Tous les amateurs de la maison horlogère nipponne vous le diront… Remonter un calibre Grand Seiko est un pur bonheur tant la mécanique est douce, souple et agréable.
Une sorte de communion avec les engrenages et les rouages et une sensation rare que seuls les connaisseurs apprécieront !
Une sorte de communion avec les engrenages et les rouages et une sensation rare que seuls les connaisseurs apprécieront !
Dans cet esprit de perfection très « japonais » et très « Grand Seiko » à la fois, la maison horlogère vient de dévoiler sa Grand Seiko Manual-winding Hi-Beat 36000.
Une pièce aussi belle que discrète qui embarque dans son boitier en titane de 38,6 mm, le tout nouveau calibre 9SA4 à remontage manuel qui bat à 36000 alternances par heure et qui offre une confortable réserve de marche de 80h !
Ce calibre est une belle innovation puisqu’en cinq décennies d’existence, c’est la première fois que Grand Seiko propose un calibre à remontage manuel à haute fréquence de 5Hz.
Une pièce aussi belle que discrète qui embarque dans son boitier en titane de 38,6 mm, le tout nouveau calibre 9SA4 à remontage manuel qui bat à 36000 alternances par heure et qui offre une confortable réserve de marche de 80h !
Ce calibre est une belle innovation puisqu’en cinq décennies d’existence, c’est la première fois que Grand Seiko propose un calibre à remontage manuel à haute fréquence de 5Hz.
Et plus que jamais, les horlogers ont apporté un soin tout particulier au remontage de ce moteur de 80h de réserve de marche (à double barillet).
Un remontage doux, presque sensuel, qui devrait ravir -une fois encore- les amateurs de la marque japonaise. Un remontage que l’on visualise en observant les rouages (qui évoquent une bergeronnette que l’on trouve dans la région de Morioka) à travers le fond de boite en saphir qui présente aussi une réserve de marche.
Le cliquetis de ce remontage mécanique aux finitions parfaites a été étudié de manière à reproduire le cri de la bergeronnette ! Encore une fois, Grand Seiko s’est inspiré de la nature pour imaginer cette nouvelle création.
Un remontage doux, presque sensuel, qui devrait ravir -une fois encore- les amateurs de la marque japonaise. Un remontage que l’on visualise en observant les rouages (qui évoquent une bergeronnette que l’on trouve dans la région de Morioka) à travers le fond de boite en saphir qui présente aussi une réserve de marche.
Le cliquetis de ce remontage mécanique aux finitions parfaites a été étudié de manière à reproduire le cri de la bergeronnette ! Encore une fois, Grand Seiko s’est inspiré de la nature pour imaginer cette nouvelle création.
Le boitier en titane, étanche à 30 mètres, au polissage Zaratsu (un polissage poli-miroir sans distorsion) s’avère relativement fin avec ses 9,95 mm d’épaisseur.
Côté cadran, on retrouve un cadran blanc donc la texture évoque celle des troncs de bouleaux blancs (shirakaba en japonais) qui poussent dans les alentours des deux manufactures Grand Seiko.
Toujours sur le cadran, on remarque la présence de larges aiguilles heures et minutes associées à des index en applique très présents. Leur polissage et leurs arêtes permettent de refléter la moindre source de lumière facilitant la lecture du temps qui passe (l’un des leitmotivs de Grand Seiko, rappelons-le).
Quant à la trotteuse, elle est en acier bleui. On appréciera l’absence de date. Cette montre se porte sur un bracelet en alligator avec boucle déployante.
Côté cadran, on retrouve un cadran blanc donc la texture évoque celle des troncs de bouleaux blancs (shirakaba en japonais) qui poussent dans les alentours des deux manufactures Grand Seiko.
Toujours sur le cadran, on remarque la présence de larges aiguilles heures et minutes associées à des index en applique très présents. Leur polissage et leurs arêtes permettent de refléter la moindre source de lumière facilitant la lecture du temps qui passe (l’un des leitmotivs de Grand Seiko, rappelons-le).
Quant à la trotteuse, elle est en acier bleui. On appréciera l’absence de date. Cette montre se porte sur un bracelet en alligator avec boucle déployante.
