Il faut être un peu fou pour relancer une marque horlogère de nos jours… Mais il faut dire que cette Favre-Leuba a de quoi séduire les amateurs d’horlogerie. D’une part, son design d’inspiration vintage est réussi et d’autre part, elle offre une lecture de l’heure particulièrement originale. Son imposant boitier en acier de 46 mm, étanche à 500 mètres avec valve à hélium, accueille un calibre mécanique automatique (breveté) qui focalise l’attention du porteur sur les minutes et les secondes. Les heures arrivant au « second plan ».
Tout d’abord, la trotteuse, minuscule aiguille située au centre, permet de vérifier le bon fonctionnement de votre plongeuse. D’ailleurs, une montre de plongée digne de ce nom, doit toujours afficher les secondes puisque c’est l’assurance pour le porteur de pouvoir vérifier en permanence et à tout instant que son garde-temps est bel et bien fonctionnel lors des plongées. Un coup d’œil au cadran, si la trotteuse tourne, a priori, la montre marche !
Tout d’abord, la trotteuse, minuscule aiguille située au centre, permet de vérifier le bon fonctionnement de votre plongeuse. D’ailleurs, une montre de plongée digne de ce nom, doit toujours afficher les secondes puisque c’est l’assurance pour le porteur de pouvoir vérifier en permanence et à tout instant que son garde-temps est bel et bien fonctionnel lors des plongées. Un coup d’œil au cadran, si la trotteuse tourne, a priori, la montre marche !
Mais la grande originalité de cette montre est incontestablement son affichage heure et minutes. De fait, les responsables de la marque ont décidé de mettre en avant les minutes, d’ailleurs c’est pratiquement la seule véritable aiguille de cette pièce (celle des secondes au centre étant extrêmement réduite). Ce sont donc les minutes qui s’affichent avec le plus d’évidence puisque ce sont elles qui sont également les plus importantes lors des plongées sous-marines.
Ce garde-temps pourrait presqu’être considéré comme un « monoaiguille » avec cette large aiguille à bout orange qui indique très clairement le temps qui passe. Au fur et à mesure que les minutes avancent, elles entrainent avec elles le réhaut des heures tournant de concert. L’aiguille des minutes évoluant au sein de chaque segment d’une heure. Et chaque heure passant, le réhaut avance d’une heure et la ronde recommence (voir la vidéo ci-dessous).
Ce garde-temps pourrait presqu’être considéré comme un « monoaiguille » avec cette large aiguille à bout orange qui indique très clairement le temps qui passe. Au fur et à mesure que les minutes avancent, elles entrainent avec elles le réhaut des heures tournant de concert. L’aiguille des minutes évoluant au sein de chaque segment d’une heure. Et chaque heure passant, le réhaut avance d’une heure et la ronde recommence (voir la vidéo ci-dessous).
Les deux couronnes vissées situées respectivement à 2h et 4h servent à remonter et à régler l’heure et pour la valve à hélium. La lunette unidirectionnelle avec zone de 20 minutes en orange et le reste en noir s’utilise quant à elle de manière traditionnelle en positionnant le triangle inversé devant l’aiguille des minutes lors du démarrage de la plongée. Deux versions de cadrans sont disponibles : noir (la plus sympa) ou bleu avec index luminescents à la lumière bleue, protégés par un épais verre saphir antireflet. Le tout se porte sur un bracelet en caoutchouc noir ou sur bracelet acier.
Incontestablement une belle pièce. Imposante et différente avec une descendance vintage fièrement revendiquée dans son design ; quant à l’affichage, il s’avère extrêmement cohérent pour une « plongeuse ». Prix non communiqué.
PS : rappelons que la marque avait été relancée en 2007 avant de disparaitre en 2010. Espérons que cette fois-ci, Favre-Leuba est repartie sur la bonne voie.
Incontestablement une belle pièce. Imposante et différente avec une descendance vintage fièrement revendiquée dans son design ; quant à l’affichage, il s’avère extrêmement cohérent pour une « plongeuse ». Prix non communiqué.
PS : rappelons que la marque avait été relancée en 2007 avant de disparaitre en 2010. Espérons que cette fois-ci, Favre-Leuba est repartie sur la bonne voie.
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