Cette exposition Cartier, s’annonce comme « l’une des plus importantes organisées à ce jour par le nombre de pièces jamais exposées » ; elle reflète l’esprit et l’évolution artistique de Cartier depuis sa création en 1847.
Rappelons que le dynamisme des frères Cartier, leur intérêt pour l’art des cultures lointaines ou anciennes a posé les assises de l’identité artistique de la maison.
Joaillerie, horlogerie, accessoires précieux, la Collection Cartier révèle, par l’infini de ses détails et par sa sophistication, une culture et un art de vivre. Tout au long de l’histoire de Cartier, s’affirment les valeurs qui sont au cœur du principe de création : recherche de l’exception, audace, curiosité, ouverture et même… générosité.
Du style guirlande à l’art déco des années 30, de l’inspiration chinoise au style tutti frutti, c’est plus de 165 années de créativité que cette rétrospective unique met en valeur à travers l’approche des nombreuses facettes du style de Cartier, qui lui valut d’être célébré comme le « roi des joailliers, (le) joaillier des rois » par le roi Edward VII.
Très tôt, Cartier a tissé des liens d’amitié avec l’Espagne et la famille royale : en 1904, le roi Alphonse XIII accorde à Cartier le brevet officiel de fournisseur de la cour royale. En 1929, lors de l’Exposition Internationale de Barcelone au Parc Montjuic, Cartier fait sensation avec un collier serti des diamants de l’Aga Khan : 38 pierres rondes et trois gouttes de diamants de 40, 38 et 35 carats.
Aux côtés des pièces célèbres, ayant appartenu à de grands clients, on pourra découvrir le diadème de style guirlande, offert en 1920 par le roi Alfonso XIII à la reine Victoria Eugenia en cadeau de mariage ; un prêt tout à fait exceptionnel, rendu possible par la famille royale, pour cette parure que la reine Sofia porte lors d’événements officiels.
Fait nouveau, un certain nombre de pièces nouvellement acquises dans la Collection Cartier sont dévoilées pour la première fois, notamment le collier en rubis et diamants d’Elizabeth Taylor que lui offrit son mari Mike Todd ou la broche flamant de la duchesse de Windsor, réalisée avec la collaboration de Jeanne Toussaint, à partir des pierres apportées par le duc.
Une création haute en couleurs, illuminée d’un plumage multicolore de saphirs, rubis et émeraudes calibrés, interprétation chromatique audacieuse du flamant rose, dans la tradition d’une vision à la fois naturaliste et poétique.
Par ailleurs, pour l’occasion, le Palais de Monaco a accepté que soient exposées des créations de Cartier tels le diadème en platine et le collier que la Princesse Grace porte sur les photos officielles de son mariage en 1956, cadeaux du Prince Rainier III.
La présence de la Collection Cartier au sein du musée Thyssen-Bornemisza pouvait sembler audacieuse ; la scénographie de Jorge Varela, basée sur un parcours visuel, s’intègre parfaitement à la vocation du musée. Dans la proximité de collections de peintures parmi les plus célèbres au monde (à ne surtout pas louper), « la Collection Cartier entretient un jeu de résonances et de dialogue, dans des correspondances fécondes » conclut le communiqué de la marque.
Rappelons que le dynamisme des frères Cartier, leur intérêt pour l’art des cultures lointaines ou anciennes a posé les assises de l’identité artistique de la maison.
Joaillerie, horlogerie, accessoires précieux, la Collection Cartier révèle, par l’infini de ses détails et par sa sophistication, une culture et un art de vivre. Tout au long de l’histoire de Cartier, s’affirment les valeurs qui sont au cœur du principe de création : recherche de l’exception, audace, curiosité, ouverture et même… générosité.
Du style guirlande à l’art déco des années 30, de l’inspiration chinoise au style tutti frutti, c’est plus de 165 années de créativité que cette rétrospective unique met en valeur à travers l’approche des nombreuses facettes du style de Cartier, qui lui valut d’être célébré comme le « roi des joailliers, (le) joaillier des rois » par le roi Edward VII.
Très tôt, Cartier a tissé des liens d’amitié avec l’Espagne et la famille royale : en 1904, le roi Alphonse XIII accorde à Cartier le brevet officiel de fournisseur de la cour royale. En 1929, lors de l’Exposition Internationale de Barcelone au Parc Montjuic, Cartier fait sensation avec un collier serti des diamants de l’Aga Khan : 38 pierres rondes et trois gouttes de diamants de 40, 38 et 35 carats.
Aux côtés des pièces célèbres, ayant appartenu à de grands clients, on pourra découvrir le diadème de style guirlande, offert en 1920 par le roi Alfonso XIII à la reine Victoria Eugenia en cadeau de mariage ; un prêt tout à fait exceptionnel, rendu possible par la famille royale, pour cette parure que la reine Sofia porte lors d’événements officiels.
Fait nouveau, un certain nombre de pièces nouvellement acquises dans la Collection Cartier sont dévoilées pour la première fois, notamment le collier en rubis et diamants d’Elizabeth Taylor que lui offrit son mari Mike Todd ou la broche flamant de la duchesse de Windsor, réalisée avec la collaboration de Jeanne Toussaint, à partir des pierres apportées par le duc.
Une création haute en couleurs, illuminée d’un plumage multicolore de saphirs, rubis et émeraudes calibrés, interprétation chromatique audacieuse du flamant rose, dans la tradition d’une vision à la fois naturaliste et poétique.
Par ailleurs, pour l’occasion, le Palais de Monaco a accepté que soient exposées des créations de Cartier tels le diadème en platine et le collier que la Princesse Grace porte sur les photos officielles de son mariage en 1956, cadeaux du Prince Rainier III.
La présence de la Collection Cartier au sein du musée Thyssen-Bornemisza pouvait sembler audacieuse ; la scénographie de Jorge Varela, basée sur un parcours visuel, s’intègre parfaitement à la vocation du musée. Dans la proximité de collections de peintures parmi les plus célèbres au monde (à ne surtout pas louper), « la Collection Cartier entretient un jeu de résonances et de dialogue, dans des correspondances fécondes » conclut le communiqué de la marque.