Le designer français Romaric André, fondateur de seconde/seconde, bouscule depuis quelques années déjà, le monde feutré de l’horlogerie avec ses différentes collaborations dotées de fortes doses d’humour et de décalage. De Moser à Vulcain en passant par Charles Simon ou encore Louis Erard.
Aujourd’hui, c’est donc Frederique Constant qui se prête à l’exercice avec ces deux modèles particulièrement réussis. Au choix, deux versions : l’une en acier dotée d’une couronne et d’éléments de cadran de couleur or rose, limitée à 10 pièces (uniquement disponible en ligne) ; l’autre, toute en acier, éditée à 100 exemplaires.
Comme le souligne Romaric André : « en tant qu’amoureux de belles montres, nous cherchons tous la perfection. Mais au-delà d’un certain seuil, nous finissons par regretter le manque d’humanité, la déconnexion avec les racines artisanales de l’horlogerie ».
Aujourd’hui, c’est donc Frederique Constant qui se prête à l’exercice avec ces deux modèles particulièrement réussis. Au choix, deux versions : l’une en acier dotée d’une couronne et d’éléments de cadran de couleur or rose, limitée à 10 pièces (uniquement disponible en ligne) ; l’autre, toute en acier, éditée à 100 exemplaires.
Comme le souligne Romaric André : « en tant qu’amoureux de belles montres, nous cherchons tous la perfection. Mais au-delà d’un certain seuil, nous finissons par regretter le manque d’humanité, la déconnexion avec les racines artisanales de l’horlogerie ».
Et d’ajouter : « c’est la même chose dans la vie de tous les jours, lorsque notre quête de perfection entre en conflit avec le beau, avec la nature humaine. J’apprécie vraiment de pouvoir souligner ces contradictions en tant qu’êtres sociaux, et je pense que la montre incarne quelque part cette douce bipolarité qui nous anime tous ».
Pour cette première collaboration (y en aura-t-il d’autres ?) avec FC, seconde/seconde/ a voulu travaillé sur une réinterprétation de la fameuse Slimline Moonphase Date, une montre de ville très classique et très sage sur laquelle souffle un petit vent de folie douce.
A première vue, cette Slimline semble tout à fait normale. On retrouve son boîtier de 42 mm en acier poli, son cadran argenté mat, sa phase de Lune et son guichet de date. Rien que de très normal.
Pour cette première collaboration (y en aura-t-il d’autres ?) avec FC, seconde/seconde/ a voulu travaillé sur une réinterprétation de la fameuse Slimline Moonphase Date, une montre de ville très classique et très sage sur laquelle souffle un petit vent de folie douce.
A première vue, cette Slimline semble tout à fait normale. On retrouve son boîtier de 42 mm en acier poli, son cadran argenté mat, sa phase de Lune et son guichet de date. Rien que de très normal.
Mais à y regarder de plus près, on s’aperçoit que quelque chose « cloche »… Qu’en réalité, derrière cette apparente normalité, rien ne va ! Il y a clairement quelque chose qui ne tourne pas rond sur le cadran.
Les index appliqués des heures semblent déposés çà et là, de manière totalement incongrue. L’écriture du logo et l’indication de la date paraissent avoir été réalisées à la main (par un enfant ?).
Même le disque étoilé de la phase de Lune semble dessiné à la main, mais avec une écriture quelque peu aléatoire.
Les index appliqués des heures semblent déposés çà et là, de manière totalement incongrue. L’écriture du logo et l’indication de la date paraissent avoir été réalisées à la main (par un enfant ?).
Même le disque étoilé de la phase de Lune semble dessiné à la main, mais avec une écriture quelque peu aléatoire.
Côté fond, le verre permet de lire une affirmation résumant parfaitement cette collaboration aussi inattendue qu’inédite : « Comment dire au monde que l’assemblage manuel est au cœur de notre manufacture ? Nous avons demandé à l’artiste seconde/seconde/. Il est allé trop loin ».
Sous ce message, on pourra admirer le calibre maison FC-705 à remontage automatique, orné de perlage sur sa platine, de côtes de Genève sur son pont, ses vis bleuies. Sa masse oscillante bidirectionnelle remonte son barillet afin d’offrir une réserve de marche de 38 heures.
Qui a dit que l’horlogerie de haut vol devait toujours se prendre au sérieux ?
Sous ce message, on pourra admirer le calibre maison FC-705 à remontage automatique, orné de perlage sur sa platine, de côtes de Genève sur son pont, ses vis bleuies. Sa masse oscillante bidirectionnelle remonte son barillet afin d’offrir une réserve de marche de 38 heures.
Qui a dit que l’horlogerie de haut vol devait toujours se prendre au sérieux ?