Les enchères étaient bien évidemment menées par le fameux Aurel Bacs, sous la tente Phillips qui était installée au bord du lac à l’Hôtel La Réserve.
Il aura fallu pas moins de 15 minutes consacrée au lot 128, avec des enchères provenant des trois continents en ligne, par téléphone et dans la salle, rythmées par plusieurs collectionneurs se disputant ce prototype dont la vente devrait faire date dans l’histoire de la marque.
Au final, c’est un collectionneur américain qui a remporté la vente, et s’est vu remettre avec la montre, un cadeau de félicitations de Jean-Claude Biver et de son fils Pierre Biver : une bouteille de Château d’Yquem de 1949 de la collection privée de JC Biver, année de sa naissance, accompagnée de deux kilos de son fromage d’alpage.
Cette vente aux enchères symbolise en quelque sorte, la naissance de la marque JC Biver. La production de leurs trois premiers modèles Tourbillon Répétition Minutes Carillon (en or rose, en titane, et bi-color squelette) vient de commencer, pour des premières livraisons prévues en septembre 2023.
En l’occurrence, il s’agissait d’un Tourbillon Répétition Minutes Carillon réalisé en titane, une pièce unique dotée d’un cadran en pierre d’obsidienne argentée, faite pour Jean-Claude Biver par son fils et son équipe et qui marque le démarrage de la production de leurs montres.
Pour rappel, Jean-Claude Biver, après 50 années dans l’horlogerie et son fils Pierre Biver, 23 ans, tous deux collectionneurs passionnés, se sont lancés il y a deux mois -en mars 2023- dans une magnifique aventure : la création d’une « marque hyper exclusive ».
Libérés de toutes pressions et contraintes économiques ou industrielles, ils ont fait appel aux meilleurs spécialistes dans chaque domaine afin de réaliser des pièces d’exception.
« Nous avons décidé de décorer l’intégralité des composants du mouvement sur toutes leurs faces, expliquent les Biver. Pour y parvenir, il a fallu pousser nos partenaires à trouver des techniques pour décorer certaines parties des pièces qui, à la base, ne sont pas faites pour être décorées. Le dessous des ponts, par exemple, sont perlés à la main, ce qui se fait très rarement ».
Il faut prendre le temps de regarder tous ces détails qui font l’unicité de la répétition minutes Biver pour comprendre le jusqu’au boutisme animant ceux qui l’ont voulue ainsi. Les plus infimes éléments, y compris ceux qui ne se voient pas, ont été décorés à la main dans les règles de l’art, ils ont été polis, satinés, perlés, bleuis à la flamme. C’est dans les finitions que l’on reconnaîtra la signature Biver, dans cette quête d’une beauté invisible.
Le premier modèle est une complication horlogère qui leur tient à cœur : une répétition minutes carillon dotée d’un tourbillon et d’un micro-rotor. Chaque élément, du cadran aux aiguilles, en passant par le mouvement et le bracelet, est fait à la main par les meilleurs artistes et raconte un pan de l’histoire de l’horlogerie, en créant un pont entre le passé, le présent et le futur.
Il aura fallu pas moins de 15 minutes consacrée au lot 128, avec des enchères provenant des trois continents en ligne, par téléphone et dans la salle, rythmées par plusieurs collectionneurs se disputant ce prototype dont la vente devrait faire date dans l’histoire de la marque.
Au final, c’est un collectionneur américain qui a remporté la vente, et s’est vu remettre avec la montre, un cadeau de félicitations de Jean-Claude Biver et de son fils Pierre Biver : une bouteille de Château d’Yquem de 1949 de la collection privée de JC Biver, année de sa naissance, accompagnée de deux kilos de son fromage d’alpage.
Cette vente aux enchères symbolise en quelque sorte, la naissance de la marque JC Biver. La production de leurs trois premiers modèles Tourbillon Répétition Minutes Carillon (en or rose, en titane, et bi-color squelette) vient de commencer, pour des premières livraisons prévues en septembre 2023.
En l’occurrence, il s’agissait d’un Tourbillon Répétition Minutes Carillon réalisé en titane, une pièce unique dotée d’un cadran en pierre d’obsidienne argentée, faite pour Jean-Claude Biver par son fils et son équipe et qui marque le démarrage de la production de leurs montres.
Pour rappel, Jean-Claude Biver, après 50 années dans l’horlogerie et son fils Pierre Biver, 23 ans, tous deux collectionneurs passionnés, se sont lancés il y a deux mois -en mars 2023- dans une magnifique aventure : la création d’une « marque hyper exclusive ».
Libérés de toutes pressions et contraintes économiques ou industrielles, ils ont fait appel aux meilleurs spécialistes dans chaque domaine afin de réaliser des pièces d’exception.
« Nous avons décidé de décorer l’intégralité des composants du mouvement sur toutes leurs faces, expliquent les Biver. Pour y parvenir, il a fallu pousser nos partenaires à trouver des techniques pour décorer certaines parties des pièces qui, à la base, ne sont pas faites pour être décorées. Le dessous des ponts, par exemple, sont perlés à la main, ce qui se fait très rarement ».
Il faut prendre le temps de regarder tous ces détails qui font l’unicité de la répétition minutes Biver pour comprendre le jusqu’au boutisme animant ceux qui l’ont voulue ainsi. Les plus infimes éléments, y compris ceux qui ne se voient pas, ont été décorés à la main dans les règles de l’art, ils ont été polis, satinés, perlés, bleuis à la flamme. C’est dans les finitions que l’on reconnaîtra la signature Biver, dans cette quête d’une beauté invisible.
Le premier modèle est une complication horlogère qui leur tient à cœur : une répétition minutes carillon dotée d’un tourbillon et d’un micro-rotor. Chaque élément, du cadran aux aiguilles, en passant par le mouvement et le bracelet, est fait à la main par les meilleurs artistes et raconte un pan de l’histoire de l’horlogerie, en créant un pont entre le passé, le présent et le futur.
