Voici donc un grand classique de chez Frédérique Constant qui revient cette année avec un cadran bleu profond. Une montre de ville au design intemporel qui devrait passer les années sans trop se démoder.
Le boitier en acier de 40 mm est étanche à 60 mètres. Il est accompagné d’un cadran arborant la fameuse ouverture « Heart Beat », laissant apparaitre l’échappement du calibre, imaginée il y a trente ans par le couple Stas et qui est devenu depuis un grand classique de l’horlogerie contemporaine.
Côté calibre, ce garde-temps embarque le mouvement mécanique à remontage automatique FC-335, cadencé à 28'800 alternances par heure. Il a été conçu avec une attention particulière pour la simplicité : remontage, heures, minutes, date et ajustement des phases lunaires s’effectue par le biais de la couronne !
Le boitier en acier de 40 mm est étanche à 60 mètres. Il est accompagné d’un cadran arborant la fameuse ouverture « Heart Beat », laissant apparaitre l’échappement du calibre, imaginée il y a trente ans par le couple Stas et qui est devenu depuis un grand classique de l’horlogerie contemporaine.
Côté calibre, ce garde-temps embarque le mouvement mécanique à remontage automatique FC-335, cadencé à 28'800 alternances par heure. Il a été conçu avec une attention particulière pour la simplicité : remontage, heures, minutes, date et ajustement des phases lunaires s’effectue par le biais de la couronne !
La première position remonte le mouvement, alors que la quatrième règle l’heure. L’ajustement de la date se fait en deuxième position, et les phases lunaires en troisième –pour autant que les aiguilles aient été positionnées à 10.10 au préalable, et ce afin de ne pas endommager le mécanisme.
En parfaite symétrie de l’ouverture Heart Beat, se déploie à 6h, la phase de Lune qui rappelle avec l’historien Dominique Fléchon que « l’horlogerie est fille de l’astronomie » et que les premières mesures du temps se faisaient par l’observation des astres.
Au centre du cadran « clou de Paris » : quatre aiguilles. Les deux premières, celles des heures et minutes, se terminent par un motif dit « à pomme évidée » -de style Breguet- subtil rappel historique des canons esthétiques traditionnels des débuts de l’horlogerie.
En parfaite symétrie de l’ouverture Heart Beat, se déploie à 6h, la phase de Lune qui rappelle avec l’historien Dominique Fléchon que « l’horlogerie est fille de l’astronomie » et que les premières mesures du temps se faisaient par l’observation des astres.
Au centre du cadran « clou de Paris » : quatre aiguilles. Les deux premières, celles des heures et minutes, se terminent par un motif dit « à pomme évidée » -de style Breguet- subtil rappel historique des canons esthétiques traditionnels des débuts de l’horlogerie.
La suivante, celle des secondes, longue et fine, bat la mesure du mouvement automatique offrant une réserve de marche standard (moyenne basse) de 38h, visible par le fond saphir. La dernière aiguille, différenciée par son motif en flèche, pointe vers la date, indiquée de manière circulaire sur le rehaut.
Cette Classics Heart Beat Moonphase Date se porte sur bracelet en cuir bleu surpiqué blanc fermé par une boucle ardillon en acier. A découvrir chez Emile Leon à Paris.
Cette Classics Heart Beat Moonphase Date se porte sur bracelet en cuir bleu surpiqué blanc fermé par une boucle ardillon en acier. A découvrir chez Emile Leon à Paris.
