Alors que la maison française Pequignet semble remise sur de bons rails, les deux repreneurs Philippe Spruh et Laurent Katz ont décidé d’insuffler un nouveau souffle à la marque avec l’arrivée d’une nouvelle patronne (présidente), Florence Sentilhes, une femme qui n’est pas issue de l’univers de l’horlogerie.
Le fait est que la marque, avec son désormais fameux Calibre Royal entièrement conçu et assemblé en France et sa collection Moorea, montres françaises plus accessibles, a retrouvé le chemin des détaillants, et surtout celui des amateurs de garde-temps. En France mais également sur les marchés internationaux.
Aujourd’hui, Pequignet connait donc une nouvelle étape de développement avec la nomination de Florence Sentilhes. Agée de 48 ans, elle a travaillé le monde des nouvelles technologies, dans le mobilier industriel et dans le mobilier design où elle a oeuvré aux côtés de Philippe Starck.
Comme l’indiquait récemment Laurent Katz : « après quatre années intenses, Pequignet a retrouvé les fondamentaux posés par Emile Pequignet et impose à nouveau le savoir-faire du Jura français en matière de haute horlogerie. Florence Sentilhes (…) ouvrira une nouvelle page de l’histoire horlogère française ». C’est tout ce qu’on lui souhaite dans une conjoncture particulièrement délicate.
La nouvelle patronne aura pour mission de perpétuer l’esprit de la Maison Pequignet, de diriger une équipe de plus de cinquante collaborateurs et d’assurer la promotion de la maison auprès de ses distributeurs en France et à l’étranger.
Le fait est que la marque, avec son désormais fameux Calibre Royal entièrement conçu et assemblé en France et sa collection Moorea, montres françaises plus accessibles, a retrouvé le chemin des détaillants, et surtout celui des amateurs de garde-temps. En France mais également sur les marchés internationaux.
Aujourd’hui, Pequignet connait donc une nouvelle étape de développement avec la nomination de Florence Sentilhes. Agée de 48 ans, elle a travaillé le monde des nouvelles technologies, dans le mobilier industriel et dans le mobilier design où elle a oeuvré aux côtés de Philippe Starck.
Comme l’indiquait récemment Laurent Katz : « après quatre années intenses, Pequignet a retrouvé les fondamentaux posés par Emile Pequignet et impose à nouveau le savoir-faire du Jura français en matière de haute horlogerie. Florence Sentilhes (…) ouvrira une nouvelle page de l’histoire horlogère française ». C’est tout ce qu’on lui souhaite dans une conjoncture particulièrement délicate.
La nouvelle patronne aura pour mission de perpétuer l’esprit de la Maison Pequignet, de diriger une équipe de plus de cinquante collaborateurs et d’assurer la promotion de la maison auprès de ses distributeurs en France et à l’étranger.