Avec près de 19.3 milliards de francs d’exportations (16 milliards d’euros), l’année 2011 aura été de tous les records pour l’horlogerie suisse.
Une croissance remarquable, jamais égalée, qui pose un nouveau jalon. Les entreprises horlogères suisses ont dépassé leur précédent résultat annuel de 19.2% !
C’est le quatrième trimestre qui a été le plus favorable, en réunissant les trois plus gros mois de l’histoire de l’exportation horlogère, atteignant 5.8 milliards de francs (4.8 milliards d’euros). Des résultats qui font office d’exception dans un contexte économique difficile.
En effet, la réussite de la branche a elle aussi été pénalisée par le franc fort, pesant sur les marges et sur les prix de vente. Les 29.8 millions de montres exportées l’année passée (+13.8%) laissent néanmoins présager de bonnes perspectives pour les mois à venir.
La croissance s’applique à tous les segments de prix, mais n’est pas tout à fait égale quant aux matières. La plus forte progression est conquise par les montres en or avec une valeur en hausse de 26.5% et une croissance des volumes de 24.2%, ces dernières ont clairement tiré le prix moyen des exportations vers le haut.
Les garde-temps bimétalliques (or et acier principalement) ont également connu une évolution supérieure à la moyenne avec une hausse de 24.7%. Les montres en acier -plus d’une montre exportée sur deux- n’ont pas connu de hausse fulgurante, mais évoluent positivement de 12.8% pour dépasser les 15 millions de pièces vendues.
Côté géographie, c’est l’Asie qui continue de se distinguer. La barre des 10 milliards d’exportation horlogères y a été franchie et n’a jamais été aussi haute. Cette progression se fait au détriment de l’Europe qui n’a toujours pas retrouvé son chiffre d’affaire d’avant-crise et se situe clairement en deçà de son niveau de 2008. Le constat est comparable pour le continent américain : croissance sensible (+15.8%), mais pour un niveau identique à celui de 2005.
La tendance positive devrait néanmoins se prolonger en 2012 pour les exportations horlogères. Le rythme devrait ralentir, mais ne signifier qu’une normalisation de la croissance. La demande pour les produits de luxe ainsi que le potentiel de certains marchés devraient favoriser le développement de l’industrie horlogère suisse…
Une croissance remarquable, jamais égalée, qui pose un nouveau jalon. Les entreprises horlogères suisses ont dépassé leur précédent résultat annuel de 19.2% !
C’est le quatrième trimestre qui a été le plus favorable, en réunissant les trois plus gros mois de l’histoire de l’exportation horlogère, atteignant 5.8 milliards de francs (4.8 milliards d’euros). Des résultats qui font office d’exception dans un contexte économique difficile.
En effet, la réussite de la branche a elle aussi été pénalisée par le franc fort, pesant sur les marges et sur les prix de vente. Les 29.8 millions de montres exportées l’année passée (+13.8%) laissent néanmoins présager de bonnes perspectives pour les mois à venir.
La croissance s’applique à tous les segments de prix, mais n’est pas tout à fait égale quant aux matières. La plus forte progression est conquise par les montres en or avec une valeur en hausse de 26.5% et une croissance des volumes de 24.2%, ces dernières ont clairement tiré le prix moyen des exportations vers le haut.
Les garde-temps bimétalliques (or et acier principalement) ont également connu une évolution supérieure à la moyenne avec une hausse de 24.7%. Les montres en acier -plus d’une montre exportée sur deux- n’ont pas connu de hausse fulgurante, mais évoluent positivement de 12.8% pour dépasser les 15 millions de pièces vendues.
Côté géographie, c’est l’Asie qui continue de se distinguer. La barre des 10 milliards d’exportation horlogères y a été franchie et n’a jamais été aussi haute. Cette progression se fait au détriment de l’Europe qui n’a toujours pas retrouvé son chiffre d’affaire d’avant-crise et se situe clairement en deçà de son niveau de 2008. Le constat est comparable pour le continent américain : croissance sensible (+15.8%), mais pour un niveau identique à celui de 2005.
La tendance positive devrait néanmoins se prolonger en 2012 pour les exportations horlogères. Le rythme devrait ralentir, mais ne signifier qu’une normalisation de la croissance. La demande pour les produits de luxe ainsi que le potentiel de certains marchés devraient favoriser le développement de l’industrie horlogère suisse…