Eska. Un nom qui ne dit pas grand-chose au grand public. Mais un nom qui « parle » aux amateurs et aux collectionneurs de montres vintage… La marque fut fondée à l’origine en Suisse, à Granges en 1918, par Sylvan Kocher qui donna son nom à Eska (SK) !
Comme de nombreuses marques à l’époque, elle va se développer à travers le monde jusqu’à la moitié du XXème siècle. Après la Seconde guerre mondiale, Eska poursuivra son développement, notamment sur les deux continents américains, jusqu’à sa cessation totale d’activité en 1987.
À ce jour , les montres Eska sont connues uniquement des collectionneurs et amateurs de garde-temps anciens et vintage (actuellement une vingtaine de pièces sont disponibles sur Chrono24). Dans les années 80, Mireille Darc apparaissait sur ses publicités.
Comme de nombreuses marques à l’époque, elle va se développer à travers le monde jusqu’à la moitié du XXème siècle. Après la Seconde guerre mondiale, Eska poursuivra son développement, notamment sur les deux continents américains, jusqu’à sa cessation totale d’activité en 1987.
À ce jour , les montres Eska sont connues uniquement des collectionneurs et amateurs de garde-temps anciens et vintage (actuellement une vingtaine de pièces sont disponibles sur Chrono24). Dans les années 80, Mireille Darc apparaissait sur ses publicités.
Il faut savoir que, durant des décennies, Eska s’est illustrée par la qualité de ses produits horloger : des trois aiguilles, mais aussi des chronographes, des complications, des montres « coin » (on se souvient de celle de Joe DiMaggio) des métiers d’arts avec des cadrans en email cloisonné (une sur Chrono24 à 9.000 euros) mais aussi… Avec des plongeuses.
C’est une plongeuse de légende qui a retenu l’attention de Sinicha Knezevic (ses initiales étant SK également) et Christophe Chevreton : une plongeuse rarissime, l’Amphibian 600 (étanche et amagnétique), puisqu’à ce jour, seuls quelques exemplaires sont connus au monde ! Inutile de vous dire que vous n’en trouverez pas sur le marché de l’occasion…
C’est donc sur ce modèle de légende que les deux associés ont décidé de travailler en le reproduisant quasiment à l’identique (nonobstant la « mini » réserve de marche à midi sur l’originale) !
C’est une plongeuse de légende qui a retenu l’attention de Sinicha Knezevic (ses initiales étant SK également) et Christophe Chevreton : une plongeuse rarissime, l’Amphibian 600 (étanche et amagnétique), puisqu’à ce jour, seuls quelques exemplaires sont connus au monde ! Inutile de vous dire que vous n’en trouverez pas sur le marché de l’occasion…
C’est donc sur ce modèle de légende que les deux associés ont décidé de travailler en le reproduisant quasiment à l’identique (nonobstant la « mini » réserve de marche à midi sur l’originale) !
Résultat : l’Amphibian 250 (étanche à 250 mètres). Une montre en acier de 40 mm (vs 38 mm pour l’originale) assemblée en France, à Besançon et dotée d’un calibre mécanique automatique, le NH 38 de chez Seiko d’une quarantaine d’heures de réserve de marche.
Globalement, cette montre évoque les toutes premières plongeuses de l’histoire. Et notamment les fameuses Fifthy Fathoms présentées en 1953. Visuellement, le cadran se distingue par ses quatre points cardinaux « oversized » qui sont la signature même de cette plongeuse.
Les amateurs remarqueront que les index viennent ajouter du relief et de la profondeur au cadran car ils sont intégrés façon « sandwich » -ce qui n’était pas le cas du modèle d’origine- comme sur de nombreux cadrans de Panerai.
Globalement, cette montre évoque les toutes premières plongeuses de l’histoire. Et notamment les fameuses Fifthy Fathoms présentées en 1953. Visuellement, le cadran se distingue par ses quatre points cardinaux « oversized » qui sont la signature même de cette plongeuse.
Les amateurs remarqueront que les index viennent ajouter du relief et de la profondeur au cadran car ils sont intégrés façon « sandwich » -ce qui n’était pas le cas du modèle d’origine- comme sur de nombreux cadrans de Panerai.
Ces index sont également ornés d’un rappel de couleur rouge à leurs extrémités, le rouge étant là pour appuyer l’aspect sportif de la pièce.
Comme c’est de mise sur les rééditions de montres vintage, la couleur des index et de la typographie du cadran fait écho à la couleur du radium patiné -que l’on retrouve, bien évidemment, sur le modèle original. L’ensemble étant protégé par un double verre saphir bombé qui renforce l’aspect vintage de cette pièce.
L’une des spécificités propre à l’Amphibian 250, c’est aussi son imposante lunette qui appuie le style très singulier de la montre.
Comme c’est de mise sur les rééditions de montres vintage, la couleur des index et de la typographie du cadran fait écho à la couleur du radium patiné -que l’on retrouve, bien évidemment, sur le modèle original. L’ensemble étant protégé par un double verre saphir bombé qui renforce l’aspect vintage de cette pièce.
L’une des spécificités propre à l’Amphibian 250, c’est aussi son imposante lunette qui appuie le style très singulier de la montre.
Elle interpelle d’abord par sa largeur et le reflet de son disque saphir (en bakélite à l’origine) puis, par sa graduation dite « à rebours » qui rappelle à quel point cette plongeuse était pionnière dans sa conception.
Cette lunette se caractérise enfin par une tranche dite « coin edge » qui évoque l’aspect d’une pièce de monnaie.
Cette plongeuse particulièrement séduisante est livrée avec trois bracelets : un Tropic noir, un canvas de couleur sable et un Nato deux brins noirs. Après le lancement Kickstarter, cette montre sera commercialisée au prix de 1.250 euros ttc.
Cette lunette se caractérise enfin par une tranche dite « coin edge » qui évoque l’aspect d’une pièce de monnaie.
Cette plongeuse particulièrement séduisante est livrée avec trois bracelets : un Tropic noir, un canvas de couleur sable et un Nato deux brins noirs. Après le lancement Kickstarter, cette montre sera commercialisée au prix de 1.250 euros ttc.