Les années 70 ont vu naître au moins deux montres mythiques (la Royal Oak chez Audemars Piguet et la Nautilus chez Patek Philippe), les années 80 ont été plus pauvres en matière de garde-temps devenus culte… Pourtant, à partir de 1977, un modèle de chez Ebel a su tirer son épingle du jeu et ce pendant une vingtaine d’années : l’Ebel Classic.
En présentant la Sport Classic en 1977, Ebel prend le pari de lancer un modèle qui ne ressemblait à aucun autre sur le marché à cette époque. Et aujourd’hui encore, quatre décennies après son lancement et malgré quelques années un peu difficiles –voire d’oubli-, ce garde-temps créé par le designer Eddy Schöpfer reste une icône de cette marque horlogère créée en 1911.
En présentant la Sport Classic en 1977, Ebel prend le pari de lancer un modèle qui ne ressemblait à aucun autre sur le marché à cette époque. Et aujourd’hui encore, quatre décennies après son lancement et malgré quelques années un peu difficiles –voire d’oubli-, ce garde-temps créé par le designer Eddy Schöpfer reste une icône de cette marque horlogère créée en 1911.
Dans cette nouvelle version, le boîtier hexagonal de 40mm en acier poli-brossé (étanche 50 mètres) accueille un calibre mécanique automatique « trois aiguilles-date », le ETA 2892-A2, visible à travers le fond saphir. En contrepoint à ce design tout en courbes, les cinq vis apparentes sur la boîte qui accentuent l'aspect identitaire de ce modèle.
Le cadran de couleur anthracite arbore des chiffres romains plaqués rhodium ainsi qu’avec des aiguilles polies au diamant et plaquées rhodium. On retrouve enfin, bien évidemment, les fameux bracelet intégré à la boite et en chute, avec ses « vagues polies » et sa souplesse légendaire.
Le cadran de couleur anthracite arbore des chiffres romains plaqués rhodium ainsi qu’avec des aiguilles polies au diamant et plaquées rhodium. On retrouve enfin, bien évidemment, les fameux bracelet intégré à la boite et en chute, avec ses « vagues polies » et sa souplesse légendaire.