Les garde-temps à équation du temps marchante sont en effet si rares, que presque chaque exemplaire produit durant les 200 dernières années, est catalogué et enregistré en tant que pièce historique significative.
C’est ainsi que Blancpain a stupéfié le monde de l’horlogerie en 2004, lorsqu’elle a révélé être parvenue à miniaturiser cette complication (lire aussi : Blancpain crée la première montre-bracelet à « Equation Marchante » : une première mondiale), qui n’avait jusqu’alors été réalisée qu’aux dimensions d’horloges et de montres de poches.
Lors de la foire de Bâle cette année-là, Blancpain a dévoilé la première montre bracelet à équation du temps marchante au monde : Le Brassus Equation du Temps Marchante. Cette pièce marquante, produite en série limitée à 50 pièces, a aussitôt été prise d’assaut par des collectionneurs passionnés.
Cette année cependant, pour marquer le 7ème anniversaire du partenariat de Blancpain avec le Monaco Yacht Show (MYS), la Manufacture du Brassus a décidé de créer une édition spéciale, dans la collection le Brassus, fondée sur une évolution du mouvement révolutionnaire à équation marchante, qui demeure aujourd’hui un record mondial.
C’est par une convenance contemporaine que nos montres mesurent et affichent une journée de 24 heures précises. Si nous étions encore liés aux anciens cadrans solaires, nous saurions que la longueur du jour change considérablement au cours de l’année.
Cette variabilité dans la longueur d’un jour solaire résulte de ce que l’on peut considérer comme deux imperfections dans la position de la terre par rapport au soleil. Tout d’abord, l’orbite de la terre n’est pas circulaire, mais en réalité, très elliptique. Ensuite, au lieu de tourner autour d’un axe perpendiculaire au plan de l’orbite, la Terre est inclinée de 23 degrés.
C’est ainsi que Blancpain a stupéfié le monde de l’horlogerie en 2004, lorsqu’elle a révélé être parvenue à miniaturiser cette complication (lire aussi : Blancpain crée la première montre-bracelet à « Equation Marchante » : une première mondiale), qui n’avait jusqu’alors été réalisée qu’aux dimensions d’horloges et de montres de poches.
Lors de la foire de Bâle cette année-là, Blancpain a dévoilé la première montre bracelet à équation du temps marchante au monde : Le Brassus Equation du Temps Marchante. Cette pièce marquante, produite en série limitée à 50 pièces, a aussitôt été prise d’assaut par des collectionneurs passionnés.
Cette année cependant, pour marquer le 7ème anniversaire du partenariat de Blancpain avec le Monaco Yacht Show (MYS), la Manufacture du Brassus a décidé de créer une édition spéciale, dans la collection le Brassus, fondée sur une évolution du mouvement révolutionnaire à équation marchante, qui demeure aujourd’hui un record mondial.
C’est par une convenance contemporaine que nos montres mesurent et affichent une journée de 24 heures précises. Si nous étions encore liés aux anciens cadrans solaires, nous saurions que la longueur du jour change considérablement au cours de l’année.
Cette variabilité dans la longueur d’un jour solaire résulte de ce que l’on peut considérer comme deux imperfections dans la position de la terre par rapport au soleil. Tout d’abord, l’orbite de la terre n’est pas circulaire, mais en réalité, très elliptique. Ensuite, au lieu de tourner autour d’un axe perpendiculaire au plan de l’orbite, la Terre est inclinée de 23 degrés.
Ces deux anomalies contribuent à engendrer des jours (qui consistent en une rotation simple de la terre par rapport au soleil) de durées plus longues ou plus courtes en fonction de la période de l’année.
Plusieurs siècles auparavant, des astronomes fascinés par le mouvement des corps célestes et en particulier par celui de l’astre le plus important du ciel, le soleil, ont enregistré des données démontrant les changements de durée d’un jour solaire, tout au long de l’année. Leurs découvertes ont été communément illustrées par une complexe charte oblongue, appelée une « analemme ».
La double forme en haricot de l’analemme démontre que seuls 4 jours par an, (15 avril, 14 juin, 2 septembre et 26 décembre – ces dates variant avec les années bissextiles) nos 24 heures civiles coïncident avec l’heure solaire vraie. Le reste de l’année, les différences entre heure civile et heure solaire peuvent varier à l’extrême de -16 minutes à + 15 minutes.
