Pendant des années, la Discovery a été l’un des modèles « phare » masculins de chez Ebel. C’était la « montre de sport » par excellence pour les « Architectes du temps ». Depuis sa date de création en 1986, de très nombreuses versions ont été commercialisées allant de la simple « trois aiguilles-date » à la GMT (dont certaines avec des mappemondes sur le cadran) en passant par les chronos et autres.
Depuis 2017, la marque du groupe Movado (également propriétaire de Concord) est donc revenue avec une nouvelle ligne Discovery qui se concentre principalement sur la femme mais qui propose aussi quelques pièces pour hommes. Cette nouvelle Discovery devient « la » plongeuse de la marque. Elle est dotée d’un boitier de 41 mm, étanche 200 mètres, qui tombe bien sur la plupart des poignets masculins.
Depuis 2017, la marque du groupe Movado (également propriétaire de Concord) est donc revenue avec une nouvelle ligne Discovery qui se concentre principalement sur la femme mais qui propose aussi quelques pièces pour hommes. Cette nouvelle Discovery devient « la » plongeuse de la marque. Elle est dotée d’un boitier de 41 mm, étanche 200 mètres, qui tombe bien sur la plupart des poignets masculins.
Le cadran, très lisible, est disponible en deux versions laquées : soit noir, soit blanc, c’est affaire de goût. Il arbore le nom Ebel (un peu gros d’ailleurs) et le logo à 12h, deux chiffres arabes (3 et 9), des index et des aiguilles assorties et recouverts de matière luminescente et la date à 6h.
Comme toute plongeuse qui se respecte, la montre est dotée d’une lunette unidirectionnelle pour calculer les temps de plongée et d’une trotteuse à bout orange qui en plus des secondes, sert à indiquer au porteur que sa montre est en état de fonctionnement lorsqu’il s’aventure sous l’eau. La couronne est vissée.
Cette nouvelle « sportive » de chez Ebel embarque un calibre mécanique automatique (le 2824.2 de chez ETA). Elle se porte au choix sur un bracelet en acier poli et brossé ou caoutchouc facilement interchangeables (livrée avec les deux bracelets). Compter 1.850 euros, ce qui s’avère tout à fait raisonnable pour ce type de montre.
Comme toute plongeuse qui se respecte, la montre est dotée d’une lunette unidirectionnelle pour calculer les temps de plongée et d’une trotteuse à bout orange qui en plus des secondes, sert à indiquer au porteur que sa montre est en état de fonctionnement lorsqu’il s’aventure sous l’eau. La couronne est vissée.
Cette nouvelle « sportive » de chez Ebel embarque un calibre mécanique automatique (le 2824.2 de chez ETA). Elle se porte au choix sur un bracelet en acier poli et brossé ou caoutchouc facilement interchangeables (livrée avec les deux bracelets). Compter 1.850 euros, ce qui s’avère tout à fait raisonnable pour ce type de montre.