Développée et assemblée en Suisse, la Chronostase de Fugue est équipée d’un boîtier à la construction dissociant ses principaux composants. Dans la pratique, un « container » (cadran et mouvement) s’insère dans une carrure amovible en quelques secondes, par une simple pression des doigts grâce à un système de billes à ressort. Interchangeable facilement pour donner une nouvelle esthétique à la montre, ce garde-temps offre une multitude de combinaisons, le bracelet lui-même venant compléter la palette des options possibles.
Se concentrant sur l’affichage de l’heure sans complication, excepté une discrète date à 6h, le cadran brossé est décliné en quatre versions -argenté, blanc, bleu marine et noir - colorés de détails bleu clair et jaune. Apposées au centre, deux « parenthèses » viennent rappeler l’essence même de la philosophie de la marque : un moment suspendu dans un temps insaisissable.
En cette rentrée 2018, Fugue vient de dévoiler deux nouvelles carrures. Inspirée par la standardisation industrielle, la forme 1950 fait passer le diamètre de la montre de 40 à 38 mm. Plus ronde et classique, elle reprend les courbes et l’intégration initiale des cornes. Sa lunette continue permet l’utilisation de pompes et de bracelets deux brins pour un look plus habillé. Plus brute et plus radicale, la forme 1970, monobloc avec une finition microbillée, rappelle les codes de l’automobile.
La jeune marque propose ces carrures additionnelles dans un coffret incluant la Chronostase avec sa forme de boîtier des années 1960 et deux bracelets. Editée en série limitée à 150 exemplaires, cette trilogie sera disponible à la vente pour les fêtes de fin d’année.
Equipé d’un mouvement mécanique à remontage automatique Sellita, la Chronostase arbore un boîtier en acier inoxydable, protégé par un verre saphir double dôme. Empruntant ses courbes aux tendances futuristes des années 1960, elle mêle des cornes longues et des index épais pour un résultat tout en rondeurs. Sobre mais ne manquant pas de caractère, cette montre affiche des proportions justes tout en révélant une attention particulière portée aux finitions et au traitement des matières.
Se concentrant sur l’affichage de l’heure sans complication, excepté une discrète date à 6h, le cadran brossé est décliné en quatre versions -argenté, blanc, bleu marine et noir - colorés de détails bleu clair et jaune. Apposées au centre, deux « parenthèses » viennent rappeler l’essence même de la philosophie de la marque : un moment suspendu dans un temps insaisissable.
En cette rentrée 2018, Fugue vient de dévoiler deux nouvelles carrures. Inspirée par la standardisation industrielle, la forme 1950 fait passer le diamètre de la montre de 40 à 38 mm. Plus ronde et classique, elle reprend les courbes et l’intégration initiale des cornes. Sa lunette continue permet l’utilisation de pompes et de bracelets deux brins pour un look plus habillé. Plus brute et plus radicale, la forme 1970, monobloc avec une finition microbillée, rappelle les codes de l’automobile.
La jeune marque propose ces carrures additionnelles dans un coffret incluant la Chronostase avec sa forme de boîtier des années 1960 et deux bracelets. Editée en série limitée à 150 exemplaires, cette trilogie sera disponible à la vente pour les fêtes de fin d’année.
Equipé d’un mouvement mécanique à remontage automatique Sellita, la Chronostase arbore un boîtier en acier inoxydable, protégé par un verre saphir double dôme. Empruntant ses courbes aux tendances futuristes des années 1960, elle mêle des cornes longues et des index épais pour un résultat tout en rondeurs. Sobre mais ne manquant pas de caractère, cette montre affiche des proportions justes tout en révélant une attention particulière portée aux finitions et au traitement des matières.