La réalisation d’une équation du temps marchante relève d’une véritable prouesse mécanique. Grâce à de savants calculs, les horlogers ont développé une came en forme de 8, qui imite mécaniquement la courbe de l’analemme mise en évidence par les astronomes. Tournant une fois par an, cette came dirige un palpeur d’équation, qui produit l’indication plus/moins de la différence entre heure solaire et heure civile.
Toutefois, Blancpain a voulu aller encore plus loin. Ses horlogers se sont évertués à mettre au point, pour la première fois au monde sur une montre bracelet, l’affichage simultané de l’heure civile et de l’heure solaire à l’aide de deux aiguilles des minutes distinctes. Ainsi est née L’Equation du Temps Marchante Le Brassus, qui a ébranlé le monde de l’horlogerie, lors de sa présentation en 2004.
La première des deux aiguilles de cette montre révolutionnaire indique l’heure civile dans sa forme conventionnelle. La seconde aiguille des minutes, ornée d’un soleil doré, indique l’heure solaire vraie.
Plusieurs siècles auparavant, des astronomes fascinés par le mouvement des corps célestes et en particulier par celui de l’astre le plus important du ciel, le soleil, ont enregistré des données démontrant les changements de durée d’un jour solaire, tout au long de l’année. Leurs découvertes ont été communément illustrées par une complexe charte oblongue, appelée une « analemme ».
La double forme en haricot de l’analemme démontre que seuls 4 jours par an, (15 avril, 14 juin, 2 septembre et 26 décembre – ces dates variant avec les années bissextiles) nos 24 heures civiles coïncident avec l’heure solaire vraie. Le reste de l’année, les différences entre heure civile et heure solaire peuvent varier à l’extrême de -16 minutes à + 15 minutes.
La réalisation d’une équation du temps marchante relève d’une véritable prouesse mécanique. Grâce à de savants calculs, les horlogers ont développé une came en forme de 8, qui imite mécaniquement la courbe de l’analemme mise en évidence par les astronomes. Tournant une fois par an, cette came dirige un palpeur d’équation, qui produit l’indication plus/moins de la différence entre heure solaire et heure civile.
Toutefois, Blancpain a voulu aller encore plus loin. Ses horlogers se sont évertués à mettre au point, pour la première fois au monde sur une montre bracelet, l’affichage simultané de l’heure civile et de l’heure solaire à l’aide de deux aiguilles des minutes distinctes. Ainsi est née L’Equation du Temps Marchante Le Brassus, qui a ébranlé le monde de l’horlogerie, lors de sa présentation en 2004.
La première des deux aiguilles de cette montre révolutionnaire indique l’heure civile dans sa forme conventionnelle. La seconde aiguille des minutes, ornée d’un soleil doré, indique l’heure solaire vraie.
Son utilisateur peut ainsi directement lire d’un seul coup d’oeil l’heure civile et l’heure solaire, ainsi que visualiser l’écart perpétuellement changeant entre les deux. Ce système particulièrement lisible et fonctionnel est complété par un petit cadran à 2h affichant l’équation du temps à l’aide d’une aiguille rétrograde.
L’affichage de l’heure solaire sur une montre bracelet, ancre fermement cette exceptionnelle innovation mécanique de Blancpain dans l’univers de la navigation. La détermination de la longitude a été l’un des plus grands obstacles historiques de la navigation maritime. Cette barrière a été surmontée grâce à l’invention d’horloges nautiques extrêmement précises, qui combinent la mesure du temps solaire à l’indication de la position longitudinale.
L’Equation Marchante de Blancpain, qui intègre à la fois l’heure civile et l’heure solaire, saisit ce même esprit de défi maritime d’autrefois. Du fait de son apparente simplicité, l’équation du temps marchante ne donne qu’un petit aperçu de la prodigieuse complexité du mouvement horloger qui s’anime derrière la surface du cadran.
Le mécanisme de l’Equation Marchante a été intégré à un mouvement automatique, lui-même combiné avec le module de quantième perpétuel le plus plat au monde. En marche, le mécanisme de l’équation est synchronisé avec le calendrier perpétuel.
L’énorme obstacle surmonté par Blancpain dans la conception de l’équation marchante a été de trouver comment diriger l’aiguille de l’heure solaire à partir de deux sources : le système de remontage usuel de la montre, qui transmet la force motrice à l’aiguille des minutes civiles, et un rouage dirigé par une came d’équation en forme de 8.
