Le Nose art est apparu sur les carlingues d’avion (souvent sur le nez du fuselage) durant la seconde guerre mondiale. C’était un moyen pour les militaires de conjurer le sort tout en mettant un peu de poésie, de beauté voire d’humour dans ce « monde de brutes » où la mort rodait à chaque nouvelle mission… Mission qui pouvait devenir à chaque sortie dans les airs, la dernière !
Les « artistes », sortent de « graffeurs vintage » de l’époque, restaient anonymes et peignaient avec les moyens du bord, avec les peintures à leur disposition sur les bases aériennes. Naturellement, dans ce milieu très masculin mais sans femmes, ces hommes qui pouvaient mourir du jour au lendemain étaient obsédés par la figure féminine ;
Pas étonnant dès lors, que l’on retrouve énormément de pin-up dans le Nose Art ; on entend déjà les cris d’orfraies indignées des féministes, mais tant pis... Il s’agit de jeunes femmes sexy souvent peu vêtues qui donnaient à ces aviateurs la force de reprendre le manche pour aller combattre l’ennemi.
Les « artistes », sortent de « graffeurs vintage » de l’époque, restaient anonymes et peignaient avec les moyens du bord, avec les peintures à leur disposition sur les bases aériennes. Naturellement, dans ce milieu très masculin mais sans femmes, ces hommes qui pouvaient mourir du jour au lendemain étaient obsédés par la figure féminine ;
Pas étonnant dès lors, que l’on retrouve énormément de pin-up dans le Nose Art ; on entend déjà les cris d’orfraies indignées des féministes, mais tant pis... Il s’agit de jeunes femmes sexy souvent peu vêtues qui donnaient à ces aviateurs la force de reprendre le manche pour aller combattre l’ennemi.
C’est pour rendre hommage à cette tradition militaire que Graham a dévoilé cette année, dans un premier temps, une collection de quatre garde-temps dédiée au Nose art. Voici donc la cinquième pièce de cette série qui, fêtes de fins d’année obligent, se prénomme Merry (écrit en rose foncé sur le cadran) et se vêt du costume rouge et court de la mère Noël.
Pour le reste, il s’agit du Chronofighter habituel. Une montre en acier dotée d’un boitier de 44 mm, étanche 100 mètres. Le chrono offre sur un compteur les secondes et sur l'autre, les périodes de 30 minutes. Les heures, les minutes et les secondes se lisent quant à elles sur l’ensemble du cadran, équipé d'un affichage jour et date bien visible à 9h.
Ce garde-temps embarque un calibre mécanique automatique (le G1747) avec absorbeur de chocs Incabloc qui affiche une réserve de marche traditionnelle de 48 heures. Le mouvement est visible à travers le fond saphir. Ces Chronofighter se portent sur un beau bracelet en veau noir sur boucle ardillon. Cette montre est éditée à 25 exemplaires pour le monde.
Maintenant, il faudrait qu'un distributeur ou un détaillant prenne le risque de distribuer Graham sur la France. Mais ceci est une autre histoire...
Pour le reste, il s’agit du Chronofighter habituel. Une montre en acier dotée d’un boitier de 44 mm, étanche 100 mètres. Le chrono offre sur un compteur les secondes et sur l'autre, les périodes de 30 minutes. Les heures, les minutes et les secondes se lisent quant à elles sur l’ensemble du cadran, équipé d'un affichage jour et date bien visible à 9h.
Ce garde-temps embarque un calibre mécanique automatique (le G1747) avec absorbeur de chocs Incabloc qui affiche une réserve de marche traditionnelle de 48 heures. Le mouvement est visible à travers le fond saphir. Ces Chronofighter se portent sur un beau bracelet en veau noir sur boucle ardillon. Cette montre est éditée à 25 exemplaires pour le monde.
Maintenant, il faudrait qu'un distributeur ou un détaillant prenne le risque de distribuer Graham sur la France. Mais ceci est une autre histoire...