De nombreuses marques horlogères produisent des séries limitées pour les différentes armées dans le monde : de Longines à Eterna en passant par Bell&Ross, MATWatches, Ralf Tech, Casio… Les marques font tout pour séduire cette clientèle. Dernière en date, Eberhard & Co, qui vient de dévoiler une série limitée réalisée pour les officiers supérieurs des Forces Armées Royales du Sultanat d’Oman.
Dans cette version (42 mm / étanche 50 mètres), le cadran kaki et brun de cette édition spéciale affiche un motif de camouflage « désert » qui fait bien évidemment référence aux paysages de sable du sultanat et aux couleurs de l’armée royale. A noter également la présence d’index en appliques noirs facettés. Rappelons qu’une pièce un peu similaire avait été présentée à l’occasion de la Foire de Bâle en 2015. Il s’agissait d’une série limitée à 99 exemplaires qui s’était vendue en l’espace de quelques semaines.
Le sultanat d’Oman, trait d’union entre l’Asie et l’Afrique, était à son apogée un empire commercial et maritime comptant des marins et des explorateurs légendaires. Il est aujourd’hui l’un des plus beaux pays de la péninsule arabique. Sous la direction de Sa Majesté le sultan Qabous bin Saïd Al Saïd, le sultanat a acquis une réputation enviable en tant que destination très prisée pour le tourisme international haut de gamme.
Le sultanat offre en effet un vaste assortiment d’activités touristiques, de sports aquatiques et de randonnées. Les visiteurs étrangers sont de plus en plus nombreux à tomber sous le charme authentique de ses habitants, de leur gentillesse innée et de leur sens de l’hospitalité. Rien à voir avec Dubaï ou Abu Dhabi.
La lunette en céramique avec rotation unidirectionnelle entoure l’échelle tachymétrique qui s’inspire du design automobile. Le fond de chaque exemplaire est personnalisé par le gravage spécial du texte « The Royal Oman Armed Forces ».
Pour l’anecdote, le tissu « camouflage » a été créé pendant la Première Guerre mondiale par le peintre Victor-Lucien Guirand de Scevola et quelques-uns confrères qui ont développé ces techniques de trompe l’œil pour dissimuler les pièces de l’artillerie française. En revanche, ce sont les Allemands, qui ont utilisé pour la première fois des uniformes en tissus camo pour rendre leurs soldats moins visibles de l’ennemi. « Il est indiscipliné et c’est ce qui le rend unique » dit de lui le couturier Jean-Charles de Castelbajac, grand amateur de camo, et qui le travaille depuis son premier défilé en 1969 ! Le designer italien de renom Lapo Elkann possède quant à lui une… Ferrari camo.
Dans cette version (42 mm / étanche 50 mètres), le cadran kaki et brun de cette édition spéciale affiche un motif de camouflage « désert » qui fait bien évidemment référence aux paysages de sable du sultanat et aux couleurs de l’armée royale. A noter également la présence d’index en appliques noirs facettés. Rappelons qu’une pièce un peu similaire avait été présentée à l’occasion de la Foire de Bâle en 2015. Il s’agissait d’une série limitée à 99 exemplaires qui s’était vendue en l’espace de quelques semaines.
Le sultanat d’Oman, trait d’union entre l’Asie et l’Afrique, était à son apogée un empire commercial et maritime comptant des marins et des explorateurs légendaires. Il est aujourd’hui l’un des plus beaux pays de la péninsule arabique. Sous la direction de Sa Majesté le sultan Qabous bin Saïd Al Saïd, le sultanat a acquis une réputation enviable en tant que destination très prisée pour le tourisme international haut de gamme.
Le sultanat offre en effet un vaste assortiment d’activités touristiques, de sports aquatiques et de randonnées. Les visiteurs étrangers sont de plus en plus nombreux à tomber sous le charme authentique de ses habitants, de leur gentillesse innée et de leur sens de l’hospitalité. Rien à voir avec Dubaï ou Abu Dhabi.
