L’alpiniste français a encore frappé. Inaugurée l’année dernière, la tour-symbole de Dubaï est la plus haute structure du monde ; elle compte 160 étages habitables.
C’est ce géant de verre et d’acier qu’Alain Robert a affronté à mains nues 6 heures durant (avec l’accord des autorités locales). Il portait au poignet une Zenith El Primero Striking 10th. L’homme-araignée progressait de 132 mètres à l’heure. À l’intérieur, l’ascenseur le plus rapide effectue 36'000 mètres dans ce même temps.
Venus en grand nombre, des milliers de spectateurs ont pu suivre sa progression, en direct, sur des écrans géants. Cette ascension représente un record du monde qui restera longtemps invaincu, aucune autre construction d’une telle envergure étant actuellement à l’ordre du jour. Le palmarès d’Alain Robert est impressionnant. Il a escaladé plus de quatre-vingt bâtiments à travers le monde. Sa motivation : « le risque calculé, la peur contrôlée, les frayeurs maîtrisées ».
Enfant, Alain Robert rêve de suivre la trace de ses héros : des grimpeurs célèbres, des hommes libres dont les récits ont bercé sa jeunesse. Sa famille n’apprécie pas les velléités du fils. C’est donc en cachette qu’Alain apprend les rudiments de l’escalade. Un jour, âgé de douze ans, Alain oublie ses clés et rentre par la fenêtre de l’appartement. Juste une précision ! À l’époque, la famille Robert loge au 8e étage de l’immeuble ! Ses parents doivent abdiquer et Alain devient un grimpeur de haut niveau.
C’est ce géant de verre et d’acier qu’Alain Robert a affronté à mains nues 6 heures durant (avec l’accord des autorités locales). Il portait au poignet une Zenith El Primero Striking 10th. L’homme-araignée progressait de 132 mètres à l’heure. À l’intérieur, l’ascenseur le plus rapide effectue 36'000 mètres dans ce même temps.
Venus en grand nombre, des milliers de spectateurs ont pu suivre sa progression, en direct, sur des écrans géants. Cette ascension représente un record du monde qui restera longtemps invaincu, aucune autre construction d’une telle envergure étant actuellement à l’ordre du jour. Le palmarès d’Alain Robert est impressionnant. Il a escaladé plus de quatre-vingt bâtiments à travers le monde. Sa motivation : « le risque calculé, la peur contrôlée, les frayeurs maîtrisées ».
Enfant, Alain Robert rêve de suivre la trace de ses héros : des grimpeurs célèbres, des hommes libres dont les récits ont bercé sa jeunesse. Sa famille n’apprécie pas les velléités du fils. C’est donc en cachette qu’Alain apprend les rudiments de l’escalade. Un jour, âgé de douze ans, Alain oublie ses clés et rentre par la fenêtre de l’appartement. Juste une précision ! À l’époque, la famille Robert loge au 8e étage de l’immeuble ! Ses parents doivent abdiquer et Alain devient un grimpeur de haut niveau.