Si certaines marques continuent d’ouvrir des boutiques exclusives dans le monde, à grand renfort de communiqué de presse, d’autres ferment plus discrètement certains de leurs magasins qui furent installés dans les plus grandes villes de la planète depuis une dizaine d’années.
En ce moment, alors que la crise horlogère n’en finit pas, il n’y a malheureusement pas qu’à Hongkong que les boutiques de montres de luxe ferment les unes après les autres… En effet, l’horloger loclois Zenith (LVMH), qui possède onze boutiques exclusives dans le monde dont trois en Suisse va fermer sa boutique de Genève d’ici une semaine environ, indique un récent article du quotidien genevois Le Temps. Il s’agissait de la seule que Zenith possédait en propre. Les deux autres, situées à Zermatt et à Lucerne étant gérées avec des détaillants horlogers.
A noter que Zenith envisage la fermeture de deux autres points de vente d’ici 2017. On ne sait pas où, mais celles de Hongkong, du Japon ou de Chine devraient être conservées. L'horloger réalise la majeure partie (90%) de ses ventes grâce à des franchises et juge donc peu pertinent de supporter le coût de boutiques en propre, a expliqué le directeur général Aldo Magada au journal genevois.
En ce moment, alors que la crise horlogère n’en finit pas, il n’y a malheureusement pas qu’à Hongkong que les boutiques de montres de luxe ferment les unes après les autres… En effet, l’horloger loclois Zenith (LVMH), qui possède onze boutiques exclusives dans le monde dont trois en Suisse va fermer sa boutique de Genève d’ici une semaine environ, indique un récent article du quotidien genevois Le Temps. Il s’agissait de la seule que Zenith possédait en propre. Les deux autres, situées à Zermatt et à Lucerne étant gérées avec des détaillants horlogers.
A noter que Zenith envisage la fermeture de deux autres points de vente d’ici 2017. On ne sait pas où, mais celles de Hongkong, du Japon ou de Chine devraient être conservées. L'horloger réalise la majeure partie (90%) de ses ventes grâce à des franchises et juge donc peu pertinent de supporter le coût de boutiques en propre, a expliqué le directeur général Aldo Magada au journal genevois.