Dimanche. Pas n’importe quel dimanche. Nous sommes sur le circuit de Silverstone en Grande-Bretagne. Le Grand Prix de Formule 1 est sur le point de commencer. Toutes les voitures sont alignées sur la grille de départ.
14:00:00 – Les lumières s’éteignent. Sur l’écran, je vois les voitures s’élancer en trombes sur la piste. Je jette un coup d’oeil à ma montre. Les deux bolides Mercedes GP sont en course.
14:23:17 – Premier arrêt au stand. La voiture fait son entrée. L’équipe se tient prête. Le chef mécanicien indique la zone d’arrêt au pilote. A son bras droit une Graham Mercedes GP est solidement attachée. J’appuie sur le bouton marche de mon chronographe. Clic. Il s’enclenche instantanément. La grande aiguille des secondes franchit les index. 1. 2. 3. C’est une véritable course contre la montre. Mes yeux sont rivés sur les aiguilles du chronographe. Le pistolet pneumatique desserre les écrous. Les pneus sont changés. Le pistolet à air vrombi à nouveau. La voiture est reposée sur ses roues. Clic. Je stoppe le chronographe. Après un arrêt expéditif de 3,2 secondes, la voiture repart.
14:42:38 – La voiture de sécurité fait irruption sur la piste. La course est momentanément interrompue. Le temps quant à lui continue sa course. Le chronographe de ma montre reste imperturbable. L’équipe attend patiemment que la compétition reprenne. Je m’éponge le front avec le bras. Je sens la boite en acier de ma montre effleurer ma peau. Au contact du métal froid, la pression retombe aussitôt.
15:30:08 – Il reste un tour. Une Mercedes est en passe de décrocher le podium. Sa vitesse semble optimale. Je dois toute de même m’en assurer. Je déclenche une nouvelle fois mon chronographe puis l’arrête dès que la voiture a parcouru un kilomètre. La graduation de mon tachymètre (base 400) est on ne peut plus claire. Le dénouement est proche.
15:31:58 – Ligne d’arrivée : quelle explosion de joie lorsque la voiture franchit la ligne d’arrivée. L’équipe se lève et applaudit. Serrés aux poignets, les garde-temps bougent en cadence. Sur le podium, le trophée s’élève dans les airs. Les chronographes sont soumis au test d’étanchéité… au champagne. Verdict : 100% étanche. A l’eau comme au champagne.
Chaque week-end de course, l’équipe exécute le même ballet moderne. Plus de 28 pièces Graham Mercedes GP battent au rythme des vrombissements des moteurs des bolides pour égrainer les secondes. Tout le monde se presse et se bouscule, les montres s’entrechoquent… Mais peu importe, elles ont été conçues pour résister à des conditions extrêmes.
14:00:00 – Les lumières s’éteignent. Sur l’écran, je vois les voitures s’élancer en trombes sur la piste. Je jette un coup d’oeil à ma montre. Les deux bolides Mercedes GP sont en course.
14:23:17 – Premier arrêt au stand. La voiture fait son entrée. L’équipe se tient prête. Le chef mécanicien indique la zone d’arrêt au pilote. A son bras droit une Graham Mercedes GP est solidement attachée. J’appuie sur le bouton marche de mon chronographe. Clic. Il s’enclenche instantanément. La grande aiguille des secondes franchit les index. 1. 2. 3. C’est une véritable course contre la montre. Mes yeux sont rivés sur les aiguilles du chronographe. Le pistolet pneumatique desserre les écrous. Les pneus sont changés. Le pistolet à air vrombi à nouveau. La voiture est reposée sur ses roues. Clic. Je stoppe le chronographe. Après un arrêt expéditif de 3,2 secondes, la voiture repart.
14:42:38 – La voiture de sécurité fait irruption sur la piste. La course est momentanément interrompue. Le temps quant à lui continue sa course. Le chronographe de ma montre reste imperturbable. L’équipe attend patiemment que la compétition reprenne. Je m’éponge le front avec le bras. Je sens la boite en acier de ma montre effleurer ma peau. Au contact du métal froid, la pression retombe aussitôt.
15:30:08 – Il reste un tour. Une Mercedes est en passe de décrocher le podium. Sa vitesse semble optimale. Je dois toute de même m’en assurer. Je déclenche une nouvelle fois mon chronographe puis l’arrête dès que la voiture a parcouru un kilomètre. La graduation de mon tachymètre (base 400) est on ne peut plus claire. Le dénouement est proche.
