Sur la nouvelle Cat’s Eye Majestic de la manufacture Girard-Perregaux, l’ovale est à la verticale et prolongé par des cornes effilées. Le boîtier en or rose (40x34.7mm) étanche à 30 mètres est serti de 60 diamants taille brillant ; il ennoblit le cadran réalisé en verre aventuriné associé à une « pluie » de 24 diamants en forme de goutte qui annonce les heures.
La profondeur de ce cadran évoque irrésistiblement l’Ile de Murano près de Venise en Italie. Là, des chefs d’œuvre furent créés qui connurent des destins extraordinaires auprès de familles puissantes comme dans les cours royales.
En vaporetto sur la lagune, quelques minutes suffisent pour relier la Sérénissime à l’Ile de Murano. Venise ayant été la proie des flammes, c’est là qu’elle déplaça ses maîtres verriers et leurs fours pour qu’ils puissent y exercer leur activité sans transformer Venise en un immense incendie !
En quelques siècles, celle-ci s’élève au rang d’art avec la création d’un verre aussi pur que le cristal de roche, ou saturé de couleur grâce à l’utilisation d’oxydes. Différentes techniques viennent magnifier cette matière traversée de lumière.
Anne de Bretagne, Marguerite d’Autriche, Charles Quint, Catherine de Médicis en commandent des services entiers. Les lustres et les girandoles ornent les plafonds des palais. Piqué au vif, le Roi Soleil envoie des espions chargés de ramener les artisans et leur savoir-faire en France…
A Murano, on transforme l’air, l’eau et le feu, en conservant jalousement ses secrets de fabrication, qu’ils soient le fruit d’un savoir empirique ou du hasard. Telle est la genèse du verre aventuriné, né au 17ème siècle de la manipulation d’un verrier qui fit tomber de façon fortuite « all’avvenura » de la limaille de cuivre dans le traditionnel mélange de silice, de soude et de chaux incandescent.
D’abord indécise, la matière en se refroidissant lentement se transforma en verre scintillant constellé de paillettes aux reflets dorés. La magie venait d’opérer.
Au-delà de sa fonction contemplative, car nul ne saurait résister à la vision captivante de l’aventurine, la Cat’s Eye Majestic délivre les heures et les minutes grâce à son mouvement mécanique à remontage automatique doté d’une réserve de marche de 46h. Le fond saphir permet d’admirer ce mouvement « maison » décoré selon les principes d’exigences chers à Girard-Perregaux, en particulier la masse oscillante en or au motif tapisserie « GP ».
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator bleu nuit sur une boucle déployante en or rose.
La profondeur de ce cadran évoque irrésistiblement l’Ile de Murano près de Venise en Italie. Là, des chefs d’œuvre furent créés qui connurent des destins extraordinaires auprès de familles puissantes comme dans les cours royales.
En vaporetto sur la lagune, quelques minutes suffisent pour relier la Sérénissime à l’Ile de Murano. Venise ayant été la proie des flammes, c’est là qu’elle déplaça ses maîtres verriers et leurs fours pour qu’ils puissent y exercer leur activité sans transformer Venise en un immense incendie !
En quelques siècles, celle-ci s’élève au rang d’art avec la création d’un verre aussi pur que le cristal de roche, ou saturé de couleur grâce à l’utilisation d’oxydes. Différentes techniques viennent magnifier cette matière traversée de lumière.
Anne de Bretagne, Marguerite d’Autriche, Charles Quint, Catherine de Médicis en commandent des services entiers. Les lustres et les girandoles ornent les plafonds des palais. Piqué au vif, le Roi Soleil envoie des espions chargés de ramener les artisans et leur savoir-faire en France…
A Murano, on transforme l’air, l’eau et le feu, en conservant jalousement ses secrets de fabrication, qu’ils soient le fruit d’un savoir empirique ou du hasard. Telle est la genèse du verre aventuriné, né au 17ème siècle de la manipulation d’un verrier qui fit tomber de façon fortuite « all’avvenura » de la limaille de cuivre dans le traditionnel mélange de silice, de soude et de chaux incandescent.
D’abord indécise, la matière en se refroidissant lentement se transforma en verre scintillant constellé de paillettes aux reflets dorés. La magie venait d’opérer.
Au-delà de sa fonction contemplative, car nul ne saurait résister à la vision captivante de l’aventurine, la Cat’s Eye Majestic délivre les heures et les minutes grâce à son mouvement mécanique à remontage automatique doté d’une réserve de marche de 46h. Le fond saphir permet d’admirer ce mouvement « maison » décoré selon les principes d’exigences chers à Girard-Perregaux, en particulier la masse oscillante en or au motif tapisserie « GP ».
L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator bleu nuit sur une boucle déployante en or rose.