom sur son boitier…
Dior Joaillerie - Horlogerie
8, place Vendôme
75001 Paris
8, place Vendôme
75001 Paris