Le premier à s’être lancé dans les boitiers en saphir fut Hublot. Avec des prix dépassant l’entendement… Depuis, de nombreuses marques se sont mises sur le marché, proposant chacune leurs montres à grande complication avec des boitiers en saphir et des tarifs qui égalent voire, dépassent largement ceux des boitiers en métaux précieux ! Allez comprendre…
Surfant sur cette tendance, Girard-Perregaux revient avec une nouvelle pièce en saphir, la première Quasar ayant été présentée l’année dernière lors de Watches & Wonders 2019 de Miami. Une fois encore, il s’agit d’une montre dotée d’un boitier en saphir, mais cette fois-ci de couleur bleu.
La couleur n’empêche en rien d’admirer le calibre « maison » Neo-Tourbillon sous trois ponts… sous tous les angles, puisque c’est le concept même de ce type de boitier.
Quasar. Le nom de cette montre est un écho aux galaxies ultra-lumineuses agrégées autour d'un trou noir. Une dualité d’ombre et de lumière : comme cette montre à complication dont le boitier permet d’admirer dans les moindres détails le calibre automatique GP9400-1035 (260 composants), une évolution du mouvement 9400 qui fait disparaitre sa platine. Sa réserve de marche, confortable, s’élève à 60h.
De fait, le « moteur » de ce garde-temps se retrouve comme en apesanteur. Seuls subsistent les points d’ancrage physiquement indispensables. Les ponts contribuent quant à eux, visuellement, à l’effet de transparence de cette pièce. Ils sont réalisés en titane de grade 5. La platine est quant à elle, revêtue de NAC pour révéler les plus petits détails du mécanisme.
Le boitier de 46 mm (étanche 30 mètres) est donc entièrement réalisé en verre saphir de couleur bleu « azur » ; il est taillé dans un seul bloc de saphir ! Une fois terminé, le boîtier doit être
uniforme et dépourvu de toute rayure.
Une prouesse technique même si de nos jours, les marques maitrisent de mieux en mieux le procédé et que de nombreux boitiers en saphir sont désormais fabriqués par des usines chinoises à Shenzhen. Une glace cheminée englobe les ponts du mouvement tel un dôme. Sa carrure d’un seul tenant, donc taillée dans la masse, est arrondie sur les flancs et anguleuse au niveau des cornes.
La cage du Tourbillon est entraînée par un système de remontage automatique unidirectionnel doté d’un micro-rotor en or gris. Composée de 80 composants et pesant tout juste 0,25 gramme, la faible masse de la cage du tourbillon ne consomme que de petites quantités d'énergie, ce qui augmente la réserve de marche disponible du mouvement. Le micro-rotor a été volontairement placé derrière le barillet pour contribuer à l'aspect épuré du mouvement entièrement squelettisé.
Ce garde-temps se porte sur un bracelet en tissu anthracite avec effet métallique, coutures main anthracite sur boucle déployante triple, DLC titane ; un bracelet supplémentaire en alligator bleu est fourni avec la montre.
Surfant sur cette tendance, Girard-Perregaux revient avec une nouvelle pièce en saphir, la première Quasar ayant été présentée l’année dernière lors de Watches & Wonders 2019 de Miami. Une fois encore, il s’agit d’une montre dotée d’un boitier en saphir, mais cette fois-ci de couleur bleu.
La couleur n’empêche en rien d’admirer le calibre « maison » Neo-Tourbillon sous trois ponts… sous tous les angles, puisque c’est le concept même de ce type de boitier.
Quasar. Le nom de cette montre est un écho aux galaxies ultra-lumineuses agrégées autour d'un trou noir. Une dualité d’ombre et de lumière : comme cette montre à complication dont le boitier permet d’admirer dans les moindres détails le calibre automatique GP9400-1035 (260 composants), une évolution du mouvement 9400 qui fait disparaitre sa platine. Sa réserve de marche, confortable, s’élève à 60h.
De fait, le « moteur » de ce garde-temps se retrouve comme en apesanteur. Seuls subsistent les points d’ancrage physiquement indispensables. Les ponts contribuent quant à eux, visuellement, à l’effet de transparence de cette pièce. Ils sont réalisés en titane de grade 5. La platine est quant à elle, revêtue de NAC pour révéler les plus petits détails du mécanisme.
Le boitier de 46 mm (étanche 30 mètres) est donc entièrement réalisé en verre saphir de couleur bleu « azur » ; il est taillé dans un seul bloc de saphir ! Une fois terminé, le boîtier doit être
uniforme et dépourvu de toute rayure.
Une prouesse technique même si de nos jours, les marques maitrisent de mieux en mieux le procédé et que de nombreux boitiers en saphir sont désormais fabriqués par des usines chinoises à Shenzhen. Une glace cheminée englobe les ponts du mouvement tel un dôme. Sa carrure d’un seul tenant, donc taillée dans la masse, est arrondie sur les flancs et anguleuse au niveau des cornes.
La cage du Tourbillon est entraînée par un système de remontage automatique unidirectionnel doté d’un micro-rotor en or gris. Composée de 80 composants et pesant tout juste 0,25 gramme, la faible masse de la cage du tourbillon ne consomme que de petites quantités d'énergie, ce qui augmente la réserve de marche disponible du mouvement. Le micro-rotor a été volontairement placé derrière le barillet pour contribuer à l'aspect épuré du mouvement entièrement squelettisé.
Ce garde-temps se porte sur un bracelet en tissu anthracite avec effet métallique, coutures main anthracite sur boucle déployante triple, DLC titane ; un bracelet supplémentaire en alligator bleu est fourni avec la montre.