L’affichage de l’heure solaire sur une montre bracelet, ancre fermement cette exceptionnelle innovation mécanique de Blancpain dans l’univers de la navigation. La détermination de la longitude a été l’un des plus grands obstacles historiques de la navigation maritime. Cette barrière a été surmontée grâce à l’invention d’horloges nautiques extrêmement précises, qui combinent la mesure du temps solaire à l’indication de la position longitudinale.
L’Equation Marchante de Blancpain, qui intègre à la fois l’heure civile et l’heure solaire, saisit ce même esprit de défi maritime d’autrefois. Du fait de son apparente simplicité, l’équation du temps marchante ne donne qu’un petit aperçu de la prodigieuse complexité du mouvement horloger qui s’anime derrière la surface du cadran.
Le mécanisme de l’Equation Marchante a été intégré à un mouvement automatique, lui-même combiné avec le module de quantième perpétuel le plus plat au monde. En marche, le mécanisme de l’équation est synchronisé avec le calendrier perpétuel.
L’énorme obstacle surmonté par Blancpain dans la conception de l’équation marchante a été de trouver comment diriger l’aiguille de l’heure solaire à partir de deux sources : le système de remontage usuel de la montre, qui transmet la force motrice à l’aiguille des minutes civiles, et un rouage dirigé par une came d’équation en forme de 8.
La solution a été de mettre au point un système novateur d’engrenage différentiel. L’aiguille solaire est ainsi simultanément conduite par deux sources, sa position étant constamment influencée par celles-ci. Et puisque l’indication de l’heure solaire varie constamment en temps réel, le terme « équation marchante » en est la parfaite description.
Pour parfaire le raffinement de cette édition limitée exclusive, Blancpain met en exergue l’aiguille solaire marchante, en dispensant le cadran de l’indication plus/moins qui ornait le modèle original.
Cette pièce maîtresse horlogère est basée sur le calibre 3863 et ses 364 composants. Doté d’une réserve de marche de 72 heures, ce mouvement mécanique à remontage automatique, offre, outre l’affichage de l’équation marchante par deux aiguilles des minutes distinctes, les indications date, jour de la semaine, mois, années bissextiles et petite seconde à 6 heures.
L’Equation Marchante se concentre cependant sur l’essentiel, offrant une excellente lisibilité tout en représentant l’alliage parfait d’une complexité intérieure et d’une apparente simplicité extérieure. Dans ce même esprit de savoir-faire, tous les composants de ce mécanisme sont minutieusement polis, décorés, rhodiés et assemblés à la main par les maîtres horlogers
Blancpain.
Pour célébrer cette rencontre entre astronomie et haute horlogerie, une ouverture circulaire à 6 heures sur le cadran permet d’apercevoir la came d’équation, dont la position incarne l’univers en miniature. La petite aiguille des secondes tourne au centre de cette ouverture. Ce modèle est doté d’un bracelet en crocodile cousu main avec boucle déployante en or rouge.
L’Equation Marchante M.Y.S. est réalisée en série exclusive de 7 pièces. Chacune des montres sera gravée et personnalisée selon le désir de son acquéreur.
Source : Blancpain
Pour parfaire le raffinement de cette édition limitée exclusive, Blancpain met en exergue l’aiguille solaire marchante, en dispensant le cadran de l’indication plus/moins qui ornait le modèle original.
Cette pièce maîtresse horlogère est basée sur le calibre 3863 et ses 364 composants. Doté d’une réserve de marche de 72 heures, ce mouvement mécanique à remontage automatique, offre, outre l’affichage de l’équation marchante par deux aiguilles des minutes distinctes, les indications date, jour de la semaine, mois, années bissextiles et petite seconde à 6 heures.
L’Equation Marchante se concentre cependant sur l’essentiel, offrant une excellente lisibilité tout en représentant l’alliage parfait d’une complexité intérieure et d’une apparente simplicité extérieure. Dans ce même esprit de savoir-faire, tous les composants de ce mécanisme sont minutieusement polis, décorés, rhodiés et assemblés à la main par les maîtres horlogers
Blancpain.
Pour célébrer cette rencontre entre astronomie et haute horlogerie, une ouverture circulaire à 6 heures sur le cadran permet d’apercevoir la came d’équation, dont la position incarne l’univers en miniature. La petite aiguille des secondes tourne au centre de cette ouverture. Ce modèle est doté d’un bracelet en crocodile cousu main avec boucle déployante en or rouge.
L’Equation Marchante M.Y.S. est réalisée en série exclusive de 7 pièces. Chacune des montres sera gravée et personnalisée selon le désir de son acquéreur.
Source : Blancpain