Les heures mystérieuses remontent aux années 20 et étaient l’une des grandes spécialités de la maison Cartier avec ses fameuses pendules… On les dit « mystérieuses » car leurs aiguilles semblent flotter dans le corps transparent sans lien visible apparent avec le mouvement.
Ces « miracles de l’horlogerie », comme les appelait La Gazette du Bon Ton en 1925, sont nés de la collaboration de Louis Cartier et d’un horloger d’exception, Maurice Coüet. Ce dernier n’a pas 25 ans lorsqu’il est remarqué par Cartier – et déjà une solide expérience à son actif.
À partir de 1911, il devient le fournisseur exclusif de Cartier. La première pendule mystérieuse, baptisée Modèle A, sort des ateliers en 1912. Pour la petite histoire, Maurice Coüet s’est inspiré des pendules de Jean Eugène Robert-Houdin, célèbre illusionniste et inventeur de la magie moderne.
Ces « miracles de l’horlogerie », comme les appelait La Gazette du Bon Ton en 1925, sont nés de la collaboration de Louis Cartier et d’un horloger d’exception, Maurice Coüet. Ce dernier n’a pas 25 ans lorsqu’il est remarqué par Cartier – et déjà une solide expérience à son actif.
À partir de 1911, il devient le fournisseur exclusif de Cartier. La première pendule mystérieuse, baptisée Modèle A, sort des ateliers en 1912. Pour la petite histoire, Maurice Coüet s’est inspiré des pendules de Jean Eugène Robert-Houdin, célèbre illusionniste et inventeur de la magie moderne.
Il faut savoir qu’en son temps, Louis Cartier avait interdit que le fonctionnement des pendulettes mystérieuses de son époque soit expliqué aux vendeurs pour ne pas déflorer un secret !
La Fictions One de Fugue s’inscrit donc dans ce registre des heures mystérieuses chères à Cartier. Le boitier en acier poli-brossé de 38 mm (étanche à 50 mètres) accueille un calibre mécanique automatique suisse, le SW200 de chez Sellita qui, grâce la superposition de deux disques transparents, permet aux aiguilles des heures et minutes d’évoluer comme si elles flottaient.
Deux versions sont disponibles en pré-commande : une version cadran gris et aiguilles avec matière luminescente verte et une version noir fumé associée à des aiguilles avec matière luminescente crème (notre préférée).
La Fictions One de Fugue s’inscrit donc dans ce registre des heures mystérieuses chères à Cartier. Le boitier en acier poli-brossé de 38 mm (étanche à 50 mètres) accueille un calibre mécanique automatique suisse, le SW200 de chez Sellita qui, grâce la superposition de deux disques transparents, permet aux aiguilles des heures et minutes d’évoluer comme si elles flottaient.
Deux versions sont disponibles en pré-commande : une version cadran gris et aiguilles avec matière luminescente verte et une version noir fumé associée à des aiguilles avec matière luminescente crème (notre préférée).