Cette nouveauté pré-Bâle 2017 est une réussite. Certes, l’utilisation du bronze dans l’horlogerie haut de gamme commence à se banaliser, mais tout de même, cette montre est belle et elle embarque un calibre manuf’ efficace avec ses 65 h de réserve de marche. L’ensemble pour un prix de 2.690 euros. Bref, ce garde-temps produit en une série limitée de 300 exemplaires ne devrait pas rester trop longtemps dans la vitrine de votre détaillant préféré !
Eterna a donc choisi le bronze pour commémorer le 70ème anniversaire de la légendaire expédition de Thor Heyerdahl qui en 1947, traversa l’Océan pacifique sur un radeau. A l’époque, l’aventurier norvégien âgé de 32 ans entre dans la légende lorsqu’il décide de prouver sa théorie selon laquelle la culture polynésienne est née au Pérou.
Afin de vérifier cette hypothèse -d’ailleurs contredite par d’autres études et contestée par d’autres chercheurs-, il décide avec cinq coéquipiers de traverser le Pacifique à bord d’un radeau en balsa construit selon un modèle Inca : le KonTiki… Après 101 jours d’une traversée de plus de 7.964 km dans des conditions extrêmes, ils arrivent à bon port sur l’atoll de Raroia, avec chacun une montre Eterna au poignet !
C’est en hommage à cette aventure que les montres sport d’Eterna portent, aujourd’hui encore, le nom de KonTiki. Il faudra cependant attendre plus de dix ans -1958- avant que l’horloger réagisse et commercialise une montre célébrant l’aventure du KonTiki. La collection avec ses fameux index en forme de triangle s’est ensuite rapidement imposée et fut un énorme succès commercial !
Eterna a donc choisi le bronze pour commémorer le 70ème anniversaire de la légendaire expédition de Thor Heyerdahl qui en 1947, traversa l’Océan pacifique sur un radeau. A l’époque, l’aventurier norvégien âgé de 32 ans entre dans la légende lorsqu’il décide de prouver sa théorie selon laquelle la culture polynésienne est née au Pérou.
Afin de vérifier cette hypothèse -d’ailleurs contredite par d’autres études et contestée par d’autres chercheurs-, il décide avec cinq coéquipiers de traverser le Pacifique à bord d’un radeau en balsa construit selon un modèle Inca : le KonTiki… Après 101 jours d’une traversée de plus de 7.964 km dans des conditions extrêmes, ils arrivent à bon port sur l’atoll de Raroia, avec chacun une montre Eterna au poignet !
C’est en hommage à cette aventure que les montres sport d’Eterna portent, aujourd’hui encore, le nom de KonTiki. Il faudra cependant attendre plus de dix ans -1958- avant que l’horloger réagisse et commercialise une montre célébrant l’aventure du KonTiki. La collection avec ses fameux index en forme de triangle s’est ensuite rapidement imposée et fut un énorme succès commercial !
Cette montre s’inscrit donc dans cette lignée et célèbre une fois encore cette grande et belle aventure humaine.
On retrouve bien évidemment, les fameux index triangulaires luminescents qui contrastent avec un cadran noir à motif « granit » offrant une excellente lisibilité, tandis qu’une lunette en céramique noire unidirectionnelle est munie d’une table de décompression. Rappelons que cette fonction (rare dans l’horlogerie) indique aux plongeurs, la durée maximale de plongée à une profondeur donnée sans avoir besoin de calculer des paliers de décompression.
Le boitier de 44 mm est étanche à 200 mètres. Il est réalisé en bronze, un métal longtemps utilisé dans la navigation maritime. En effet, durant des siècles, les bateaux ont été associés au bronze, puisqu’il bénéficie d’une belle résistance à la corrosion de même qu’à l’usure. En cas de contact prolongé avec de l’eau salée, il est capable de résister grâce à son oxydation, c’est-à-dire, grâce à la création d’une couche d’oxyde vert-de-gris en superficie. Cette patine se développe ensuite différemment selon chaque propriétaire en fonction de son style de vie et du lieu de sa résidence. .
Cette « plongeuse » est équipée d’un bracelet en cuir résistant à l’eau, durable et confortable, dont la teinte brune foncée s’accorde parfaitement au design de la montre. .
On retrouve bien évidemment, les fameux index triangulaires luminescents qui contrastent avec un cadran noir à motif « granit » offrant une excellente lisibilité, tandis qu’une lunette en céramique noire unidirectionnelle est munie d’une table de décompression. Rappelons que cette fonction (rare dans l’horlogerie) indique aux plongeurs, la durée maximale de plongée à une profondeur donnée sans avoir besoin de calculer des paliers de décompression.
Le boitier de 44 mm est étanche à 200 mètres. Il est réalisé en bronze, un métal longtemps utilisé dans la navigation maritime. En effet, durant des siècles, les bateaux ont été associés au bronze, puisqu’il bénéficie d’une belle résistance à la corrosion de même qu’à l’usure. En cas de contact prolongé avec de l’eau salée, il est capable de résister grâce à son oxydation, c’est-à-dire, grâce à la création d’une couche d’oxyde vert-de-gris en superficie. Cette patine se développe ensuite différemment selon chaque propriétaire en fonction de son style de vie et du lieu de sa résidence. .
Cette « plongeuse » est équipée d’un bracelet en cuir résistant à l’eau, durable et confortable, dont la teinte brune foncée s’accorde parfaitement au design de la montre. .
Spécificités techniques
Boitier de 44 mm en bronze brossé, lunette tournante en céramique noire, fond vissé, ouverture verre saphir
Verre saphir inrayable
Epaisseur 14.05mm
Cadran noir mat
Calibre Maison Eterna 3902A
28’800 A/h, 30 pierres
1 roulement à billes
Réserve de marche : 65h
Bracelet en cuir étanche brun, boucle ardillon en bronze
Prix de vente public conseillé : 2.690 euros
Verre saphir inrayable
Epaisseur 14.05mm
Cadran noir mat
Calibre Maison Eterna 3902A
28’800 A/h, 30 pierres
1 roulement à billes
Réserve de marche : 65h
Bracelet en cuir étanche brun, boucle ardillon en bronze
Prix de vente public conseillé : 2.690 euros