Depuis l’année dernière, la Laureato a fait son grand retour sur le devant de la scène de l’horlogerie, sous la forme d'une série limitée réalisée en hommage aux 225 ans de G-P. Après cette édition couronnée de succès, Girard-Perregaux poursuit donc fort logiquement le développement de cette collection avec l’arrivée d’une trentaine de références pour hommes et femmes. Parmi elles, cette très chic Laureato Tourbillon.
Avant d’aller plus loin de la présentation de cette pièce, revenons plus en détail sur l’histoire de cette icône de l’horlogerie… Nous sommes au milieu des années 1970, période où l’art du design vit de profondes mutations. En horlogerie par exemple, une demande inédite se fait de plus en plus insistante : le besoin d’une montre sportive, élégante, à porter en toutes occasions et dont l’esthétique marquante se caractérise entre autres par l’intégration du boîtier et du bracelet : ils ne doivent faire qu’un (cf le développement de la Nautilus et de la Royal Oak).
C’est en Italie que G-P ira chercher sa réponse. De fait, l’étude de la montre est confiée à un architecte milanais. Pour lui cependant, il est évident que l’élément de reconnaissance immédiate de la montre doit être la lunette. En homme de l’art, pour qui le cercle et le polygone font la paire, il dessine une lunette octogonale inscrite à l’intérieur d’un cercle. Afin de faire jouer la lumière, les 8 angles de l’octogone sont reliés non pas par des lignes droites et sèches, mais par des courbes harmonieuses combinant surfaces convexes et concaves entièrement polies.
Avant d’aller plus loin de la présentation de cette pièce, revenons plus en détail sur l’histoire de cette icône de l’horlogerie… Nous sommes au milieu des années 1970, période où l’art du design vit de profondes mutations. En horlogerie par exemple, une demande inédite se fait de plus en plus insistante : le besoin d’une montre sportive, élégante, à porter en toutes occasions et dont l’esthétique marquante se caractérise entre autres par l’intégration du boîtier et du bracelet : ils ne doivent faire qu’un (cf le développement de la Nautilus et de la Royal Oak).
C’est en Italie que G-P ira chercher sa réponse. De fait, l’étude de la montre est confiée à un architecte milanais. Pour lui cependant, il est évident que l’élément de reconnaissance immédiate de la montre doit être la lunette. En homme de l’art, pour qui le cercle et le polygone font la paire, il dessine une lunette octogonale inscrite à l’intérieur d’un cercle. Afin de faire jouer la lumière, les 8 angles de l’octogone sont reliés non pas par des lignes droites et sèches, mais par des courbes harmonieuses combinant surfaces convexes et concaves entièrement polies.
Techniquement, la Laureato de 1975 réserve une autre surprise : son mouvement. Quatre ans à peine après avoir présenté le premier mouvement à quartz produit en Suisse, relativement volumineux, les ingénieurs de Girard-Perregaux (qui ont travaillé à l’époque avec ceux de Rolex et Patek)sont à même de proposer un nouveau mouvement particulièrement mince et compact (le quartz n’avait pas encore à l’époque le côté « cheap » qu’il a de nos jours).
C’est donc lui qui équipera la Laureato. Ses performances chronométriques sont surprenantes et inédites pour l’époque : soumis à des tests officiels de précision dont la sévérité est proverbiale, il les réussit sans peine. Avec lui, Girard-Perregaux devient la manufacture horlogère obtenant le plus grand nombre de certificats de chronomètres à quartz dans les années qui suivirent.
Au sommet de la gamme des nouvelles Laureato : la Laureato Tourbillon. Son boîtier de 45 mm, composé de titane et ponctué d'or, abrite le calibre GP09510. Ce mouvement « est intégralement produit par les artisans, horlogers, mécaniciens, régleurs, polisseurs de la manufacture de La Chaux-de-Fonds » assure la marque dans son communiqué. Il reprend la structure et le design emblématiques des tourbillons de G-P, qui a fait du Pont d'Or en forme de flèche, savamment poli et bercé à la main, une signature reconnaissable entre toutes.
