On ne présente plus cette Sub 300 de chez Doxa, l’un des best-sellers de cette maison horlogère suisse indépendante. Cette « plongeuse » professionnelle mais destinée aussi au grand public est née à l’origine en 1967.
Rapidement, elle s’est imposée sur le marché avec son étanchéité à 300 mètres et sa lunette unidirectionnelle dotée d’une double indication mettant le temps de plongée en relation avec la profondeur pour permettre une remontée sans paliers de décompression.
À l'époque, la table de plongée sans décompression de l'US Navy est la bible, permettant aux plongeurs de surveiller leur temps sous l'eau en fonction de la profondeur pour assurer un retour à la surface en toute sécurité.
Rapidement, elle s’est imposée sur le marché avec son étanchéité à 300 mètres et sa lunette unidirectionnelle dotée d’une double indication mettant le temps de plongée en relation avec la profondeur pour permettre une remontée sans paliers de décompression.
À l'époque, la table de plongée sans décompression de l'US Navy est la bible, permettant aux plongeurs de surveiller leur temps sous l'eau en fonction de la profondeur pour assurer un retour à la surface en toute sécurité.
Les ingénieurs de Doxa reprirent les valeurs de l’US Navy et incorporèrent deux échelles séparées dans la lunette, l'une orange pour l'anneau extérieur « profondeur » et l'autre noire pour l'anneau intérieur « minutes » -un brevet Doxa.
Cette montre deviendra une légende facilement reconnaissable car elle présentait également pour la première fois un cadran orange pour une montre de plongée, contrastant avec les cadrans traditionnels noirs ou blancs de l’époque.
À partir de 1968, on voit une SUB 300 sur les poignets des plongeurs qui sautent de la Calypso pour emmener des millions de téléspectateurs sur les missions légendaires de « L’Odyssée sous-marine de l'équipe Cousteau ».
Cette montre deviendra une légende facilement reconnaissable car elle présentait également pour la première fois un cadran orange pour une montre de plongée, contrastant avec les cadrans traditionnels noirs ou blancs de l’époque.
À partir de 1968, on voit une SUB 300 sur les poignets des plongeurs qui sautent de la Calypso pour emmener des millions de téléspectateurs sur les missions légendaires de « L’Odyssée sous-marine de l'équipe Cousteau ».
Le Commandant Jacques-Yves Cousteau, co-inventeur du scaphandre autonome et père spirituel de la plongée sous-marine moderne, apprécie tant la SUB 300 au point qu'il négocie l'exclusivité de sa distribution aux USA.
Aujourd'hui, plus de 50 ans après son lancement, Doxa vient de présenter la Sub 300β Sharkhunter dotée d’une combinaison de couleurs inédite, étonnante mais très réussie.
Partant du principe qu'une montre de sport doit être à l’aise en toutes circonstances, cette « plongeuse » conserve bien évidemment tout son ADN d'origine. Mais dans un style plus chic, plus habillée.
Aujourd'hui, plus de 50 ans après son lancement, Doxa vient de présenter la Sub 300β Sharkhunter dotée d’une combinaison de couleurs inédite, étonnante mais très réussie.
Partant du principe qu'une montre de sport doit être à l’aise en toutes circonstances, cette « plongeuse » conserve bien évidemment tout son ADN d'origine. Mais dans un style plus chic, plus habillée.
Pour ce faire, la marque a très légèrement retravaillé le design pour obtenir une montre plus fine qui se traduit par un profil de seulement 11,95 mm (vs 13,65 mm pour la Sub 300T) ainsi qu'une hauteur de lunette plus basse (de 0,5 mm) par rapport à la SUB 300T.
Le boîtier en céramique noire est associé à un cadran grainé mat avec des marquages noir sur noir avec un contraste lumineux des informations essentielles fournies par les aiguilles et les index, ainsi que les composants fonctionnels de la lunette et de la couronne en or 3N.
Si la Sub 300ß est équipée d’un bracelet en caoutchouc FKM noir et souple, qui rend la montre particulièrement agréable au porté, elle n’en reste pas moins une véritable montre de plongée avec sa boucle déployante et extension de combinaison de plongée.
Le boîtier en céramique noire est associé à un cadran grainé mat avec des marquages noir sur noir avec un contraste lumineux des informations essentielles fournies par les aiguilles et les index, ainsi que les composants fonctionnels de la lunette et de la couronne en or 3N.
Si la Sub 300ß est équipée d’un bracelet en caoutchouc FKM noir et souple, qui rend la montre particulièrement agréable au porté, elle n’en reste pas moins une véritable montre de plongée avec sa boucle déployante et extension de combinaison de plongée.
D'un diamètre de 42,5 mm, cette « plongeuse chic et habillée » est équipée d'un container intérieur en titane résistant à la pression pour protéger le mouvement.
Sa fameuse lunette tournante unidirectionnelle brevetée est en or 3N avec double indication du temps de plongée (en minutes) et de la profondeur (en pieds) pour les plongées sans palier.
Sa couronne vissée est également en or 3N et son étanchéité est de 300 mètres. Enfin, son verre saphir inrayable et bombé est traité antireflet et son mouvement automatique suisse certifié COSC offre une réserve de marche standard, d'environ 38 heures.
Sa fameuse lunette tournante unidirectionnelle brevetée est en or 3N avec double indication du temps de plongée (en minutes) et de la profondeur (en pieds) pour les plongées sans palier.
Sa couronne vissée est également en or 3N et son étanchéité est de 300 mètres. Enfin, son verre saphir inrayable et bombé est traité antireflet et son mouvement automatique suisse certifié COSC offre une réserve de marche standard, d'environ 38 heures.
