On le sait, d’une manière générale, Grand Seiko –mais c’est aussi vrai pour Seiko- puise son inspiration dans la nature. Cette fois-ci, la manufacture japonaise a choisi une autre voie, celle de l’architecture nippone.
Ces deux nouvelles venues, réservées au marché européen, s’inspirent des jeux d’ombre et de lumière, une caractéristique essentielle de l’architecture Japonaise traditionnelle où la beauté des nuances est mise en valeur par les espaces ouverts et les recoins.
Les bâtiments japonais sont souvent fabriqués en bois et, à cause de l’humidité et des pluies fréquentes, leurs piliers porteurs s’abîmeraient rapidement s’ils étaient exposés directement aux éléments.
Ces deux nouvelles venues, réservées au marché européen, s’inspirent des jeux d’ombre et de lumière, une caractéristique essentielle de l’architecture Japonaise traditionnelle où la beauté des nuances est mise en valeur par les espaces ouverts et les recoins.
Les bâtiments japonais sont souvent fabriqués en bois et, à cause de l’humidité et des pluies fréquentes, leurs piliers porteurs s’abîmeraient rapidement s’ils étaient exposés directement aux éléments.
Par conséquent, les toits furent construits de manière à les recouvrir entièrement, créant des avancées allant jusqu’à deux ou trois mètres. Dans ce contexte, seule la lumière passant horizontalement sous ces corniches pouvait illuminer l’intérieur et de nombreuses parties de ces bâtiments se trouvaient dans la pénombre.
A ce titre, la SBGW267 et son cadran clair évoque l’image d’Asakage, la lumière éblouissante du soleil du matin, qui est absorbée par le shōji et qui illumine avec douceur toute la pièce. De son côté, la SBGW269 et son cadran sombre, est conçue à l’image de Yukage, la lumière orangée faiblissante du crépuscule, que le shōji absorbe pour emplir la pièce d’une atmosphère chaleureuse.
Rappelons à ce titre, que shōji (parois coulissante) est un élément primordial de l’architecture Japonaise qui permet de capturer la lumière naturelle. Le flagship parisien Grand Seiko installé sur la place Vendôme en est d’ailleurs équipé.
A ce titre, la SBGW267 et son cadran clair évoque l’image d’Asakage, la lumière éblouissante du soleil du matin, qui est absorbée par le shōji et qui illumine avec douceur toute la pièce. De son côté, la SBGW269 et son cadran sombre, est conçue à l’image de Yukage, la lumière orangée faiblissante du crépuscule, que le shōji absorbe pour emplir la pièce d’une atmosphère chaleureuse.
Rappelons à ce titre, que shōji (parois coulissante) est un élément primordial de l’architecture Japonaise qui permet de capturer la lumière naturelle. Le flagship parisien Grand Seiko installé sur la place Vendôme en est d’ailleurs équipé.
Le shōji est fabriqué à partir d’une trame de bois recouverte de washi, un papier traditionnel japonais utilisé pour les fenêtres, les portes et même les murs extérieurs.
Il capte la lumière naturelle passant sous les corniches et crée une magnifique atmosphère qui se propage avec douceur, éclaire chaque pièce et illumine l’intérieur tout en permettant aux zones d’ombre de conserver leur charme et leur
mystère.
Plus concrètement, ces deux modèles sont dotés d’un cadran bombé décoré d’un motif washi unique, imitant la texture élégante du papier. Les aiguilles des heures et des minutes sont délicatement courbées afin de suivre parfaitement les contours du cadran et offrir la meilleure lisibilité possible ; une recherche constante chez GS qui met un point d’honneur à optimiser les reflets grâce aux différents polissages des aiguilles par exemple.
Le boitier de 37,3 mm, taille idéale pour une montre de ville, est en acier minutieusement poli. Il est étanche à 30 mètres. Les cadrans sont protégés par un verre saphir box-shaped qui donne un côté vintage à ces deux pièces.
Il capte la lumière naturelle passant sous les corniches et crée une magnifique atmosphère qui se propage avec douceur, éclaire chaque pièce et illumine l’intérieur tout en permettant aux zones d’ombre de conserver leur charme et leur
mystère.
Plus concrètement, ces deux modèles sont dotés d’un cadran bombé décoré d’un motif washi unique, imitant la texture élégante du papier. Les aiguilles des heures et des minutes sont délicatement courbées afin de suivre parfaitement les contours du cadran et offrir la meilleure lisibilité possible ; une recherche constante chez GS qui met un point d’honneur à optimiser les reflets grâce aux différents polissages des aiguilles par exemple.
Le boitier de 37,3 mm, taille idéale pour une montre de ville, est en acier minutieusement poli. Il est étanche à 30 mètres. Les cadrans sont protégés par un verre saphir box-shaped qui donne un côté vintage à ces deux pièces.
Ces deux versions sont dotées d’un Calibre 9S64, un mouvement mécanique à remontage manuel de manufacture (le terme n’est pas usurpé en la matière) offrant une réserve de marche très confortable d'environ trois jours lorsque les montres sont complètement remontées. Le fond du boîtier en verre saphir dévoile la beauté du mouvement précis à +5 / –3 secondes par jour.
Pour réaliser les nuances délicates des bracelets en cuir de veau de ces montres, une seconde couche de couleur est déposée sur la première puis progressivement estompée, créant une texture et une teinte
douces se mêlant parfaitement à l’ensemble du design.
Ces deux garde-temps seront disponibles en tant qu’exclusivité européenne dans les boutiques Grand Seiko et chez les détaillants agréés d’Europe à partir du mois d’octobre 2021.
Pour réaliser les nuances délicates des bracelets en cuir de veau de ces montres, une seconde couche de couleur est déposée sur la première puis progressivement estompée, créant une texture et une teinte
douces se mêlant parfaitement à l’ensemble du design.
Ces deux garde-temps seront disponibles en tant qu’exclusivité européenne dans les boutiques Grand Seiko et chez les détaillants agréés d’Europe à partir du mois d’octobre 2021.