Girard-Perregaux 1966 Petite Seconde : série limitée pour les 220 ans de la maison


Pour ses 220 ans, la manufacture horlogère Girard-Perregaux (groupe PPR) vient de dévoiler en pré-SIHH, une pièce très élégante en or rose (38 mm), qui reflète parfaitement la grande tradition horlogère de la marque. Une série limitée de 100 pièces numérotées baptisée Girard-Perregaux 1966 Petite Seconde équipée d’un mouvement manufacture, d’un très beau cadran grené main et souligné de chiffres arabes peints.


Digne héritière du style épuré de la marque, la collection Girard-Perregaux 1966 (que l’on voit se développer avec plaisir depuis quelques années) illustre son savoir-faire dans la création de grands classiques horlogers.

Fidèle à sa philosophie d’innovation mais consciente de son héritage, Girard-Perregaux rend, avec ce modèle, hommage au style de ses montres de poche du 19ème siècle.

Le cadran –de finition grenée main- confère un caractère intemporel et très élégant (voire dandy) à cette Girard-Perregaux 1966 petite seconde.

On remarquera la signature « Maison fondée en 1791 » qui rappelle les origines de « G-P », tandis que les chiffres peints rythment la marche des aiguilles en acier bleui, ponctuées d’une minuterie dite « chemin de fer ».

Le cadran répond aux exigences d’un design épuré. La petite seconde centrée à 9 heures et la date dans son guichet à 3 heures équilibrent parfaitement cet ensemble. Simplicité des formes et sobriété des lignes sont les
signes distinctifs d’une horlogerie raffinée.

Le profil de la montre met en lumière sa fine silhouette et sa glace saphir bombée. La boîte, aux rondeurs de 38mm parfaitement maîtrisées, a été minutieusement calibrée au sein des Ateliers de la Manufacture, pour épouser le poignet.

Au coeur de cette création se cache un calibre manufacturé à remontage automatique (46 heures de réserve de marche) d’une grande finesse : le calibre GP3300.

Le fond de la boîte, légèrement bombé, se pare d’une délicate gravure, commémorant deux dates importantes : en 1889, Girard-Perregaux remporte la Médaille d’Or à l’Exposition Universelle de Paris pour sa montre de poche qui sera appelée « La Esmeralda », le plus fameux exemplaire des Tourbillons sous trois Ponts d’or. En 1901, ce chef-d’oeuvre de technicité à l’architecture inédite y est jugé inégalable. Étant ainsi hors concours, Girard-Perregaux est nommé membre du jury de l’Exposition Universelle.

Spécificités techniques de la Girard-Perregaux 1966 Petite Seconde

Boîtier en or rose
Diamètre : 38,00 mm
Hauteur : 8,59 mm
Glace saphir
Fond plein, galbé et gravé

Etanchéité : 30 mètres

Mouvement Girard-Perregaux GP03300
Mécanique à remontage automatique
Calibre : 11 ½ ’’’
Fréquence : 28 800 alternances/heure (4 Hz)
Rubis : 28

Réserve de marche : minimum 46 heures

Fonctions : heure, minute, date, petite seconde

Bracelet en alligator avec boucle ardillon en or rose

Référence : 49526-52-111-BK6A

Série limitée et numérotée de 100 pièces

Montres-de-luxe.com | Publié le 4 Novembre 2011 | Lu 1716 fois

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