Cela fait des années que tous les amateurs de Girard-Perregaux, « G.P. » pour les intimes, se disent qu’il manque à cette belle marque horlogère suisse, une montre icone qui tire toutes les autres. Comme c’est le cas chez de nombreux concurrents d’ailleurs…
En cette fin d’années 2012, la manufacture de La Chaux-de-Fonds a probablement trouvé « le » garde-temps qu’il lui fallait pour remplir ce rôle.
Son nom claque et raisonne : la Hawk, une pièce virile et sportive qui combine le gris de l’acier au noir et à l’orange du cadran. Un design unique, racé et immédiatement identifiable pour une montre qui devrait devenir l’un des fers de lance de « G.P. »
Hawk. Ce nom s’impose sans tergiverser et confirme Girard-Perregaux dans l’univers aguerri des montres sportives de haut niveau.
Il rappelle également la pertinence de la marque en la matière, qui dès 1880 fabriquait en série les premières montres-bracelets à usage militaire et dans les années 1940, lançait la première génération Sea Hawk. En digne héritière, la nouvelle collection Hawk s’approprie les codes identitaires de Girard-Perregaux pour ancrer sa personnalité dans le 21e siècle. Cette Sea Hawk s’inspire incontestablement de l’ancien modèle, mais totalement repensé et relooké. Façonné en acier inoxydable, le sculptural boîtier de 44 mm donne le ton. Athlétique, anguleux, vif, il réinterprète l’octogone du modèle Laureato, offrant au temps des angles atypiques.
Deux modèles seront commercialisés : un chronographe et une plongeuse. Commençons aujourd’hui par découvrir le modèle de plongée, la Sea Hawk. 1.000 mètres d’étanchéité. Les profondeurs abyssales ne sauraient avoir de secret pour cette nouvelle Sea Hawk. Cet outil de plongée extrême dispose d’une valve à hélium permettant sa décompression et d’une lunette tournante unidirectionnelle antihoraire pour les calculs de temps de plongée.
« Une série de tests pour démontrer sa capacité à résister à la pression exercée à une profondeur de 1’000 mètres, là où la montre est soumise à une pression excédant 1’500 kg, a garanti son étanchéité, selon la sévère norme ISO 6425 » précise la marque dans son communiqué. La construction de son boîtier, avec notamment son fond vissé, lui assure une véritable résistance aux chocs, de même que la couronne, installée à 4h pour un meilleur confort au porter, renforcée par un cache-couronne qui s’intègre parfaitement au boîtier. Ce qui lui donne également une véritable « gueule » !
Le contraste entre l’acier brossé et les éléments en caoutchouc, lunette, anneau octogonal et couronne, accentue son tempérament. Noir, frappé d’un motif qui rappelle le Pont emblématique de Girard-Perregaux, son cadran étagé en plusieurs paliers (aspect tridimensionnel très réussi) place la lisibilité au coeur de sa conception. Les index et les aiguilles sont rehaussés de matière luminescente. Certains éléments arborent une couleur orangée, telles la réserve de marche, l’aiguille des minutes et la petite seconde. La date s’affiche quant à elle de manière très originale et décalée à 1h30.
Ce modèle est équipé par le calibre GP3300, mouvement mécanique à remontage automatique. Côté prix, ce nouveau modèle se situe au-dessous de la barre des 10.000 euros.
En cette fin d’années 2012, la manufacture de La Chaux-de-Fonds a probablement trouvé « le » garde-temps qu’il lui fallait pour remplir ce rôle.
Son nom claque et raisonne : la Hawk, une pièce virile et sportive qui combine le gris de l’acier au noir et à l’orange du cadran. Un design unique, racé et immédiatement identifiable pour une montre qui devrait devenir l’un des fers de lance de « G.P. »
Hawk. Ce nom s’impose sans tergiverser et confirme Girard-Perregaux dans l’univers aguerri des montres sportives de haut niveau.
Il rappelle également la pertinence de la marque en la matière, qui dès 1880 fabriquait en série les premières montres-bracelets à usage militaire et dans les années 1940, lançait la première génération Sea Hawk. En digne héritière, la nouvelle collection Hawk s’approprie les codes identitaires de Girard-Perregaux pour ancrer sa personnalité dans le 21e siècle. Cette Sea Hawk s’inspire incontestablement de l’ancien modèle, mais totalement repensé et relooké. Façonné en acier inoxydable, le sculptural boîtier de 44 mm donne le ton. Athlétique, anguleux, vif, il réinterprète l’octogone du modèle Laureato, offrant au temps des angles atypiques.
Deux modèles seront commercialisés : un chronographe et une plongeuse. Commençons aujourd’hui par découvrir le modèle de plongée, la Sea Hawk. 1.000 mètres d’étanchéité. Les profondeurs abyssales ne sauraient avoir de secret pour cette nouvelle Sea Hawk. Cet outil de plongée extrême dispose d’une valve à hélium permettant sa décompression et d’une lunette tournante unidirectionnelle antihoraire pour les calculs de temps de plongée.
« Une série de tests pour démontrer sa capacité à résister à la pression exercée à une profondeur de 1’000 mètres, là où la montre est soumise à une pression excédant 1’500 kg, a garanti son étanchéité, selon la sévère norme ISO 6425 » précise la marque dans son communiqué. La construction de son boîtier, avec notamment son fond vissé, lui assure une véritable résistance aux chocs, de même que la couronne, installée à 4h pour un meilleur confort au porter, renforcée par un cache-couronne qui s’intègre parfaitement au boîtier. Ce qui lui donne également une véritable « gueule » !
Le contraste entre l’acier brossé et les éléments en caoutchouc, lunette, anneau octogonal et couronne, accentue son tempérament. Noir, frappé d’un motif qui rappelle le Pont emblématique de Girard-Perregaux, son cadran étagé en plusieurs paliers (aspect tridimensionnel très réussi) place la lisibilité au coeur de sa conception. Les index et les aiguilles sont rehaussés de matière luminescente. Certains éléments arborent une couleur orangée, telles la réserve de marche, l’aiguille des minutes et la petite seconde. La date s’affiche quant à elle de manière très originale et décalée à 1h30.
Ce modèle est équipé par le calibre GP3300, mouvement mécanique à remontage automatique. Côté prix, ce nouveau modèle se situe au-dessous de la barre des 10.000 euros.
Spécificités techniques de la Girard-Perregaux Sea Hawk
Boîtier en acier
Lunette : acier ou caoutchouc
Diamètre : 44.00 mm
Fond : vissé
Etanchéité : 1’000 mètres
Girard-Perregaux GP3300
Mécanique à remontage automatique
Calibre : 11 ½ ’’’
Fréquence : 28’800 alt/h (4 Hz)
Empierrage : 27
Réserve de marche : min. 46 heures
Fonctions : heure, minute, date, petite seconde, indicateur de réserve de marche
Bracelet en caoutchouc noir et boucle déployante en acier
Prix de vente public conseillé : 9.900 euros
Lunette : acier ou caoutchouc
Diamètre : 44.00 mm
Fond : vissé
Etanchéité : 1’000 mètres
Girard-Perregaux GP3300
Mécanique à remontage automatique
Calibre : 11 ½ ’’’
Fréquence : 28’800 alt/h (4 Hz)
Empierrage : 27
Réserve de marche : min. 46 heures
Fonctions : heure, minute, date, petite seconde, indicateur de réserve de marche
Bracelet en caoutchouc noir et boucle déployante en acier
Prix de vente public conseillé : 9.900 euros