15:31:58 – Ligne d’arrivée : quelle explosion de joie lorsque la voiture franchit la ligne d’arrivée. L’équipe se lève et applaudit. Serrés aux poignets, les garde-temps bougent en cadence. Sur le podium, le trophée s’élève dans les airs. Les chronographes sont soumis au test d’étanchéité… au champagne. Verdict : 100% étanche. A l’eau comme au champagne.
Chaque week-end de course, l’équipe exécute le même ballet moderne. Plus de 28 pièces Graham Mercedes GP battent au rythme des vrombissements des moteurs des bolides pour égrainer les secondes. Tout le monde se presse et se bouscule, les montres s’entrechoquent… Mais peu importe, elles ont été conçues pour résister à des conditions extrêmes.
Spécificités techniques du chronographe Graham London Mercedes GP
Fonctions : chronographe (compteurs secondes, 30 minutes et 12 heures). Date à 9h. Heures, minutes et secondes au centre du cadran. Tachymètre base 400
Calibre g1735, chronographe automatique tri-compax, 28.800 a/h (4Hz), amortisseur de choc Incabloc. 25 rubis.
Réserve de marche : 48 heures
Boite : acier de 48 mm
Poussoir marche/arrêt du chronographe et poussoir de remise à zéro en acier avec décoration « Clous de Paris » à droite de la boite.
Lunette acier avec graduation tachymètre
Glace saphir antireflet sur chaque face
Fond saphir transparent avec logo Mercedes GP Petronas tenus par six vis
Etanchéité : 100 mètres / 330 pieds
Cadran 1
Cadran blanc avec bague réhaut noire pour minuterie, compteur heures noir à 6h avec bague interne verte (vert Petronas) et bague externe argent, compteur minutes noir azuré à 12h avec bague argent et flèches argentées indiquant la graduation, compteur secondes argent à 9h. Aiguilles centrales heures, minutes, compteur secondes rhodiées, aiguille compteur heures blanche, aiguille compteur minutes rouge, aiguille secondes verte Petronas, inscription Mercedes GP noire à 3 h.
Cadran 2
Cadran carbone noir avec bague réhaut noire pour minuterie, compteur heures noir à 6h avec bague interne verte (vert Petronas) et bague externe argent, compteur minutes noir azuré à 12h avec bague argent et flèches argentées indiquant la graduation, compteur secondes carbone noir à 9h. Aiguilles centrales heures, minutes, compteur secondes rhodiées, aiguille compteur heures blanche, aiguille compteur minutes rouge, aiguille secondes verte Petronas, inscription Mercedes GP noire à 3 h.
Bracelet : caoutchouc noir intégré reprenant la structure d’un pneu
Calibre g1735, chronographe automatique tri-compax, 28.800 a/h (4Hz), amortisseur de choc Incabloc. 25 rubis.
Réserve de marche : 48 heures
Boite : acier de 48 mm
Poussoir marche/arrêt du chronographe et poussoir de remise à zéro en acier avec décoration « Clous de Paris » à droite de la boite.
Lunette acier avec graduation tachymètre
Glace saphir antireflet sur chaque face
Fond saphir transparent avec logo Mercedes GP Petronas tenus par six vis
Etanchéité : 100 mètres / 330 pieds
Cadran 1
Cadran blanc avec bague réhaut noire pour minuterie, compteur heures noir à 6h avec bague interne verte (vert Petronas) et bague externe argent, compteur minutes noir azuré à 12h avec bague argent et flèches argentées indiquant la graduation, compteur secondes argent à 9h. Aiguilles centrales heures, minutes, compteur secondes rhodiées, aiguille compteur heures blanche, aiguille compteur minutes rouge, aiguille secondes verte Petronas, inscription Mercedes GP noire à 3 h.
Cadran 2
Cadran carbone noir avec bague réhaut noire pour minuterie, compteur heures noir à 6h avec bague interne verte (vert Petronas) et bague externe argent, compteur minutes noir azuré à 12h avec bague argent et flèches argentées indiquant la graduation, compteur secondes carbone noir à 9h. Aiguilles centrales heures, minutes, compteur secondes rhodiées, aiguille compteur heures blanche, aiguille compteur minutes rouge, aiguille secondes verte Petronas, inscription Mercedes GP noire à 3 h.
Bracelet : caoutchouc noir intégré reprenant la structure d’un pneu