L’année 2020 marque le cinquantième anniversaire de la première montre à affichage LED du monde, créée par Hamilton.
Le 6 mai 1970, la mesure du temps entra dans une nouvelle ère avec le lancement de la première montre numérique du monde. L’affichage numérique de l’heure était alors assuré par des diodes électroluminescentes (LED).
Une pile d’alimentation faisait vibrer un quartz et un circuit intégré transformait ensuite ces impulsions en informations à afficher. Un aimant judicieusement logé dans le bracelet de la montre permettait de régler l’heure sans couronne.
Lire aussi : Hamilton Pulsomatic, numérique ET automatique
Le 6 mai 1970, la mesure du temps entra dans une nouvelle ère avec le lancement de la première montre numérique du monde. L’affichage numérique de l’heure était alors assuré par des diodes électroluminescentes (LED).
Une pile d’alimentation faisait vibrer un quartz et un circuit intégré transformait ensuite ces impulsions en informations à afficher. Un aimant judicieusement logé dans le bracelet de la montre permettait de régler l’heure sans couronne.
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Lorsque cette montre numérique fut commercialisée en 1972, son succès fut tel qu’Hamilton ne put satisfaire toutes les demandes. Une vaste couverture télévisée –avec notamment une apparition au célèbre Tonight Show de Johnny Carson– déchaîna les passions les plus folles pour cette nouvelle montre.
Peu avant Noël 1972, un client qui venait d’acheter le dernier modèle chez Tiffany’s, à New York, se vit proposer deux offres d’achat avant même de quitter le magasin. Même le marché suisse fut fasciné par cette innovation américaine unique (Hamilton n’appartenait alors pas encore au Swatch Group), qui allait ouvrir la voie à une production mondiale annuelle de 350 millions de montres numériques d’ici l’an 2000.
Peu avant Noël 1972, un client qui venait d’acheter le dernier modèle chez Tiffany’s, à New York, se vit proposer deux offres d’achat avant même de quitter le magasin. Même le marché suisse fut fasciné par cette innovation américaine unique (Hamilton n’appartenait alors pas encore au Swatch Group), qui allait ouvrir la voie à une production mondiale annuelle de 350 millions de montres numériques d’ici l’an 2000.
Création emblématique de l’âge spatial, la Hamilton Pulsar* a véritablement bousculé le marché grâce à sa technologie révolutionnaire. Son style futuriste a su séduire de nombreux personnages publics à l’époque, comme Sammy Davis Jr, Jack Nicholson, Joe Frazier, Elton John, Keith Richards mais aussi le 38ème président des Etats-Unis Gerald Ford ou le Shah d’Iran.
Pour son 50ème anniversaire, cette quinquagénaire revient donc dans une version quartz dotée d’un boîtier de forme « télé » caractéristique de 34,7x40,8mm (même taille que le modèle de 70) en acier ou acier PVD or jaune brossé, étanche à 100 mètres. Série limitée à 1970 pièces pour la version « or jaune ».
Pour son 50ème anniversaire, cette quinquagénaire revient donc dans une version quartz dotée d’un boîtier de forme « télé » caractéristique de 34,7x40,8mm (même taille que le modèle de 70) en acier ou acier PVD or jaune brossé, étanche à 100 mètres. Série limitée à 1970 pièces pour la version « or jaune ».
Elles se distinguent néanmoins de la précédente version par l’indication de l’heure. En effet, ces modèles sont dotés d'un affichage hybride associant un écran LCD réflecteur (affichage à cristaux liquides) et un écran OLED émetteur (diodes organiques électroluminescentes).
Appuyer sur le bouton permet d’afficher de nouveau les chiffres OLED rouges lumineux selon le style classique « 12:34 », tandis que l'écran LCD assure une lisibilité parfaite quelle que soit la luminosité. L’écran consomme très peu d'énergie, puisqu'il n’est pas rétro-éclairé
*La Pulsar, dont le nom faisait référence à ces étonnants corps astronomiques qui émettent des impulsions radio précises, est considérée comme la première montre-ordinateur du monde sans composant mobile, à affichage LED.
Appuyer sur le bouton permet d’afficher de nouveau les chiffres OLED rouges lumineux selon le style classique « 12:34 », tandis que l'écran LCD assure une lisibilité parfaite quelle que soit la luminosité. L’écran consomme très peu d'énergie, puisqu'il n’est pas rétro-éclairé
*La Pulsar, dont le nom faisait référence à ces étonnants corps astronomiques qui émettent des impulsions radio précises, est considérée comme la première montre-ordinateur du monde sans composant mobile, à affichage LED.