Ce mouvement est également l'un des très rares tourbillons à posséder un remontage automatique et quasiment le seul à le proposer sous la forme d'un micro-rotor, en or qui plus est. Il est décliné en deux variantes. La première est dotée d'un pont de tourbillon en or rose, qui se marie aux détails or rose de la boîte : lunette, couronne, index et premier entre-maillon. La seconde offre un pont de tourbillon en or gris, qui prolonge le camaïeu de couleurs du boîtier en titane et or gris.
C’est donc lui qui équipera la Laureato. Ses performances chronométriques sont surprenantes et inédites pour l’époque : soumis à des tests officiels de précision dont la sévérité est proverbiale, il les réussit sans peine. Avec lui, Girard-Perregaux devient la manufacture horlogère obtenant le plus grand nombre de certificats de chronomètres à quartz dans les années qui suivirent.
Au sommet de la gamme des nouvelles Laureato : la Laureato Tourbillon. Son boîtier de 45 mm, composé de titane et ponctué d'or, abrite le calibre GP09510. Ce mouvement « est intégralement produit par les artisans, horlogers, mécaniciens, régleurs, polisseurs de la manufacture de La Chaux-de-Fonds » assure la marque dans son communiqué. Il reprend la structure et le design emblématiques des tourbillons de G-P, qui a fait du Pont d'Or en forme de flèche, savamment poli et bercé à la main, une signature reconnaissable entre toutes.
Ce mouvement est également l'un des très rares tourbillons à posséder un remontage automatique et quasiment le seul à le proposer sous la forme d'un micro-rotor, en or qui plus est. Il est décliné en deux variantes. La première est dotée d'un pont de tourbillon en or rose, qui se marie aux détails or rose de la boîte : lunette, couronne, index et premier entre-maillon. La seconde offre un pont de tourbillon en or gris, qui prolonge le camaïeu de couleurs du boîtier en titane et or gris.
Spécificités techniques
Boîtier 45 mm titane et or rose ou titane et or gris 18 ct.
Epaisseur : 11,96 mm
Verre saphir traité anti-reflet
Fond saphir
Cadran gris ardoise avec motif « Clou de Paris »
Aiguilles de type bâton, garnies de matière luminescente
Etanchéité : 50 mètres (5 ATM, 5 bar)
Mouvement
Référence : GP09510-0001 (pont en or rose) ou GP09510-0002 (pont en or gris), mécanique à remontage automatique par micro-rotor en or 18ct, régulateur à tourbillon une minute
Diamètre : 36,60 mm (16’’’)
Epaisseur : 6,05 mm
Fréquence : 21 600 Alt./h. (3 Hz)
Nombre de composants : 261
Rubis : 33
Réserve de marche : 49 heures
Fonctions : heures, minutes, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet en cuir d'alligator noir avec surpiqûres sur boucle déployante à triple lame en titane
A noter qu’un bracelet métallique en titane et or rose ou en titane et or gris avec alternance de surfaces polies et satinées est disponible à la vente.
Epaisseur : 11,96 mm
Verre saphir traité anti-reflet
Fond saphir
Cadran gris ardoise avec motif « Clou de Paris »
Aiguilles de type bâton, garnies de matière luminescente
Etanchéité : 50 mètres (5 ATM, 5 bar)
Mouvement
Référence : GP09510-0001 (pont en or rose) ou GP09510-0002 (pont en or gris), mécanique à remontage automatique par micro-rotor en or 18ct, régulateur à tourbillon une minute
Diamètre : 36,60 mm (16’’’)
Epaisseur : 6,05 mm
Fréquence : 21 600 Alt./h. (3 Hz)
Nombre de composants : 261
Rubis : 33
Réserve de marche : 49 heures
Fonctions : heures, minutes, petite seconde sur le tourbillon
Bracelet en cuir d'alligator noir avec surpiqûres sur boucle déployante à triple lame en titane
A noter qu’un bracelet métallique en titane et or rose ou en titane et or gris avec alternance de surfaces polies et satinées est disponible à la vente.