En ces temps difficiles pour l’horlogerie haut de gamme, il faut être un peu fou pour lancer une nouvelle marque, qu’elle soit entièrement nouvelle ou qu’elle se base sur un nom déjà existant et prestigieux, comme c’est le cas d’Edouard Koehn, marque indépendante et en mains familiales.
En revanche, on sait que de nos jours, les clients amateurs d’horlogerie sont plus affutés dans leurs choix et connaissent beaucoup mieux les produits qu’ils souhaitent arborer à leur poignet.
Qu’il s’agisse des finitions, des détails, des calibres, etc. L’acheteur contemporain est plus « connoisseur » et sait reconnaitre un produit d’un excellent rapport qualité-prix.
En revanche, on sait que de nos jours, les clients amateurs d’horlogerie sont plus affutés dans leurs choix et connaissent beaucoup mieux les produits qu’ils souhaitent arborer à leur poignet.
Qu’il s’agisse des finitions, des détails, des calibres, etc. L’acheteur contemporain est plus « connoisseur » et sait reconnaitre un produit d’un excellent rapport qualité-prix.
C’est à cette clientèle de niche que s’adresse Edouard Koehn et ses chronos Tempus 1. La marque vient d’être réactivée par Bernard Fleury, l’homme qui relança Vulcain il y a une vingtaine d’années.
Un grand monsieur de l’horlogerie qui vit à La Chaux-de-Fonds, qui connait tous les fournisseurs locaux et sait fabriquer -et vendre- une montre dans les règles de l’art. C’est donc à ce professionnel de l’horlogerie que l’on doit la renaissance de cette marque portant le nom d’un célèbre horloger,
Edouard Koehn commença sa carrière d'horloger à la cour du Grand-Duché de Saxe-Weimar-Eisenach et créera sa propre marque -éponyme- en 1891. Cet horloger qui a dirigé Patek Philippe a toujours été un adepte de l'objet unique et de la très petite série.
C’est fidèle à cette idée que les modèles actuels sont -et seront- toujours produits en petites quantités. Cette exclusivité est également la conséquence directe de tout le travail qui est effectué sur chaque montre, sur chaque mouvement !
Un grand monsieur de l’horlogerie qui vit à La Chaux-de-Fonds, qui connait tous les fournisseurs locaux et sait fabriquer -et vendre- une montre dans les règles de l’art. C’est donc à ce professionnel de l’horlogerie que l’on doit la renaissance de cette marque portant le nom d’un célèbre horloger,
Edouard Koehn commença sa carrière d'horloger à la cour du Grand-Duché de Saxe-Weimar-Eisenach et créera sa propre marque -éponyme- en 1891. Cet horloger qui a dirigé Patek Philippe a toujours été un adepte de l'objet unique et de la très petite série.
C’est fidèle à cette idée que les modèles actuels sont -et seront- toujours produits en petites quantités. Cette exclusivité est également la conséquence directe de tout le travail qui est effectué sur chaque montre, sur chaque mouvement !
La première montre de cette relance est un chrono sportif : baptisé Tempus 1, il est doté d’un puissant boitier de forme de 43mm en acier 316, très racé, très travaillé (tout en angles) et étanche à 100 mètres.
La couronne est non vissée mais montée sur des joints qui garantissent l'étanchéité et ses poussoirs s’intègrent idéalement au design de la carrure. Il arbore un beau cadran « clou de Paris » en trois déclinaisons : bleu avec compteurs anthracites (notre préférée), anthracite avec compteurs bleus ou silver avec compteurs anthracites.
Le design des différentes aiguilles est très étudié et correspond parfaitement à l’esprit sportif de ce chrono : des aiguilles dont la forme fait écho à celle des index en appliques mais également, à celles de la trotteuse et des aiguilles servant au chronométrage et que l’on retrouve sur les compteurs à 3h, 6h et 9h. L’ensemble étant bien évidemment « chargé » de Superluminova et protégé par un verre saphir traité antireflet double face.
La couronne est non vissée mais montée sur des joints qui garantissent l'étanchéité et ses poussoirs s’intègrent idéalement au design de la carrure. Il arbore un beau cadran « clou de Paris » en trois déclinaisons : bleu avec compteurs anthracites (notre préférée), anthracite avec compteurs bleus ou silver avec compteurs anthracites.
Le design des différentes aiguilles est très étudié et correspond parfaitement à l’esprit sportif de ce chrono : des aiguilles dont la forme fait écho à celle des index en appliques mais également, à celles de la trotteuse et des aiguilles servant au chronométrage et que l’on retrouve sur les compteurs à 3h, 6h et 9h. L’ensemble étant bien évidemment « chargé » de Superluminova et protégé par un verre saphir traité antireflet double face.
Côté moteur, la marque a choisi un calibre mécanique automatique qui a été développé en collaboration avec une manufacture indépendante de mouvements de haute horlogerie basée à La Chaux-de-Fonds (Concepto). Ce mouvement de 245 composants est équipé d’une masse oscillante montée sur des roulements à billes en céramique et sa réserve de marche est de 48h.
L’ensemble se porte sur un bracelet en caoutchouc intégré à la carrure. A noter que ce modèle est également disponible avec lunette céramique et traitement PDV noir. Il existe aussi une très belle version squelettée avec date. Un chrono d’un excellent rapport qualité-prix à partir de 4.500 euros. On a clairement le sentiment, au poignet, qu’il vaut au moins le double !
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L’ensemble se porte sur un bracelet en caoutchouc intégré à la carrure. A noter que ce modèle est également disponible avec lunette céramique et traitement PDV noir. Il existe aussi une très belle version squelettée avec date. Un chrono d’un excellent rapport qualité-prix à partir de 4.500 euros. On a clairement le sentiment, au poignet, qu’il vaut au moins le double !
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