La lunette en céramique avec rotation unidirectionnelle entoure l’échelle tachymétrique qui s’inspire du design automobile. Le fond de chaque exemplaire est personnalisé par le gravage spécial du texte « The Royal Oman Armed Forces ».
Pour l’anecdote, le tissu « camouflage » a été créé pendant la Première Guerre mondiale par le peintre Victor-Lucien Guirand de Scevola et quelques-uns confrères qui ont développé ces techniques de trompe l’œil pour dissimuler les pièces de l’artillerie française. En revanche, ce sont les Allemands, qui ont utilisé pour la première fois des uniformes en tissus camo pour rendre leurs soldats moins visibles de l’ennemi. « Il est indiscipliné et c’est ce qui le rend unique » dit de lui le couturier Jean-Charles de Castelbajac, grand amateur de camo, et qui le travaille depuis son premier défilé en 1969 ! Le designer italien de renom Lapo Elkann possède quant à lui une… Ferrari camo.
Spécificités techniques
Calibre 8147 sur base Eta 7750 13 ¼
Chronographe mécanique à remontage automatique 2 compteurs (chronographe 30 minutes à 3 heures – petites secondes continues à 9 heures) – date à saut rapide à 6 heures.
Aiguille des secondes du chrono au centre
Boîtier acier 42 mm
Épaisseur totale du boîtier : 14,70 mm
Fond du boîtier : en acier
Lunette : noire unidirectionnelle dans le sens antihoraire.
Base en acier avec denture externe, insert en céramique noire dotée de chiffres, petits traits de séparation des heures et triangle à 12 heures gravés et traités au palladium
Couronne : à vis, en acier, étanche. Personnalisée avec le « E » en relief
Verre saphir bombé avec traitement antireflet
Étanchéité : 50 m
Cadran camouflage, 9 index en applique facettés, noir.
Guichet de la date à 6 heures, de forme trapézoïdale particulière, avec contour applique et chiffres de la date en rouge.
Compteur des minutes à 3h avec indication temporelle du déclic téléphonique qui, dans les années 60 avait lieu toutes les 3 minutes.
Échelle tachymétrique sur base 1000 en km/h.
Aiguilles : heures et minutes de type « dauphine », noires, luminescentes,
Aiguilles compteurs de type « feuille », aiguille des secondes du chrono central de couleur noire
Bracelets en tissu sur boucle personnalisée E&C ou Chassis en acier, à trois mailles.
Chronographe mécanique à remontage automatique 2 compteurs (chronographe 30 minutes à 3 heures – petites secondes continues à 9 heures) – date à saut rapide à 6 heures.
Aiguille des secondes du chrono au centre
Boîtier acier 42 mm
Épaisseur totale du boîtier : 14,70 mm
Fond du boîtier : en acier
Lunette : noire unidirectionnelle dans le sens antihoraire.
Base en acier avec denture externe, insert en céramique noire dotée de chiffres, petits traits de séparation des heures et triangle à 12 heures gravés et traités au palladium
Couronne : à vis, en acier, étanche. Personnalisée avec le « E » en relief
Verre saphir bombé avec traitement antireflet
Étanchéité : 50 m
Cadran camouflage, 9 index en applique facettés, noir.
Guichet de la date à 6 heures, de forme trapézoïdale particulière, avec contour applique et chiffres de la date en rouge.
Compteur des minutes à 3h avec indication temporelle du déclic téléphonique qui, dans les années 60 avait lieu toutes les 3 minutes.
Échelle tachymétrique sur base 1000 en km/h.
Aiguilles : heures et minutes de type « dauphine », noires, luminescentes,
Aiguilles compteurs de type « feuille », aiguille des secondes du chrono central de couleur noire
Bracelets en tissu sur boucle personnalisée E&C ou Chassis en acier, à trois mailles.
